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L'ÉTS vous donne rendez-vous à sa journée portes ouvertes qui aura lieu sur son campus à l'automne et à l'hiver : Samedi 18 novembre 2023 Samedi 17 février 2024 Le dépôt de votre demande d'admission à un programme de baccalauréat ou au cheminement universitaire en technologie sera gratuit si vous étudiez ou détenez un diplôme collégial d'un établissement québécois.

Événements à venir
13 novembre 2024 à 12:00
16 novembre 2024 à 09:30

L'ÉTS et la France, une relation privilégiée

La France se distingue comme le premier pays partenaire de l'École de technologie supérieure (ÉTS) pour la mobilité étudiante et la recherche internationale. Cette collaboration fructueuse témoigne de la relation forte et privilégiée qui unit la France et l'ÉTS : elle permet un échange constant de savoirs, d'innovations et de talents. Ensemble, l'ÉTS et ses partenaires en France travaillent main dans la main pour promouvoir l'excellence universitaire et le développement technologique à l'échelle mondiale.

Système universitaire de l’ÉTS et conditions d’admission

Le système universitaire de l’ÉTS peut sembler complexe pour les personnes non initiées. Vous souhaitez mieux comprendre ce qu’est un cycle universitaire, un type de programme, un programme d’échange ou les spécificités pédagogiques? Rassurez-vous, vous vous familiariserez rapidement avec notre système éducatif interactif et stimulant.

Chaque année, l'École de technologie supérieure accueille plus de 2000 étudiantes et étudiants français : 

L’ÉTS offre un environnement dynamique où chaque personne peut s’épanouir et contribuer à façonner l’avenir de la technologie et de l’innovation. 

Diplômes français admissibles aux programmes de l'ÉTS

Consultez le schéma ci-dessous qui représente les différents chemins académiques vous permettant d’accéder aux programmes d’études de l’ÉTS :

Explication du Schéma Comparatif des Systèmes Éducatifs (Québec et France)
*Les étudiantes et étudiants d’un établissement partenaire pourraient être admissibles en formation d’ingénieur après 2 années de BUT complétées. **Les étudiantes et étudiants d’un établissement partenaire pourraient être admissibles à la maîtrise après leur 2e année de cycle ingénieur (niveau M1), par la voie du double diplôme.
Schéma des études supérieures en France, du BAC au doctorat, incluant IUT, écoles d'ingénieurs et université.
*Les étudiantes et étudiants d’un établissement partenaire pourraient être admissibles en formation d’ingénieur après 2 années de BUT complétées. **Les étudiantes et étudiants d’un établissement partenaire pourraient être admissibles à la maîtrise après leur 2e année de cycle ingénieur (niveau M1), par la voie du double diplôme.

Explication du Schéma Comparatif des Systèmes Éducatifs (Québec et France)

Le schéma montre les différentes voies éducatives possibles au Québec et en France, de l'école secondaire/lycée jusqu'au doctorat.

Les flèches illustrent les transitions possibles entre chaque étape éducative, mettant en évidence les différentes options pour atteindre des niveaux d'éducation plus élevés dans chaque système.

Au Québec, les élèves terminent leur secondaire avant de passer au CÉGEP.

Au Cégep, les étudiantes et étudiants peuvent suivre soit un diplôme d'études collégiales (DEC) préuniversitaire pendant 2 ans, soit diplôme d'études collégiales (DEC) technique pendant 3 ans, avant de se diriger vers l'université.

À l’ÉTS, après le DEC technique, les étudiantes et étudiants suivent le Cheminement universitaire en technologie (CUT) pendant 1 an avant de poursuivre au baccalauréat. Les personnes ayant un DEC préuniversitaire peuvent entrer directement au baccalauréat.

Le baccalauréat en ingénierie (B. Ing.) dure 4 ans. Une fois le baccalauréat complété, la communauté étudiante peut se diriger vers une maîtrise en ingénierie (M. Ing.) d’une durée de 2 ans, ou vers une maîtrise en sciences appliquées (M. Sc. A.) d’une durée de 2 ans aussi.

Les étudiantes et étudiants peuvent poursuivre un doctorat (Ph. D.) d’une durée moyenne de 4 ans après avoir complété leur maîtrise.

En France, les étudiants terminent le lycée en décrochant le diplôme de baccalauréat (bac) avant d’entamer des études supérieures. Ces personnes pourront faire l’année préparatoire de l’ÉTS, qui leur ouvrira la voie vers les formations d’ingénieurs de l’ÉTS, appelées Baccalauréat en ingénierie au Québec.

Les personnes détenant un BUT pourront eux rentrer directement aux formations d’ingénieurs de l’ÉTS. Les étudiantes et étudiants d'un établissement partenaire pourraient être admissibles en formation d'ingénieur après 2 années de BUT complètes.

Le baccalauréat en ingénierie (B. Ing.),dure 4 ans. Une fois le baccalauréat complété, la communauté étudiante peut se diriger vers une maîtrise en ingénierie (M. Ing.) ou vers une maîtrise en sciences appliquées (M. Sc. A.).

Les personnes détenant un diplôme d’ingénieur d’une école d’ingénieurs en France ou un Master 2, sont admissibles aux programmes de maîtrise en ingénierie (M. Ing.) et maîtrise en sciences appliquées (M. Sc. A.). Les étudiantes et étudiants d'un établissement partenaire pourraient être admissibles à la maîtrise après leur 2e année de cycle ingénieur (niveau M1), par la voie du double diplôme.

Le M. Ing. et le M. Sc. A. durent en moyenne 2 ans.

Les étudiantes et étudiants peuvent poursuivre un doctorat (Ph. D.) à l’ÉTS d’une durée moyenne de 4 ans après avoir complété leur maîtrise au Québec, ou après un master 2 avec une composante de recherche passé en France.

Nouveau

Les personnes détenant un diplôme de baccalauréat français sont désormais admissibles aux formations d’ingénieur de l’ÉTS, en passant par la nouvelle année préparatoire.

Une collaboration universitaire et scientifique forte

La France est le principal pays partenaire de l'ÉTS, grâce à des collaborations bilatérales solides en matière de recherche, d'innovation et de mobilité internationale.

Chiffres clés

Recherche, innovation et transfert technologique

+ 0
projets de recherche internationaux avec des partenaires français
0 %
des membres du corps professoral détiennent un diplôme d’institutions françaises

Partenariats internationaux

0
ententes-cadres avec des institutions françaises

Étudier à l'ÉTS, c'est aussi...

