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Laboratoire de commande et de robotique

Établi à l'ÉTS, le Laboratoire de commande et de robotique (CoRo) regroupe une trentaine de membres qui travaillent à concevoir de nouveaux robots ou à améliorer des robots industriels offerts sur le marché en développant, par exemple, des accessoires ou des méthodes pour les utiliser de façon optimale.

Les activités du CoRo sont axées sur la recherche appliquée en collaboration avec l’industrie et différents centres de recherche.

Notre laboratoire est doté d'équipements à la fine pointe de la technologie. Il comporte plusieurs robots industriels, y compris des robots collaboratifs, et une gamme complète d’appareils de métrologie : laser tracker FARO, bras FARO, ballbar Renishaw, système d'interférométrie Renishaw, etc.

Nos principaux axes de recherche

Dans l’industrie, la plupart des utilisateurs de robots manipulateurs se contentent de l’excellente répétabilité de leurs mouvements. Aujourd’hui, l’effecteur d’un robot industriel peut reproduire une pose déjà enseignée avec une erreur de position inférieure à 0,1 mm. Cependant, dans certaines applications, les poses à atteindre sont calculées plutôt qu’enseignées, ce qui implique qu’une précision absolue est également exigée.

L’étalonnage constitue la façon la moins coûteuse d’améliorer la précision absolue des robots. S’il existe différentes solutions commerciales pour l’étalonnage de robots basées sur l’utilisation d’appareils de métrologie, les moins chères coûtent néanmoins plusieurs dizaines de milliers de dollars. De plus, ces solutions ne satisfont pas les besoins de l’ensemble des utilisateurs pour diverses raisons (cellule robotique exigüe, absence de budget pour acheter un appareil de mesure tridimensionnelle, etc.).

Le secteur de l’aérospatiale est probablement le plus exigeant en matière de robotique de précision et, paradoxalement, le moins bien servi. Ce secteur est particulièrement présent et actif dans la grande région de Montréal où plusieurs entreprises internationales utilisent des robots industriels pour des tâches de précision, dont Pratt & Whitney, GE Aviation, Messier-Dowty, L3-MAS, Bombardier Aéronautique et Fives Liné Machines.

Les projets d’étalonnage de robots consistent essentiellement en l’utilisation d’un appareil de métrologie et d’artefacts mécaniques pour augmenter la précision absolue d’un robot. Ce travail de recherche exige une excellente base en mathématiques et fait appel à la programmation d’algorithmes d’optimisation, à la conception mécanique, à la métrologie de base, à la programmation de robots, et à l’utilisation de diverses API. C’est un travail qui implique beaucoup d’expérimentation.

L’équipe du Prof. Bonev a développé plusieurs méthodes innovatrices d’étalonnage de robots sériels et parallèles, basées par exemple sur l’utilisation d’un laser de poursuite (laser tracker) ou d’une machine de mesure de coordonnées (CMM), d'un palpeur et divers artefacts d’étalonnage, d’un « ballbar » télescopique de Renishaw, d’appareil de mesure à double caméra (C-Track de Creaform), d’un nouveau dispositif de mesure tridimensionnel (TriCal), et même d’un robot à câbles muni d’un capteur de forces et de torques.

Plusieurs de ces méthodes ont été implantées en industrie, chez Messier-Dowty ou GE Aviation par exemple. L’appareil TriCal a été vendu à quelques fabricants de robots, dont Universal Robots.

