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L'ÉTS vous donne rendez-vous à sa journée portes ouvertes qui aura lieu sur son campus à l'automne et à l'hiver : Samedi 18 novembre 2023 Samedi 17 février 2024 Le dépôt de votre demande d'admission à un programme de baccalauréat ou au cheminement universitaire en technologie sera gratuit si vous étudiez ou détenez un diplôme collégial d'un établissement québécois.

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Communauté Portraits d'étudiants Diplômé(e)s Génie électrique Institutionnel 50ᵉ ÉTS au féminin

Deux générations d’étudiantes inaugurent une série vidéo pour le 50ᵉ

Cette première vidéo de la série D’hier à aujourd’hui, réalisée dans le cadre du 50e anniversaire de l’ÉTS, réunit deux générations d’étudiantes du Département de génie électrique.

Chantal Quévillon, membre d'une des premières cohortes en génie électrique en 1989, a étudié sur l’ancien campus d’Henri-Julien et a obtenu son diplôme de baccalauréat en 1994. Yasmina Rhazi, quant à elle, poursuit actuellement ses études dans le même programme, sur le campus moderne de Griffintown.

Cette rencontre est l’occasion pour Chantal de redécouvrir l’ÉTS, de se remémorer ses années étudiantes et de constater à quel point l’institution a évolué depuis les années 1990. Pour Yasmina, cette discussion révèle un point commun qui traverse les époques : l’accent mis sur l’aspect pratique de l’enseignement, une caractéristique que Chantal appréciait déjà à son époque.

Une belle connexion entre passé et présent, qui illustre l’évolution constante de l’ÉTS et nous invite à imaginer les 50 prochaines années avec enthousiasme et fierté !