  • un programme de master de l'École de design Nantes Atlantique délocalisé à l'ÉTS depuis 2018 : antenne permanente au Centech, centrée sur l’innovation et l’entrepreneuriat.
  • une implication dans deux laboratoires internationaux associés avec des partenaires canadiens et français : l'ILLS (International Laboratory on Learning Systems) et le LIA EVASYM (Laboratoire International Associé ÉValuation Anatomo-fonctionnelle du SYstème Musculosquelettique).

Pourquoi choisir l’ÉTS en tant qu’étudiante et étudiant français?

  1. Première école d’ingénieur(e)s du Québec et deuxième du Canada : L'ÉTS est l’école qui diplôme le plus d’étudiants et d’étudiantes en ingénierie au Québec et la 2eau Canada. L’ÉTS, c’est une communauté de 11 000 étudiantes et étudiants, dont plus de 4000 en provenance de l'international.
  2. Des diplômes reconnus en France : Tous les programmes de baccalauréat (formation d’ingénieurs et d'ingénieures) de l'ÉTS sont accrédités par Ingénieurs Canada et reconnus en France grâce à des accords entre les organismes d’accréditation et les gouvernements canadien, québécois et français.
  3. Une formation axée sur la pratique : Les programmes de l'ÉTS sont centrés sur la pratique et l’expérimentation, permettant aux étudiants et étudiantes de s’attaquer à des problèmes réels. Les cours incluent de nombreux travaux pratiques, laboratoires et projets en lien avec l’industrie.
  4. De l’expérience professionnelle avant la fin de vos études : L'ÉTS offre le plus de stages en ingénierie au Québec, tant au 1er qu’au 2e cycle. Un baccalauréat en génie à l'ÉTS comprend au moins trois stages de quatre mois en entreprise, une formule comparable à de l’alternance.
  5. Un campus dynamique à Montréal : Étudier à l'ÉTS, c’est profiter d’un campus vibrant au cœur de Griffintown, entre le centre-ville et le Vieux-Montréal. Montréal est réputée pour sa vie culturelle dynamique avec ses festivals, musées et événements artistiques tout au long de l’année. Découvrez-en plus sur la vie à Montréal.
  6. Une vie étudiante stimulante : Plus de 70 clubs et regroupements étudiants offrent des occasions de mettre en pratique vos apprentissages, créer des liens et participer à des compétitions internationales.
  7. Une université francophone dans une ville cosmopolite : Montréal offre de nombreuses occasions de pratiquer l’anglais, que ce soit lors de stages ou dans les laboratoires de recherche.
Le campus de l'ÉTS apparaît. Trois étudiants discutent, assis sur un banc. À droite, dans un nuage de brume, s'affichent le sigle de l'ÉTS ainsi que les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec. Apprendre autrement. »
Puis l'une des étudiants sur le banc apparaît à l'intérieur d'un pavillon, assise à une table d'étude. Elle est identifiée « Mylène, étudiante en génie des opérations et de la logistique DUT Qualité, logistique industrielle et organisation - IUT de Nantes ». Elle dit: « J'ai décidé de continuer à l'ÉTS parce que je voulais vraiment partir à l'étranger. C'est quelque chose que j'avais envie de découvrir, découvrir des nouvelles cultures... et partir un petit peu de la France, de ce que je connaissais déjà. L'ÉTS, c'est une école qui est francophone, donc c'était quelque chose qui penchait beaucoup dans la balance, de pouvoir partir aussi loin, découvrir une nouvelle culture, un nouveau continent, mais de quand même rester dans cette facilité de continuer en français. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis un autre étudiant apparaît, assis au même endroit que Mylène. Il est identifié « Gauthier, étudiant en génie mécanique DUT Mesures Physiques - IUT de bordeaux ». Alors qu'il parle, il apparaît brièvement descendant un escalier puis discutant dans un atrium. Il dit: « La grosse différence, avec l'ÉTS, c'est vraiment qu'on peut faire preuve d'autonomie. On a beaucoup plus de flexibilité dans le choix des cours. Ça nous permet d'être proactifs où on peut gérer vraiment notre emploi du temps comme on veut pour avoir des projets extrascolaires ou travailler à côté à temps partiel. Donc, ça nous laisse vraiment une très bonne opportunité de s'ouvrir un peu aussi à la culture québécoise, puisque si on veut, par exemple, on pourrait éventuellement imaginer des week-ends de trois ou de quatre jours si on arrange bien ses cours, donc pour aller visiter, par exemple, le Québec. »
La porte rouge des Résidences universitaires apparaît. À l'intérieur, Mylène mange un sandwich dans une salle commune en riant avec d'autres étudiants. Puis elle apparaît à nouveau dans le pavillon, assise près d'une table d'étude. Elle dit: « L'avantage d'habiter aux résidences, c'est que du coup, on est vraiment au coeur du campus, on est vraiment inclus dans la vie étudiante, on passe notre vie sur le campus. On est en contact avec des étudiants de l'ÉTS en permanence. »
Mylène prend des photos sur le campus puis une image de la ville Montréal apparaît. Mylène continue: « Le fait est qu'on vit aussi à côté du centre-ville, donc à pied, on est vraiment à toutes les commodités, on a une épicerie pas très loin, le métro qui est pas très loin non plus. On est à 20 minutes à pied du vrai centre-ville de la rue Sainte-Catherine, par exemple. C'est vraiment un cadre assez idéal et vraiment chouette dans lequel vivre. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis un autre étudiant apparaît, assis au même endroit que Mylène dans le pavillon, près d'une table d'étude. Il est identifié « Xavier, étudiant en génie logiciel DUT Informatique - IUT de Saint-Dié-Des-Vosges ». Il dit: « Montréal a été ça a été un coup de foudre. C'est tellement vivant, y a tellement tout à faire, et même encore aujourd'hui, après quatre ans, je me surprends à, des fois, aller me balader et tomber dans une rue que j'ai jamais vue ou alors dans une rue que je connais déjà, redécouvrir quelque chose qui n'y était pas avant. Autre chose, en fait, qui va dans le fait qu'on a énormément de chance d'être au Canada et que ça fonctionne différemment, c'est qu'à chaque fois, j'ai eu la chance de transformer mon stage en temps partiel. »