On voit un bras robotique articulé de couleur orange avec une tête carrée de couleur argentée.
*Bruits du robot*
On peut voir les lettres « ABB » inscrites sur le robot.
La partie supérieure du bras robotique se penche vers l'avant.
On voit la tête du robot qui tourne sur elle-même.
La partie supérieure du robot remonte vers le haut et s'abaisse dans l'autre sens.
Le robot tourne sur lui-même dans un sens, puis dans le sens contraire.
Il se tourne vers la droite tout en se penchant.
Il se tourne vers la gauche et s'abaisse.
Il se tourne à nouveau dans l'autre sens.
Le robot se plie à la fin de sa rotation.
Les mouvements du robot, variés, se poursuivent pendant plusieurs secondes. Tout au long des manoeuvres, un tracker laser Faro installé face au bras robotisé fait des mouvements et on aperçoit des lumières verte et rouge qui s'allument.
Zoom sur la tête du robot qui effectue toujours des rotations dans un sens puis dans l'autre.
Les mouvements du bras robotisé et de sa tête se poursuivent pendant plusieurs secondes, parfois lents, parfois rapides, tour à tour amples ou saccadés.
Changement de plan : zoom avant sur tracker laser Faro.
On voit une lumière rouge et une lumière verte s'allumer successivement sur cet appareil.
L'opération consiste à démontrer et mesurer la précision absolue du robot industriel ABB IRB, après l'application d'une procédure d'étalonnage élaborée par le laboratoire CoRo à l'aide, notamment, du tracker laser Faro.

La vidéo s'ouvre sur l'image d'un appareil, le TriCal, qui consiste en un bras robotique capable de se déplacer dans toutes les directions.
Dans le coin supérieur gauche de l'écran, on voit les logos du laboratoire CoRo et de l'ÉTS.
On voit le TriCal amorcer un mouvement. Au bas de l'écran, le texte suivant apparaît : « Calibration d'un robot industriel à l'aide d'un dispositif de mesure 3D innovant et abordable. »
On voit à nouveau le TriCal se déplacer.
Texte à l'écran : « Dispositif de mesure TriCal et artefact. »
On voit une main procéder au calibrage du TriCal à l'aide d'une sphère de précision.
À l'écran, ce texte apparaît : « Étape 1. Calibrage du TriCal avec une sphère de précision de 1,5 pouce ».
Plusieurs plans du robot en mouvement.
Texte à l'écran : « Étape 2. Échauffement du robot (3 heures) ».
Mouvements multiples du robot, dont les torsions sont précises et définies.
Texte à l'écran : « Tests de calibration et identification des paramètres ».
Mouvements variés du robot.
Ce texte apparaît maintenant à l'écran : « Étape 3. Approche selon plusieurs configurations d'articulations vers chacune des quatre sphères mesurées avec CMM ».
Ensuite : « Étape 4. Les meilleures valeurs d'articulation sont choisies parmi un large éventail de configurations à l'aide de l'indice d'observabilité ».
Le robot est toujours en mouvement; ses articulations plient et sa tête ainsi que des segments de sa structure effectuent des rotations suivant un patron défini.
Ce texte apparaît maintenant à l'écran : « Étape 5. Enregistrement des données d'articulation actuelles après que les indicateurs TriCal aient centré la sphère à chaque itération ».
Ensuite : « Le centrage de la sphère est exécuté avec une procédure automatisée préprogrammée. »
Le bras robotique approche délicatement la sphère immobile.
On revient à un plan plus éloigné du bras robotique, tandis que ce texte apparaît à l'écran : « Essais de validation à l'aide d'un laser tracker. »
Ensuite : « Étape 6. Mesure du cadre de coordonnées de l'artefact. »
Plan sur le TriCal et un laser tracker Faro. Le bras de l'opérateur place des pièces circulaires à différents endroits sur l'artefact placé entre les deux appareils.
Ce texte apparaît maintenant sous le bras robotique : « Étape 7. Retrait de l'artefact pour éviter les collisions pendant la validation. »
L'opérateur retire l'artefact.
Zoom : on voit le robot tendre sa tête vers le haut.
Ce texte apparaît en bas de l'écran : « Étape 8. Un aimant en terre rare et un SMR de 1,5 pouce sont ajoutés au TriCal. »
On voit l'opérateur poser un aimant en terre rare sur le TriCal ainsi qu'un SMR de 1,5 pouce au TriCal.
Le TriCal reprend ses mouvements.
On revient à un plan plus éloigné, tandis que ce texte apparaît à l'écran : « Étape 9. Collecte de mesures de validation avec des configurations d'articulation aléatoires dans tout l'espace de travail. »
Mouvements amples du robot.
Ce texte apparaît maintenant à l'écran : « Résultats : voir la description de la vidéo ci-dessous. »
Voici la description de la vidéo :
« Le nouveau dispositif, appelé TriCal, est essentiellement un dispositif contenant trois indicateurs numériques, orthogonaux les uns par rapport aux autres. Le dispositif, qui se monte sur la bride d'un robot industriel, est utilisé pour centrer le TCP (point central de l'outil) du robot sur chacune des boules de référence fixes.
Le processus de calibration montré ici consiste à sonder chacune des quatre boules de référence avec 20 orientations différentes. La précision du robot calibré est ensuite mesurée avec un laser tracker FARO dans 500 ensembles de joints aléatoires du robot. L'ensemble de la procédure de mesure, tant avec TriCal qu'avec le laser tracker FARO, est intégré dans RoboDK et entièrement automatisé.
L'erreur de position moyenne après calibration est de 0,326 mm, l'erreur maximale est de 0,624 mm et l'écart type est de 0,107 mm. En comparaison, lors de la calibration du robot avec le laser tracker (utilisant 80 mesures pour l'identification), l'erreur de position moyenne après calibration est de 0,231 mm, l'erreur maximale est de 0,539 mm et l'écart type est de 0,087 mm. »