En savoir plus le 50e anniversaire de l'ÉTS

Le pavillon E du campus de l'ÉTS apparaît. À l'intérieur, une femme marche dans l'aire commune en souriant. Elle est identifiée: « Chantal Quevillon. Diplômée de génie électrique de 1994 ». Elle dit: « Je m'appelle Chantal Quevillon. J'ai diplômé en 1994 au baccalauréat en génie électrique de l'ÉTS. »
Une autre femme descend un escalier du pavillon puis elle est appuyée à un garde-corps. Elle est identifiée: « Yasmina Rhazi. Étudiante en génie électrique ». Elle dit: « Je m'appelle Yasmina Rhazi et je suis présentement étudiante au baccalauréat en génie électrique à l'ÉTS. »
Les deux femmes apparaissent côte à côte dans l'écran séparé d'une ligne oblique. Le titre apparaît en noir dans un bandeau blanc: « D'hier à aujourd'hui ».
L'extérieur du pavillon D apparaît puis une cour gazonnée. À l'intérieur, Chantal et Yasmina marchent dans un couloir. Puis des images du pavillon défilent. Yasmina dit: « Ça vous fait quoi d'arriver dans le nouveau bâtiment de l'ÉTS? » Chantal dit: « Pour moi, c'est très dépaysant, c'est très grand, c'est très vaste et c'est beau. » Yasmina dit: « Oui, c'est super beau. » Chantal dit: « C'est clair, c'est épuré. » Yasmina demande: « C'est complètement différent de ce que vous avez connu? » Chantal confirme: « Complètement différent. »
Chantal est sur un palier, appuyée sur un garde-corps près d'une grande paroi vitrée. Puis des photographies souvenirs défilent. Elle dit: « J'ai commencé en janvier 89. C'était le deuxième campus, Henri-Julien. C'était une bâtisse sur trois étages, petite, chaque département avait son étage, soit GPA, construction, électrique. C'était réellement l'université qui mettait de la vie dans le quartier. C'était des petites classes. Des fois, on était une vingtaine d'étudiants. Juste assez pour monter un groupe ou pouvoir avoir une classe. C'était familial. Tout le monde se connaissait. Tout le monde savait qui était Chantal. Premièrement, il y avait pas beaucoup de filles que... on était reconnues. »
Chantal et Yasmina marchent dans un couloir. Puis elles entrent dans un laboratoire rempli d'ordinateurs. Chantal dit: « Ça me rappelle des beaux souvenirs. Ça me donne le goût de recommencer mon génie. Laboratoire de première année. » Yasmina dit: « Là, on peut voir un peu... » Chantal demande: « Les jumpers? » Yasmina confirme: « Oui, exactement. » Chantal dit: « Mon laboratoire ressemblait à ceci, mais je te dirais qu'on était le quart en fait de grosseur... de station. Parce qu'on avait pas autant d'étudiants. »
Chantal est sur le palier, appuyée au garde-corps. Puis des photographies souvenirs défilent. Elle dit: « Dans certains groupes, dans certaines classes, il y avait plus de professeurs que d'étudiants. On pouvait être 15 à 20 étudiants puis il y avait plus de professeurs dans le département d'électricité. Je venais déjà d'une technique où on avait des cours avec des laboratoires. L'ÉTS était un complément de ma technique. Je voulais pas faire juste de la théorie, je voulais déployer mon attrait vers l'électronique en mettant mes mains directement dans les circuits. »
Chantal et Yasmina visitent un laboratoire d'électronique. Puis Yasmina apparaît assise dans une grande pièce vitrée avec une série de tables hautes. Elle dit: « L'ÉTS, c'est vraiment miser sur la pratique. C'est tellement encouragé à l'école, aussi avec les stages. C'est ancré dans notre parcours dans le baccalauréat parce que tu veux pas sortir d'ici puis pas savoir comment faire le lien entre ce qu'on apprend à l'école puis ce qu'on apprend... bien, ce qu'on doit vivre à l'extérieur aussi. »
Une affiche du département de génie électrique apparaît. Puis Chantal et Yasmina marchent dans un corridor dont les murs sont tapissés de portraits de finissants. Chantal dit: « En cours de magnétisme, j'ai adoré faire le... » Yasmina demande: « Ah oui? La règle de la main droite? » Chantal dit: « La règle de la main droite. Tout le monde qui a l'air un peu idiot dans leur examen en train de faire des mouvements. » Yasmina dit: « C'est vrai. » Chantal dit: « J'ai adoré ce cours-là. » Yasmina dit: « Si je me trompe pas, vous êtes une des premières bachelières de l'ÉTS? Chantal dit: « Bien... au niveau génie, oui, on faisait partie des premières cohortes. »
Chantal est sur le palier, appuyée au garde-corps. Alors qu'elle parle, une photo apparaît brièvement puis des images d'un laboratoire d'électronique défilent. Elle dit: « On étudiait, bon, les circuits électriques, on étudiait les hautes fréquences. C'était réellement très large comme éventail au niveau électricité. On passait au travers de... d'une panoplie de théorèmes. Je me souviens, c'était en hyperfréquence, il fallait faire un circuit avec plein de composantes électroniques. Ce laboratoire-là a duré toute la session pour arriver à la fin de la session où on avait notre système complet. »
Chantal et Yasmina marchent dans un corridor puis s'arrêtent devant le cadre d'une cohorte de finissants pour l'examiner. Chantal dit: « Faut aller dans le fond. » Yasmina répond. « Oui. 92. » Chantal confirme: « 92, oui. » Yasmina dit: « Ah, c'est là? Ah! Est-ce que vous reconnaissez quelques profs? » Chantal dit: « Oui, François Gagnon, M. Awad, Naïm Batani, Michel Brûlé. »
Chantal est sur le palier, appuyée au garde-corps. Alors qu'elle parle, des images du pavillon défilent. Elle dit: « Je pensais pas que l'ÉTS aurait autant grossi que ça. Moi, je voyais tout le temps ma petite université. Quand je compare, maintenant que je viens visiter vos locaux, c'est immense. Les clubs ont leur local. La bibliothèque est immense. Je pensais pas que l'ÉTS prendrait autant d'expansion. »
Yasmina est assise dans la grande pièce avec la série de tables. Puis des images extérieures du campus défilent. Elle dit: « Je trouve que le campus est super, surtout en été. C'est tellement illuminé. Ici, on peut voir, comme, il y a le petit balcon. Puis tu vois tout le monde, ils sont sur le campus. Je suis vraiment fière d'être à l'ÉTS. Même pendant mes stages, je trouve que c'est... Le monde qui me dit: Tu viens de quelle école? L'ÉTS. C'est toujours avec fierté. »
Chantal et Yasmina marchent dans le corridor. Chantal dit: « En tout cas, je te souhaite bonne chance pour tes stages. Puis ta carrière. » Yasmina répond: « Merci, merci. Puis peut-être on va se recroiser. »
L'extérieur du pavillon E apparaît. Puis sur un fond blanc, un carré rouge avec le sigle de l'ÉTS en blanc apparaît, à droite duquel les mots « 50 ans. Imaginez la suite » s'affichent.

50 ans à l'ÉTS - D'hier à aujourd'hui - Les étudiantes