Des images du campus puis d'un tunnel éclairé défilent. Xavier, sa carte étudiante en main, entre dans un laboratoire informatique puis travaille sur un ordinateur. Il continue: « Donc, je pense que tous ceux qui sont actuellement en France et qui ont eu un stage savent à quel point c'est difficile d'essayer d'obtenir un temps partiel, mais on vient nous proposer ça et on accepte qu'on soit pas forcément full time ici. Ça prend, en fait, une bonne gestion du temps. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Gauthier apparaît de nouveau, assis au même endroit dans le pavillon. Il dit: « Un des avantages vraiment, au Canada, aussi, c'est que les loyers, notamment donc dans la zone de Montréal, sont plus faibles, au Québec, en particulier. Donc, c'est plus facile de vivre au niveau du loyer qu'en France dans une grande ville, par exemple, comme Paris ou Bordeaux. »
Le campus apparaît. Puis Mylène revient à l'écran, assise dans le pavillon. Alors qu'elle parle, elle apparaît brièvement, travaillant sur un ordinateur portable, son appareil photo posé près d'elle. Elle dit: « La manière de travailler à l'ÉTS, elle est différente de celle du DUT. On apprend, on fait beaucoup d'exercices, on fait en sorte de bien comprendre les notions, et les examens sont pas du tout piégeants. En fait, on cherche plus à valider si la matière est bien apprise, bien comprise, et c'est plus facile d'avoir, je trouve, des bonnes notes à l'ÉTS. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Xavier revient à l'écran, assis dans le pavillon. Il dit: « L'ÉTS, vraiment, nous pousse à aller vers l'industrie. On a la chance d'être une école de génie, ça veut dire que l'ensemble de nos enseignants de département sont des ingénieurs. Ils travaillent ou ont travaillé récemment dans le domaine, la grande majorité, et du moins, à ma connaissance, tous mes enseignants ont continué de travailler à côté, en plus de donner des cours, et du coup, ils ont une représentation de l'industrie qui est beaucoup plus véritable. »
L'escalier et l'entrée du pavillon apparaissent. Gauthier revient à l'écran. Il dit:
« Dans mes trois stages, j'ai été accompagné par le service des stages et par les différentes personnes qui travaillaient au sein de ces entreprises.
C'était l'occasion pour moi d'avoir vraiment une expérience professionnelle concrète qui m'a permis de travailler sur différents marchés. L'entrepreneuriat, ça m'est venu un peu par hasard. Donc, j'ai pris un cours à l'ÉTS qui s'appelle introduction à l'entrepreneuriat. »
Gauthier marche en direction du Centech. Il entre dans le bâtiment, passe une porte marquée du mot « Thales » puis il travaille sur un ordinateur portable. Il poursuit: « Suite à ce cours, on a participé, en fait, à une mini compétition qui pouvait nous faire obtenir une place dans le programme d'accélération du Centech, et c'est comme ça que j'ai intégré, en fait, le programme, et de fil en aiguille, en fait, j'ai rencontré donc... mon manager, chez Thales, qui m'a donné l'opportunité de continuer mon travail, donc maintenant, j'occupe un poste de gestionnaire des opérations chez Thales, donc dans un programme d'entrepreneuriat, qui est finalement en collaboration avec le Centech. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Mylène revient à l'écran, assise dans le pavillon. Elle dit: « En France, c'est vrai qu'on est souvent concentré sur nos études, et on est vraiment à temps plein dans nos études, alors qu'à l'ÉTS, c'est quelque chose qui est vraiment mis en valeur, je pense que c'est à l'école, mais aussi, bien... les Québécois, en général, mettent beaucoup en valeur cet esprit d'implication étudiante en dehors des cours, surtout avec les clubs étudiants, donc les clubs étudiants scientifiques, mais aussi les regroupements étudiants, donc moi, je fais partie d'un regroupement étudiant. »
Xavier marche dans un couloir puis entre dans une pièce où des étudiants travaillent sur divers projets. Puis il apparaît assis près de la table d'étude dans le pavillon. Il dit: « Bah, en fait, c'est mon conseil d'ancien: rejoignez un club étudiant. Votre diplôme, en fait, change complètement. Déjà, vous avez la chance, si vous êtes assidu dans les clubs étudiants, de repartir avec une distinction à la fin de votre bac, et en fait, au-delà de ça, ça vous permet de vous créer un réseau, de vous donner une expérience qu'un stage ne peut pas forcément des fois vous donner. Ça vous permet de pousser un peu plus loin dans des domaines qui, des fois, vous n'avez pas pu pousser aussi loin que vous voulez. Au-delà de ça, je voulais rejoindre l'OIQ. Donc, du coup, l'Ordre des ingénieurs du Québec, parce qu'y a trop peu d'ingénieurs logiciels dans l'OIQ, et j'aimerais vraiment pouvoir participer au renouveau, enfin, de l'ingénierie logicielle en tant que telle. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Gauthier apparaît à nouveau, assis dans le pavillon. Il dit: « Après quatre ans à l'ÉTS, j'ai vraiment l'ambition de rester au Québec, notamment parce que la ville de Montréal est vraiment dynamique, et... le climat et la qualité de vie sont intéressants. Donc, je compte vraiment rester au Québec ou alors au Canada. »
Sur un fond blanc, le sigle de l'ÉTS apparaît à gauche dans un cube rouge avec les mots « Le génie pour l'industrie ». Les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » s'affichent en noir à droite.