La vidéo débute avec le texte suivant :
« École de technologie supérieure
Laboratoire de commande et de robotique
Calibrage non cinématique d'un robot industriel sous des charges externes multidirectionnelles »
Musique entraînante en arrière-plan
Ensuite, plan sur une installation qui comprend un robot. Les différentes parties sont identifiées : SMR, capteur de force/couple, tracker laser, servomoteur.
Zoom sur la partie supérieure du bras robotisé et le SMR qui y est fixé, accompagné de ce texte en bas de l’écran :
« Initialisation automatique du robot à câbles »
Les câbles qui y sont reliés sont relâchés légèrement, avant d'être tendus à nouveau.
Nouveau plan plus éloigné qui offre une vue plus globale du robot et de l'espace de travail. Le robot se meut délicatement, et ce texte apparaît à l’écran :
« Le robot à câbles suit le robot ABB lorsqu’il se déplace vers une nouvelle position »
Gros plan sur les servomoteurs, qui effectuent une rotation, accompagné du texte suivant :
« Les servomoteurs ajustent la longueur des câbles »
Ensuite, vue plus globale du robot en mouvement, avec une fenêtre affichée dans le coin inférieur droit qui affiche différentes informations sur la performance du robot sous forme de graphiques.
Ce texte apparaît à l’écran :
« À chaque position de l’effecteur, sept charges différentes sont appliquées par le robot à câbles »
La séquence est présentée en accéléré (x8).
Les résultats sont surveillés sur un dispositif d’affichage LCD.
Zoom sur le bras robotique, le SMR et le tracker laser. Ce texte apparaît à l’écran :
« Lorsque la charge désirée est appliquée, le tracker laser mesure la position du SMR »
Un nouveau gros plan offre une vue différente du laser en action, qui mesure la position du SMR.
Retour à une vue plus globale, avec ce texte à l’écran :
« Processus complet de mesure »
Tous les composants terminent le processus de mesure, dans une séquence présentée en accéléré (x8).

Exemples de publications :

Outre les bras manipulateurs, ces robots industriels omniprésents de type sériel, il existe un autre type de manipulateurs : les robots parallèles. Un robot sériel se compose essentiellement d'une série de segments reliés par des articulations motorisées, alors que dans un robot parallèle, il y a plusieurs séries de segments et la plupart des articulations ne sont pas motorisées.

Les robots parallèles peuvent être plus rapides, plus rigides ou plus précis que les robots sériels. Une grande partie des robots de transfert rapide sont des robots parallèles ainsi que la quasi-totalité des simulateurs de mouvement (simulateurs de vols, de conduite, etc.). Plusieurs des dispositifs de positionnement précis dans le domaine de l'optique sont également des robots parallèles.

L’équipe du Prof. Bonev travaille sur l’analyse cinématique de robots parallèles, ainsi que sur la conception et le développement de nouvelles architectures parallèles. Plusieurs prototypes ont été fabriqués au laboratoire et sont toujours fonctionnels. En collaboration avec d’autres collègues de l’ÉTS, le Prof. Bonev travaille aussi sur la commande de ces robots.

Exemples de publications :

Les robots industriels sont parfois utilisés pour l’enlèvement de matière (perçage, finition, etc.) sur les pièces en métal ou en composite. Le Prof. Ilian Bonev collabore avec des professeurs du Département de génie mécanique à l’ÉTS pour travailler sur une cellule d’usinage composée de deux hexapodes de FANUC, ainsi que sur une autre composée d’un robot KUKA à six axes combiné avec une table rotative.

Puisque les robots industriels à six axes ont un espace de travail limité, ils sont souvent utilisés en tandem avec une table rotative ou un guide linéaire, ou carrément avec un autre robot, ce qui amène de la redondance. Il y a également de plus en plus de bras robotiques à sept axes, donc redondants, tels les robots YuMi utilisés dans le cours de robotique industrielle du Prof. Ilian Bonev. Enfin, lorsqu’un robot à six axes est utilisé pour l’usinage, une tâche qui ne nécessite que cinq degrés de liberté, on a également une redondance à gérer.

L’équipe du Prof. Bonev oeuvre sur l’analyse cinématique de ces robots redondants (espace de travail, singularité), ainsi que sur la gestion optimale de la redondance.

Exemples de publications :

Fréquemment, les robots et les processus industriels impliquent des tâches complexes qui nécessitent une coordination précise et un contrôle efficace. Au laboratoire CoRo, nous nous concentrons donc également sur l'étude et le développement d'algorithmes de commande avancés pour garantir que les robots et les systèmes automatisés atteignent leurs objectifs de manière fiable et efficiente.

Par exemple, l'un des aspects clés de la commande des robots est l'asservissement des actionneurs qui les composent. Que ce soit pour des robots à morphologie sérielle ou parallèle, il est essentiel de concevoir des algorithmes de commande adaptés aux tâches qui leur sont confiées. Nos chercheurs se penchent ainsi sur l'étude de différentes architectures de commande, de stratégies de contrôle et même sur l’emploi d’algorithmes d’intelligence artificielle afin de permettre aux systèmes robotisés d’accomplir leurs fonctions de façon sécuritaire, précise et sûre.

Notre laboratoire ne se limite pas seulement à la commande des robots. Nous nous intéressons également au contrôle des processus industriels dans leur ensemble. Les processus industriels peuvent impliquer des systèmes complexes, tels que des chaînes de production automatisées, des chaînes de montage ou des systèmes de contrôle de la qualité. Nous travaillons sur des techniques de contrôle avancées, telles que la commande prédictive, la commande optimale et la commande adaptative, pour optimiser les performances, réduire les coûts de production et améliorer la qualité des produits.

En collaborant étroitement avec l'industrie, notre laboratoire vise à transférer les connaissances et les technologies développées vers des applications pratiques.

Les systèmes automatisés présents dans l'industrie adoptent de plus en plus un mode de production agile, favorisant une production davantage axée sur la demande. Ce paradigme de production, caractérisé par de plus petits lots de biens produits mais une plus grande variété, accroît la complexité des tâches confiées aux robots. En effet, au lieu d'effectuer un petit ensemble de tâches de manière répétitive, comme c'était le cas autrefois, les robots d'aujourd'hui sont appelés à exécuter des opérations plus complexes et variées. De plus, avec l'émergence des robots collaboratifs, qui travaillent désormais à proximité des humains, de nouveaux besoins de robotisation ont émergé dans de nouveaux secteurs industriels.

Afin de répondre aux exigences de la robotisation de ces processus plus complexes et variés, les robots devront être dotés de meilleures capacités de perception et d'algorithmes de contrôle adaptés. La vision artificielle permet de répondre à une partie des besoins sensoriels, mais elle ne constitue pas à elle seule une solution complète au problème de la perception, en particulier en ce qui concerne la manipulation robotique et plus spécifiquement la dextérité des robots. C'est pourquoi certains de nos chercheurs, tels que les professeurs Vincent Duchaine et Jean-Philippe Roberge, travaillent activement sur le développement de nouvelles technologies de perception tactile, dans le but de doter les futurs robots d'un sens du toucher.