L'expérience ÉTS de nos étudiant(e)s français diplômés de DUT

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, un jeune homme est assis près d'un module brun. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite. Il dit « OK » en souriant et tape dans ses mains.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
(musique entraînante)
Le jeune homme, identifié « Gelel, étudiant-athlète en double diplôme à la maîtrise en génie des technologies de la santé », revient à l'écran. Il dit: « Bonjour, je m'appelle Gelel. Moi, je viens d'une formation d'ingénieur en informatique qui fait du groupe INSA et qui s'appelle ISIS Castres, et je suis ici pour effectuer un double diplôme en maîtrise technologies de la santé dans un profil mémoire. Je finalise ma cinquième année en France en finalisant une maîtrise au sein de l'ÉTS, et dans mon cas, c'est... je choisis d'orienter mes études plus vers le médical, sachant qu'à la base, je faisais de l'informatique. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai découvert l'ÉTS en discutant avec un ami qui avait déjà fait un échange à l'ÉTS. Du coup, il m'a convaincu. J'ai fait mes petites recherches... et du coup, j'ai choisi de venir à l'ÉTS. Quand j'ai vu un peu la description de l'ÉTS, j'ai vu que c'était, déjà, une école qui était plutôt jeune, dynamique, qui avait des relations plutôt privilégiées avec le monde... avec l'industrie.Y a un cadre pédagogique qui est plutôt important, on a des bons cours, des bons enseignements. Les professeurs sont souvent des experts dans leur domaine. Y a une vie étudiante qui est plutôt sympa avec différents clubs, comme les clubs sportifs. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi as-tu choisi le profil avec mémoire (recherche)? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai choisi de faire un profil mémoire pour faire un projet de recherche. Je voulais essayer d'avoir un impact positif sur une problématique qu'on peut rencontrer dans la vie de tous les jours ou dans un domaine précis, et aussi, en même temps, je voulais découvrir ce que c'était, la recherche, et également, j'ai eu la chance de trouver un bon sujet de recherche qui m'a tout de suite plu. Du coup, c'est pour ça que je suis orienté vers la recherche. Je suis en partenariat, en fait, avec l'Institut de neurologie de Montréal, où je travaille sur la robustesse des systèmes de guidance en neurochirurgie à l'aide d'échographies cérébrales. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment as-tu trouvé ton projet et ton directeur de recherche? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Pour trouver un sujet de recherche, y avait plusieurs possibilités, j'ai essayé de regarder un peu les annonces qui sont faites sur le site de l'ÉTS, parce que sur le site de l'ÉTS, on peut retrouver plusieurs annonces. Y a des informations sur le professeur, sur le sujet, qu'est-ce qui est demandé, s'il y a une bourse que le professeur donne, etc. Moi, j'ai choisi de contacter directement les professeurs et ensuite de faire un entretien individuel avec ces professeurs-là, et finalement, de voir avec lequel ça allait matcher. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est la charge de travail d'un projet de recherche? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Dans une maîtrise mémoire, on doit être beaucoup plus autonome que dans une maîtrise projet. On doit beaucoup plus s'organiser et essayer de se mettre des objectifs pour pouvoir réaliser au mieux les différentes étapes qui vont réaliser notre projet de recherche. C'est plus de l'organisation que... qu'une charge de travail importante. Si on arrive à bien s'organiser, on peut réussir à faire un projet de recherche assez facilement. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « C'est quoi l'expérience ÉTS? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « L'ÉTS, ça serait un lieu de partage, si on peut dire. On peut rencontrer beaucoup de monde, on peut apprendre beaucoup de choses. Je pense que c'est le bon mot pour décrire l'ÉTS: le partage. Je suis tombé sur un directeur de recherche qui est plutôt disponible, qui donne de son temps. Je peux poser des questions, que ça soit sur l'aspect recherche, ou travail, ou quoi que ce soit, même sur l'aspect de la vie quotidienne, je peux lui poser des questions. L'environnement de travail, on a la chance d'avoir un cadre qui est plutôt sympa, des immeubles qui sont plutôt récents. On ressent aussi que l'ÉTS investit beaucoup sur la recherche. Du coup, on peut facilement faire des demandes pour des besoins spécifiques pour nos projets de recherche et elles sont souvent acceptées, et ça, c'est plutôt agréable. Et voilà, je pense qu'y a un bon cadre de travail. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « De quelle manière finances-tu tes études au Canada? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai eu la chance d'avoir une bourse d'études qui est financée par mon professeur pour réaliser mes recherches, et en parallèle,
je suis étudiant-athlète, du coup, j'ai aussi reçu une bourse du centre sportif. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Es-tu impliqué dans un club? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Moi, je fais partie du club... d'un club sportif qui est les Piranhas rugby de l'ÉTS. Je m'entraîne avec l'équipe de l'ÉTS pour représenter les couleurs de l'ÉTS dans le championnat RSEQ, qui est la plus haute division qu'on peut connaître ici. J'ai la chance d'avoir un encadrement qui... qui est plutôt professionnel avec des personnes qui sont impliquées dans Rugby Québec. J'ai eu la chance de rencontrer une bonne bande de copains. On peut échanger, que ça soit dans les entraînements ou même en dehors des entraînements, on vit des expériences tous ensemble. Faire partie des Piranhas rugby, ça permet d'avoir des relations, de s'intégrer beaucoup plus facilement dans un endroit qu'on connaît pas, dans un pays qu'on connaît pas. C'est aussi... d'avoir la chance de pouvoir faire un double projet, c'est-à-dire ses études et aussi jouer à haut niveau au rugby. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Ce qui est agréable à Montréal, c'est qu'y a pas mal de parcs, et du coup, y a pas mal de nature, on peut aller très facilement dans un parc et passer du temps avec des amis et profiter du soleil. Premier jour, quand je descends de l'avion, c'était une tempête de neige. Du coup, bah, c'était ma première image du Québec. Moi, j'arrivais du sud de la France où il fait plutôt bon y vivre, et j'arrive d'un coup, à Montréal, en pleine tempête de neige. C'était... ça m'a surpris, mais c'était plutôt cool. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Je pourrais leur dire: n'hésitez pas. N'hésitez pas, essayez de contacter des personnes qui ont vécu l'expérience. C'est plutôt intéressant d'avoir un retour d'expérience. Faut pas avoir peur de s'engager, de toute façon, y a que des bonnes expériences, y en a pas des mauvaises. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Alors, mes intentions pour le futur, elles sont pas encore vraiment définies, parce que je suis dans un profil mémoire, du coup, je sais pas si j'ai envie de continuer dans les études ou de... d'aller dans le monde du travail, mais ce qui est sûr, c'est que je me plais bien ici, pourquoi pas continuer à travailler ici? »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

Gelel, étudiant en double diplôme à la maîtrise en génie des technologies de la santé

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, une jeune femme est assise près d'un module brun. Elle sourit et tape dans ses mains. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
La jeune femme, identifiée « Annaëlle, étudiante en double diplôme à la maîtrise en gestion des projets d'ingénierie », revient à l'écran. Elle dit: « En France, j'ai suivi une formation dans une école d'ingénieur, donc un cinq ans, c'était dans le domaine du génie physique, c'est-à-dire que j'ai étudié tout ce qui était la physique des matériaux, des composants, toutes les nanotechnologies et aussi tout le domaine de l'instrumentation avec les tests et les mesures. Ici, à l'ÉTS, moi, je suis en double diplôme et je suis la maîtrise gestion de projets d'ingénierie. Donc, en fait, en double diplôme, c'est que j'ai remplacé ma dernière année d'études dans mon école d'ingénieur en France par la réalisation d'une maîtrise complète ici, à Montréal, à l'ÉTS, et donc à la fin, je serai diplômée à la fois de mon école française et d'une maîtrise ici. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi as-tu choisi l'ÉTS? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « J'ai découvert l'ÉTS par le biais d'amis à moi qui ont réalisé des maîtrises similaires ici, à l'ÉTS, donc j'ai pu en parler avec eux et voir que ça collait vraiment bien avec mon projet professionnel, et donc c'est ce qui m'a donné envie de postuler pour venir ici. Moi, j'ai choisi l'ÉTS parce que déjà, c'est une école qui est quand même très réputée pour les étudiants en génie, et je trouvais ça vraiment génial de pouvoir aller dans une école où je pouvais suivre une formation pas 100 % technique, mais où je pouvais quand même valoriser le fait que j'ai étudié en génie, et donc vraiment pouvoir m'orienter maintenant sur d'autres domaines, et à savoir la gestion de projets. Faire de la gestion de projets, c'était vraiment un choix personnel, dans le sens où je considérais que j'avais assez travaillé dans le technique, que j'ai adoré mes études dans le domaine de la physique, mais que je voulais passer à autre chose et apprendre d'autres compétences pour vraiment travailler en tant que chef de projets plus tard dans une entreprise. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Qu'est-ce qui te plaît dans tes cours à l'ÉTS? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « En France, j'avais déjà quelques cours de gestion qui étaient pas, enfin... des cours qui étaient pas 100 % techniques et scientifiques. Mais là, vraiment, en étudiant que ça, ici, à l'ÉTS, j'ai pu aller plus loin dans les notions. J'ai vraiment pu aborder plein de domaines et apprendre vraiment beaucoup de choses dans ces compétences transversales. Et le cours que j'ai préféré, je pense que c'était un cours où j'ai pu travailler directement avec une start-up québécoise de mon choix, et là, on a pu, dans ce cours, proposer un nouveau plan de sous-traitance à l'entreprise et ce qui était super, c'était déjà de pouvoir travailler avec des professionnels, mais aussi de rendre un devoir, un projet, on savait, qui allait être utile et qui est utilisé aujourd'hui par l'entreprise. Parmi les choses que j'ai aimé faire dans les cours à l'ÉTS, y a toutes les études de cas où j'ai pu travailler sur des grosses entreprises qui sont connues mondialement, comme Canada Goose ou Amazon, on a vraiment pu étudier leur modèle d'affaires, etc. Et puis, y a aussi les travaux vraiment, faits pour les entreprises elles-mêmes. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment trouves-tu la charge de travail et tes cours? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Moi, personnellement, la charge de travail, si on compare vraiment à ce que j'étudiais avant et à mon école d'ingénieur en France, elle est plus légère. Mais déjà parce que c'est un domaine d'études complètement différent, enfin, je suis passée... de la physique quantique, des lois de Maxwell, à l'étude plus du management, des registres de risques, etc. Donc, la charge de travail est plus légère, mais en même temps, on a plus de travail personnel, c'est-à-dire qu'on passe moins de temps en cours, assis, à écouter un professeur, on va avoir plus de projets de groupe. Mais c'est quand même nécessaire d'avoir plus de temps libre parce que vu qu'on fait beaucoup de projets de groupe, faut pouvoir adapter son emploi du temps pour pouvoir faire des réunions, avancer à notre rythme, etc. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Qu'est-ce qui différencie l'ÉTS? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Concernant l'ÉTS, déjà, je trouve que, vraiment, on peut adapter notre formation comme on veut parce que la différence, en France, ici, on peut vraiment choisir à chaque session tous les cours qu'on veut faire, donc on peut vraiment nous-même choisir quel domaine on veut étudier en particulier. Donc, c'est vraiment super sympa de pouvoir choisir sa formation comme on veut. Je décrirais aussi l'ÉTS comme une école où on est très proche du corps enseignant. Vraiment, on peut se référer aux professeurs pour tout. On peut vraiment leur poser n'importe quelle question, et ils sont toujours très disponibles pour nous répondre. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « La chose qui m'a plus étonnée en arrivant à Montréal, c'est qu'y a des écureuils partout, vraiment. Il suffit d'aller au Square Saint-Louis pour voir qu'il y en a vraiment partout, et ça, c'est quand même assez étonnant. Du coup, nous, en tant que Français, on est toujours là à les prendre en photos, à les trouver trop mignons. Mais sinon, dans mes choses préférées à Montréal, l'endroit que je conseille à tout le monde, c'est le belvédère d'Outremont. Pour moi, c'est vraiment le meilleur spot à Montréal pour aller voir le coucher du soleil sur la ville. Sinon, je dirais vraiment à tout le monde de se balader dans tous les quartiers de Montréal parce que je les trouve tous très différents, que ce soit aller downtown ou aller à la Petite Italie, enfin vraiment, tout est super joli à Montréal. Et je dirais à tout le monde d'aller au marché Jean-Talon parce que l'ambiance, elle est hyper sympa, très conviviale, et qu'on peut trouver plein de bonnes choses et même un peu de fromage. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Si je revenais un peu avant ma demande de permis d'études, mon conseil, ce serait de bien savoir quel permis d'études on veut demander, parce que moi, là, j'ai un permis d'études classiques, et au final, je pense que si je refaisais ma demande, je demanderais un permis d'études où je peux faire un stage aussi avec, et donc ça permettrait de pas avoir à refaire de papiers par la suite. Donc, je pense que ça, c'est le petit conseil que je me serais donné avant de faire mes démarches administratives. Et dans sa valise, de mettre vraiment une palette de vêtements très étendue parce que ça va de tenues de ski pour l'hiver quand il fait moins 30, aux tenues d'été avec les maillots de bain parce qu'il fera vraiment très, très chaud. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Pour mon projet de maîtrise, je vais réaliser un projet d'intervention d'entreprise, et je voudrais vraiment qu'il lie mes études passées à mes études actuelles, donc pour ça, ce sera sûrement une entreprise qui évolue dans le domaine de la physique ou du test, de la mesure, etc. Et j'aimerais vraiment appliquer mes connaissances que j'ai apprises à l'ÉTS, et donc travailler en tant que chef de projet, par exemple. Pour mon travail plus tard, si je reste ici, au Québec, je sais pas encore si je resterai sur Montréal, ou alors si j'irai plus loin au fond du Québec, parce que par exemple, j'ai déjà passé une session à Rimouski, donc pourquoi pas retourner un peu plus vers les campagnes québécoises? »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