Les travaux de recherche menés au laboratoire concernent particulièrement le développement de nouveaux capteurs tactiles robustes et performants, ainsi que l'élaboration d'algorithmes permettant d'interpréter leurs données afin de bonifier les habiletés de manipulation et la dextérité des robots. L'expertise développée au sein du laboratoire est principalement axée sur les capteurs tactiles capacitifs et les capteurs optiques basés sur la vision. De nombreux travaux ont été publiés, notamment sur les applications de ces capteurs dans de réels scénarios de manipulation avancés. Cela comprend, par exemple, la détection du glissement, l'évaluation de la qualité d'une prise, la reconnaissance automatique d'objets basée uniquement sur le toucher, la détection d'événements dynamiques, la classification des mouvements d'objets lorsqu'ils sont touchés accidentellement par un bras manipulateur, et bien d'autres encore.

Exemples de publications :

Notre laboratoire s'intéresse à la création d'interfaces haptiques portables permettant de restituer certaines sensations tactiles aux personnes amputées de la main. Au-delà de la mécanique simpliste qui limite la capacité de préhension des prothèses actuelles, l'incapacité de ces prothèses à percevoir et à transmettre des informations sensorielles extéroceptives et proprioceptives rend leur contrôle beaucoup plus difficile. Ce manque d'informations a des répercussions négatives sur l'habileté des amputés à effectuer de nombreuses tâches quotidiennes et nécessite une surveillance visuelle constante de la prothèse. Dans ce contexte, notre laboratoire se consacre à la recherche et à la conception d'interfaces tactiles avancées, visant à ajouter des sensations sensorielles aux écrans tactiles existants. Nous explorons des technologies et des méthodes innovantes pour créer des interfaces haptiques réalistes et immersives, offrant aux utilisateurs la possibilité de ressentir des textures, des vibrations et des forces lorsqu'ils interagissent avec des écrans tactiles. Ces interfaces tactiles enrichies peuvent être appliquées à divers domaines, tels que la réalité virtuelle, la simulation de procédures médicales, la formation, le design industriel, pour ne nommer que ceux-là.

Exemples de publications :

L'interaction physique entre les humains et les robots est un domaine relativement récent de la robotique qui vise à permettre aux robots et aux humains de partager de manière synergique le même espace de travail. Cette évolution représente une étape naturelle vers une robotique plus avancée, se situant entre la robotique industrielle actuelle et les futurs robots humanoïdes polyvalents. Cette coexistence a le potentiel d'avoir un impact considérable dans plusieurs domaines de la vie quotidienne, tels que la réhabilitation, les dispositifs d'assistance robotique ou la chirurgie assistée. Outre ces domaines d'application, ce concept a de plus en plus d’impacts dans le domaine manufacturier. Une synergie efficace entre l'humain et le robot peut y être réalisée en combinant les incroyables capacités humaines de raisonnement et d'adaptation aux environnements non structurés avec la puissance et l’efficacité inépuisables d'un robot.

Les professeurs de notre laboratoire se concentrent particulièrement sur le défi de donner à ces robots la capacité d'interagir de manière intuitive avec les humains en développant des algorithmes de commande adaptés. Cela comprend des recherches sur la commande par impédance variable et l'élaboration de stratégies de réaction (réflexes) basées sur les données de moyens de perception avancés.

L'équipe du CoRo

Ilian Bonev

Professeur

Département de génie des systèmes

Vincent Duchaine

Professeur

Département de génie des systèmes

Matthew Harker

Professeur

Département de génie des systèmes

Vincent Lévesque

Professeur

Département de génie logiciel et TI

Jean-Philippe Roberge

Professeur

Département de génie des systèmes

Tony Wong

Professeur

Département de génie des systèmes

Nous trouver

Laboratoire de commande et de robotique (CoRo)

Département de génie des systèmes
École de technologie supérieure
1100, rue Notre-Dame Ouest
Montréal (Québec) H3C 1K3

Étudiantes en laboratoire travaillant sur du matériel électronique de pointe.