Annaëlle en double diplôme à la maîtrise en gestion de projets à l'ÉTS

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, un jeune homme est assis près d'un module brun. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite. Il sourit, dit « Ou un coup » et tape dans ses mains.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
(musique entraînante)
Le jeune homme, identifié « Bastien, étudiant en génies des opérations et de la logistique DUT - Génie mécanique et productique IUT de Nîmes », revient à l'écran. Il dit: « Je suis inscrit au programme de GOL, génie opération et logistique, et il ne me reste plus que deux sessions avant de terminer mon diplôme, donc ça fait trois ans que je suis à l'ÉTS. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi as-tu choisi l'ÉTS? ».
Bastien revient à l'écran. Il dit: « J'ai découvert l'ÉTS avec ma prof d'anglais, durant ma licence, qui était en contact avec une personne des services internationaux qui m'a présenté l'école lors d'un cours, et donc j'ai pris contact par le biais de ma prof d'anglais. J'ai échangé plusieurs courriels avec le service international. Puis après, une personne du service international m'a appelé directement pour... parce que j'avais beaucoup de questions, et après une heure au téléphone, bien, j'étais décidé à venir directement à l'ÉTS. J'étais très attiré par les stages, parce que moi, j'ai déjà travaillé, j'ai fait une licence professionnelle, donc une alternance en entreprise, et j'ai retrouvé ce système avec les stages à l'ÉTS, en partant quatre mois par an en stage. Ça permet de garder un pied dans le monde du travail et de s'intégrer plus facilement. Je décrirais que l'ÉTS, c'est vraiment une école que je trouve moderne. On a vraiment une belle installation, les bâtiments sont neufs ou récemment rénovés. On a accès à beaucoup d'ordinateurs, de technologies. Donc, c'est vraiment un environnement de travail qui est motivant. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle a été ton expérience de stages à
l'ÉTS? ».
Bastien apparaît à nouveau. Il dit: « Donc, je suis au cours de mon troisième stage, j'ai fait mon premier stage chez l'entreprise Bombardier Aéronautique, qui a duré quatre mois, où là, j'ai fait un peu plus de la gestion de projets, un peu plus de l'assistance générale sur les projets. J'ai enchaîné avec un second stage au sein de VIA Rail, donc c'est... l'entreprise qui s'occupe de... du transport de passagers, où là, j'ai été un peu plus dans le domaine technique, un peu plus dans la relation avec les données, récolter les données pour la maintenance des trains. Et aujourd'hui, je suis dans le domaine de la santé, sur un projet de nouvel hôpital qui va se construire prochainement, donc je m'occupe de la partie de logistique pour le système de l'hôpital. Je suis toujours passé par le système de placement de l'ÉTS. Je dirais pas que c'était difficile, parce que... lors de mon premier stage, j'ai postulé à beaucoup, beaucoup d'annonces, par peur de pas être pris, et finalement, j'ai eu beaucoup de réponses. J'ai passé beaucoup d'entrevues, peut-être même trop, ça m'a pris beaucoup de temps. Pour mon premier stage, j'ai quatre ou cinq offres de stage, et donc j'ai dû choisir un seul et unique stage, donc j'ai choisi d'aller chez Bombardier pour, bien, le prestige de l'entreprise et les projets qu'ils me proposaient. Les responsabilités durant les stages, elles sont mieux reconnues ici, au Québec, à mon avis, déjà parce qu'on est rémunéré à la hauteur du travail qu'on fait. Ici, on fait vraiment partie de l'entreprise, et c'est vraiment quelque chose d'habituel pour les entreprises, à tous les quatre mois, d'accueillir des nouveaux stagiaires, ça fait vraiment partie de l'équipe. Donc, on se sent vraiment comme un employé normal.
Pour le stage numéro un, j'étais à peu près à 17 ou 18 $ de l'heure. Stage numéro deux, j'étais proche des 19 $ de l'heure. Et le dernier stage, actuellement, je suis à 24 $ de l'heure, ce qui fait environ 3200 $ par mois. Les stages permettent de financer l'école à hauteur de 10 000 $ l'année, environ. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu un petit boulot en marge de tes études? ».
Bastien revient à l'écran. Il dit: « Tout le long de mon baccalauréat, j'ai travaillé à temps partiel en plus de mes études, donc jusqu'à 20 heures par semaine. C'était souvent une prolongation de mon stage. Donc, chez VIA Rail, j'ai été embauché à temps partiel pendant une session, et actuellement, je cherche à rester dans l'entreprise à temps partiel encore une nouvelle fois. Encore une fois, on fait partie totalement de l'équipe. Donc, les responsabilités, elles restent comme un nouvel employé qui vient d'intégrer l'équipe de travail, donc... on a pas un statut d'étudiant, ou de stagiaire, ou d'apprenti. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Bastien apparaît de nouveau. Il dit: « Quand je suis arrivé, j'étais vraiment étonné de la multiculturalité qu'il y a ici. On peut vraiment passer d'un quartier à un autre et tout est différent, de la Petite Italie au quartier Chinois, en traversant plusieurs autres quartiers, qui vraiment montrent l'intégrité de la population ici. Donc, c'est vraiment quelque chose qui m'a étonné, mais positivement. Chacun peut trouver sa place dans la ville. Mon endroit préféré à Montréal, ce serait le parc de Dieppe qui est à côté d'Habitat 67. C'est vraiment un tout petit parc, mais qui est au milieu du fleuve Saint-Laurent, et on voit vraiment toute la ville. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quels sont les avantages de vivre dans les résidences de l'ÉTS? ».
Bastien apparaît de nouveau. Il dit: « Donc, ça fait six mois que je vis aux résidences de l'ÉTS. Les avantages sont que... déjà, on a pas le transport à prendre pour aller à l'école, donc même personnellement, je n'ai pas de carte de métro, d'abonnement de métro, donc c'est une économie de 50 $ par mois. On a internet qui est fourni, on a la buanderie qui est à côté, puis plusieurs épiceries, et on est vraiment dans un quartier qui est en pleine évolution, donc c'est un beau quartier en plus de l'avantage du transport. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Bastien revient à l'écran. Il dit : « Je dirais qu'il faut pas hésiter à aller aux résidences de l'ÉTS, ne serait-ce que pour les quatre premiers mois, pour pouvoir s'intégrer plus facilement, être à côté de l'école, rencontrer du monde, et aussi de faire les démarches au niveau bancaire afin d'avoir une carte de crédit en arrivant. Ça permet de débloquer pas mal de situations. Donc, ce serait vraiment les deux principaux conseils. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Bastien revient à l'écran. Il dit: « J'ai prévu, après ma graduation, de continuer à travailler avec un permis de travail post-diplôme, puis peut-être que dans quelques années, je reprendrai mes études avec une maîtrise pour m'améliorer dans mon domaine. »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

Bastien, diplômé de DUT et étudiant à l'ÉTS

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, un jeune homme est assis près d'un module brun. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite. Il demande: « C'est bon? »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
(musique entraînante)
Le jeune homme, identifié « Nicolas, étudiant en génie mécanique DUT - Génie mécanique et productique IUT de Nantes », revient à l'écran. Il dit: « Alors, je suis en génie mécanique. Je suis à l'ÉTS depuis deux ans et demi. Je suis à peu près à la moitié de mon cursus. J'ai fait un DUETI, donc qui dure un an après les deux ans d'IUT, et maintenant, je suis à temps plein comme un étudiant québécois ».
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi avoir choisi l'ÉTS? ».
Nicolas revient à l'écran. Il dit: « Alors, j'ai découvert l'ÉTS grâce à mon IUT parce qu'y a des partenariats, donc entre l'IUT et l'ÉTS, et donc on avait plusieurs universités dans lesquelles on pouvait faire un DUETI, justement. En fait, on avait plusieurs choix de pays et d'universités dans lesquelles on pouvait effectuer notre DUETI. Moi, j'ai choisi l'ÉTS principalement parce que c'était la seule école canadienne et québécoise. Donc, on avait plusieurs universités dans lesquelles on pouvait effectuer notre DUETI, et moi, j'ai choisi l'ÉTS parce que c'était la seule université québécoise. Plusieurs intervenants sont venus nous présenter l'école, le parcours... et j'étais vraiment intéressé par aussi... l'organisation de l'école et la manière d'enseigner au Québec. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Es-tu impliqué dans un club? ».
Nicolas revient à l'écran. Il dit: « L'implication dans un club, c'est vraiment très important, surtout à l'ÉTS parce que ça permet à la fois de rendre les choses qu'on apprend en cours très concrètes, parce qu'on les applique. Je fais partie du club Quiets, donc qui est... un club de motoneige... et l'objectif de notre club, c'est de modifier des motoneiges pour les rendre plus silencieuses et plus écologiques. Chaque club a une manière un peu différente de fonctionner. L'objectif de notre club, c'est de rendre nos membres le plus libres possible. Donc, chacun s'implique à la hauteur de ses ambitions et de ses besoins. J'ai deux rôles, en fait, c'est de m'occuper de la communication et des partenariats du club, et mon deuxième rôle, c'est de m'occuper de tout ce qui est usinage au sein du club. Par exemple, moi, quand je m'occupe de la communication, ce genre de choses, c'est clairement un... un truc que j'apprendrai jamais en cours, enfin, pas en génie, en tout cas. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Qu'est-ce qui différencie l'ÉTS? ».
Nicolas revient à l'écran. Il dit: « La manière de fonctionner est vraiment différente dans les cours. Pour moi, la plus grosse différence, c'est le fait qu'on ait pas de classe, à proprement parler. On est vraiment en groupe, et donc... chaque élève est beaucoup plus indépendant et beaucoup plus libre dans sa manière de travailler, et ça, c'est vraiment quelque chose qui se ressemble beaucoup au début, quand on arrive à l'ÉTS. Pour moi, la plus grosse différence aussi, et ce qui permet vraiment de différencier l'ÉTS, c'est l'emphase sur les clubs. Les clubs font vraiment partie intégrante de la vie sur le campus. Ils ont beaucoup de moyens, pas seulement financiers, mais aussi matériels. On a un bâtiment qui est réservé entièrement pour les clubs. Ça, vraiment, ça rend le travail dans un club au-delà juste d'un simple loisir. Ça en fait presque un travail à part entière, et ça, c'est vraiment super. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Nicolas revient à l'écran. Il dit: « Pour moi, le coup de coeur à Montréal, c'est un peu cliché, mais c'est vraiment le mont Royal. C'est vraiment, en fait, quand on se balade là-bas, on est en pleine forêt et on oublie complètement qu'en fait, on est au coeur même de Montréal, qui est une très grosse ville très urbanisée. Moi, ce qui m'a le plus marqué, c'est surtout quand je suis arrivé au Québec, et la première fois... quand j'allais dans des commerces, par exemple, c'est le fait que tout le monde me tutoyait. On avait le sentiment, vraiment, d'une proximité beaucoup plus importante qu'en France. Mais malgré tout, ça... On avait un sentiment d'être plus poli, mieux reçu, et ça, c'est vraiment... quelque chose qui marque, surtout au début. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Nicolas revient à l'écran. Il dit: « Pour moi, le meilleur conseil que je puisse donner à des étudiants qui arrivent, surtout qui arrivent de France, c'est de s'inscrire le plus vite possible dans un club. En fait, pour moi, c'est le meilleur moyen de sociabiliser, de rencontrer des personnes, et surtout, de rencontrer des Québécois plus que de traîner qu'avec des Français, et donc le club, pour moi, c'est la meilleure manière d'arriver à ça. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Nicolas revient à l'écran. Il dit: « Après le diplôme, j'ai prévu de rester un an ou deux pour faire partie de l'Ordre des ingénieurs du Québec. Après ça, je sais pas encore, on verra bien comment les années de travail se passent. »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

Nicolas, diplômé de DUT et étudiant à l'ÉTS

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, une jeune femme est assise près d'un module brun. Elle ajuste un micro sur son vêtement et demande: « C'est bon là? » Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
(musique entraînante)
La jeune femme, identifiée « Noémie, étudiante en génie mécanique DUT - Chimie à l'IUT 1 de Grenoble », revient à l'écran. Elle dit: « Je suis en programme de génie mécanique à l'ÉTS, et ça me permet d'être à ma cinquième session d'études et... plus quatre mois de stage. J'ai découvert l'ÉTS en tombant sur un flyer à mon école, enfin, dans des conférences d'étudiants pour trouver leur avenir, etc., et je suis tombée sur un flyer qui écrivait: « Revenir en France en tant qu'ingénieur », et c'était revenir, du coup, du Canada, et j'étais vraiment intéressée à partir à l'étranger, donc c'était vraiment une opportunité pour moi de partir au Canada, en faisant les études d'ingénieur que je voulais faire en France. Ce qui m'a fait choisir vraiment l'ÉTS, c'est parce que je suis en bac génie mécanique, du coup, et ça me permet de faire une option dans la santé, et c'est ce qui m'intéressait dans les études. Donc, c'est parti de prendre une spécialité en biomécanique, et c'était exactement la spécialité qui était proposée à l'ÉTS, donc c'est exactement ce que je cherchais. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affichent les mots « Continuité avec tes études en France ».
Noémie apparaît de nouveau. Elle dit: « Alors, j'ai fait un DUT en France. Je suis venue au Canada avec un DUT qui n'était pas partenaire avec l'école. Ça m'a permis, du coup, d'intégrer l'ÉTS en tant que juste étudiante internationale. La continuité, je l'avais pas vraiment parce que j'ai un DUT en chimie, et j'ai intégré génie mécanique, mais j'ai eu aucun souci à intégrer génie mécanique parce qu'y a des cours vraiment de base qui ont permis de récupérer tous ceux qui avaient pu faire un DUT génie mécanique en France. Alors, la plus grosse différence quand j'ai intégré l'école, c'est les notes. Par exemple, à 75 % ici, ça équivaut pas du tout à un 15 en France, ça équivaut à un 11, 12... Donc, les premières notes, on sait pas du tout comment se positionner. Nous, on peut être contents. Eux, ils l'étaient pas, du coup, on s'est rendu compte, là, l'écart entre les notes, tu te dis: « D'accord, en fait, il faudrait avoir 90 », et en France, un 18 sur 20, c'est... c'est pas envisageable. Du coup, c'est vraiment ça qui a été difficile au début... parce qu'on avait l'impression qu'on avait le niveau alors qu'on était largement en dessous au départ parce qu'on satisfaisait les notes françaises. Après, ce qui a été... facile, c'est qu'y a beaucoup de travaux de groupe. Du coup, on peut vraiment échanger avec les étudiants. On a... dans chaque cours, quasiment, on a des projets, donc on découvre des nouvelles personnes dans chaque classe parce qu'on appartient pas à une classe, on appartient à un cours, donc on croise toujours de nouvelles personnes. Donc ça, c'est vraiment très intéressant au sein de l'ÉTS. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affichent les mots « Charge de travail ».
Noémie apparaît de nouveau. Elle dit: « L'ÉTS fonctionne d'une certaine façon à laquelle on choisit nous-même nos cours. Donc, on peut les prendre quand on veut dans notre parcours, à peu près, en fonction des matières à prendre au préalable, mais ça permet de... je sais que la matière codage, je l'ai pas prise en première session, j'ai eu le temps de m'adapter aux outils informatiques d'ici, etc., pour après, prendre codage en quatrième session alors que j'aurais pu le prendre en première session. Donc, c'est vraiment intéressant de pouvoir moduler, si on veut faire... si on veut faire des sessions beaucoup plus light, ça nous permet de prendre que trois matières, ça nous permet de prendre quatre matières, mais dont deux plus faciles. On sait entre nous, en discutant, y a toujours quelqu'un qui a déjà fait les matières, donc on peut vraiment savoir quelle matière peut être plus facile avec quelle matière on peut prendre, comment on peut croiser les informations, etc. Donc ça, c'est très intéressant. Je suis en fin de deuxième année, ça n'empêche que j'ai pas du tout le même programme que quelqu'un qui a commencé en même temps que moi. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment trouves-tu la relation avec le personnel enseignant? ».
Noémie revient à l'écran. Elle dit: « Ce qui m'a ensuite étonnée, parce que dans mon DUT, y avait pas ça, cette proximité avec les professeurs. On peut leur envoyer un mail un samedi à 23 h, ils nous répondent. Ils font des Zoom si on a pas compris un exercice. En France, c'était... si on y arrivait pas, on allait peut-être le voir à la fin du cours, mais ça s'arrêtait là, quoi, et ils avaient pas leur proximité, ils étaient là, en mode: « Si vous êtes en cours, vous posez les questions. Après, je suis pas là pour répondre. J'ai une vie à côté. » J'ai trouvé la relation avec les enseignants beaucoup plus accessible, ce qui a permis de faciliter, dans certaines matières, l'aide et avoir des bons résultats. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment trouves-tu l'environnement de travail à l'ÉTS? ».
Noémie apparaît de nouveau. Elle dit: « Comme on a beaucoup de projets de groupe, au final... on se rend compte que les locaux, ils sont quand même très intéressants. On a des grands bâtiments. On peut faire des salles de réunion. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quel est le point fort de la vie étudiante à
l'ÉTS? ».
Noémie apparaît de nouveau. Elle dit: « L'avantage de l'école, de l'ÉTS, c'est tous les clubs scientifiques, non scientifiques, sportifs, qu'il y a. Tous les étudiants vont trouver un club qui les intéresse. Surtout les clubs scientifiques, dont je fais partie, du coup, il y a un gros lien avec ce qu'on fait en cours, donc ça permet vraiment d'avoir quelque chose de concret pour lier à la théorie ou... ou à ce qu'on pratique en cours. Donc ça, c'était vraiment intéressant, et puis on a aussi le relationnel, parce qu'on doit démarcher les entreprises, on a le relationnel parce qu'on doit prévenir les entreprises, faire de la communication... chercher des sponsors, remercier les entreprises qui nous ont offert... Donc, on a aussi un autre côté de l'ingénierie parce qu'on trouve d'autres relations, etc. Donc, les clubs scientifiques, ils ont été, pour moi, très bénéfiques à l'ÉTS, parce que ça permet aussi de rencontrer de nouvelles personnes, d'avoir quelque chose qui m'intéressait et qui faisait un lien avec les études... et des superbes infrastructures pour les clubs étudiants, avec des locaux privés, etc. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Noémie revient à l'écran. Elle dit: « Les bonnes adresses, je pense, c'est... prendre un chalet pour l'hiver avec des amis pour une fin de semaine, ça, ça vaut vraiment le coup, avec les lacs gelés, etc. Ça, c'est vraiment des choses dont on a pas l'habitude et c'est que des bons souvenirs. Et au sein même de Montréal, en été, le canal Lachine, avec... ses pistes cyclables qui vont sur 40 kilomètres. Pour le chalet donc, c'est... prendre une maison avec ses amis sur le week-end, donc le samedi-dimanche. Et l'avantage du canal Lachine, c'est que c'est à cinq minutes de l'école, donc pour les sessions d'été, c'est l'idéal. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Noémie revient à l'écran. Elle dit: « Premier conseil: avancez dans les dossiers administratifs très rapidement, de faire tout à jour, parce que c'est quand même compliqué pour les visas. Même si on est un pays qu'il y a le relationnel. Puis même si des fois, y a un coup de mou parce qu'on est à 5000 kilomètres, ça va finir par aller mieux et que ça arrive à tout le monde. Tout le monde a eu envie de retourner en France et de retrouver la famille, etc., et... ça finit toujours par aller, on rencontre toujours des personnes qui pensent la même chose que nous à ce moment-là, et... y a toujours plein d'occasions de se remonter le moral, donc... ça vaut le coup de partir 5000 kilomètres de la famille, etc. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Noémie apparaît de nouveau. Elle dit: « Après mon diplôme, je compte rester encore deux ans pour pouvoir faire partie de l'Ordre des ingénieurs du Québec, donc l'OIQ. Ce qui me passionne, c'est la biomécanique, donc je souhaite travailler dans ce domaine. L'avantage de l'ÉTS, c'est que j'ai un diplôme qui va être validé en biomécanique et donc je souhaite intégrer des entreprises de conception de prothèses ou de conception de valves aortiques, etc., pour le biomédical. »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

Noémie, diplômée de DUT et étudiante à L'ÉTS

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