L'extérieur du pavillon C marqué « Centech, entrepreneuriat, innovation » apparaît. À l'intérieur, un homme identifié « Benoit Lacroix, entrepreneur incubé au Centech en 2005 » marche dans un corridor en souriant. Il dit: « Bonjour, je m'appelle Benoit Lacroix. J'ai participé au Centech en 2005. »
Une jeune femme descend un grand escalier. Elle est identifiée « Roseline Olory, entrepreneure incubée au Centech en 2024 ». Puis elle travaille sur un ordinateur portable dans une salle commune. Elle dit: « Moi, c'est Roseline Olory. Je fais partie de Centech en 2024. »
Benoit et Roseline apparaissent côte à côte dans l'écran séparé d'une ligne oblique, les bras croisés. Le titre apparaît en noir dans un bandeau blanc: « D'hier à aujourd'hui. »
L'extérieur du pavillon du Centech apparaît. Roseline et Benoit se rencontrent dans l'entrée puis ils marchent dans un corridor. Roseline dit: « Bonjour, Benoit. Ça va? » Benoit répond: « Salut. Ça va, toi? » Roseline demande: « Ça te fait quoi de revenir à Centech? » Benoit répond: « Toujours un plaisir de revenir vers Centech. Toujours impressionné de ce que c'est devenu surtout. »
Benoit est assis seul dans une salle commune. Il dit: « J'ai démarré mes études à l'ÉTS en 2001. Je faisais partie de la Formule SAE aussi pendant tout mon bac. Ensuite, j'ai fait ma maîtrise et mon doctorat également à l'ÉTS, qui s'est terminé en 2011. Je reviens en 2005. Donc, j'ai commencé une entreprise avec deux cofondateurs au Centech. L'entreprise qu'on a fondée s'appelle toujours Effenco, qui visait à améliorer l'efficacité énergétique du transport. Et c'était un système de propulsion hybride pour les camions vocationnels, comme les camions à ordure, les camions bétonnières, les camions de livraison, etc., etc. »
Benoit et Roseline visitent le pavillon en discutant. Roseline demande: « Décris-moi comment c'était à l'époque. Est-ce que ça ressemble à ça? » Benoit répond: « Pas du tout. C'était quand même des nouveaux bureaux, au 400 rue Monfort, juste proche d'ici. C'était des petits bureaux. Il y avait peut-être, de mémoire, à peu près huit locaux pour des entreprises incubées. Il y avait un atelier de prototypage puis c'est nous chez Effenco, les fondateurs, qu'on avait aidé le Centech à mettre le laboratoire en place à l'époque. » Roseline dit: « Ah, super. »
Benoit est à nouveau assis seul dans la salle commune. Il dit: « À l'époque, le Centech, il n'y avait pas vraiment de parcours. Donc, c'était un accompagnement qui était opportuniste, qui était ad hoc selon les besoins des entreprises, selon les intervenants aussi. Il y avait pas le bassin de collaborateurs que le Centech a aujourd'hui. Donc, il y avait une équipe permanente surtout administrative quand même qui aidait les entreprises à mettre en place tout l'aspect administratif, comptable et tout. Puis après ça, comme je disais, il y avait des collaborateurs qui venaient faire des cliniques selon différents sujets. »
Benoit et Roseline marchent dans un corridor. Benoit demande: « C'est quoi l'ampleur du Centech aujourd'hui en termes de compagnies accompagnées? » Roseline répond: « Dans le cadre de ma cohorte à moi, on était une quarantaine. Donc, il y a comme une quarantaine de start-up qui sont accompagnées. C'est rendu beaucoup plus gros. Tu vois, les locaux, c'est rendu... ouais. J'imagine qu'il y a quand même une différence par rapport à quand toi tu étais au Centech, c'était beaucoup plus petit, j'imagine? » Benoit confirme: « Absolument, absolument. » Roseline dit, « Là, maintenant, c'est rendu beaucoup plus gros. »
Roseline est assise seule dans la salle commune. Elle dit: « Avec les autres personnes de la promotion, il y avait comme une très belle ambiance. Je dirais que c'est comme une famille. Parce que les start-up se connaissaient. Donc des fois, t'as comme une problématique et il y a une autre start-up au sein de la cohorte qui connaît quelqu'un ou qui connaît les ressources et qui peut te mettre en contact avec ça. »
Benoit est de nouveau assis dans la salle commune. Il dit: « Il y avait une certaine camaraderie, vraiment. Puis il y avait une affinité qui se faisait entre voisins littéralement. Puis même ça, c'est essentiel, je pense, dans un incubateur. Entre entrepreneurs, entrepreneures, on vit beaucoup de choses similaires. Juste de pouvoir s'aider, de pouvoir s'appuyer, des fois dans les moments les plus difficiles, je pense que juste cet aspect-là aussi de réseautage entre les entreprises est vraiment bénéfique. »
Benoit et Roseline visitent le pavillon en discutant. Roseline demande: « Qu'est-ce que tu trouves le plus impressionnant par rapport à ce que le Centech est devenu aujourd'hui? » Benoit répond: « Au-delà des installations physiques, au-delà des programmes, au-delà de l'équipe, tout ça, c'est impressionnant, je pense que c'est la reconnaissance qu'on a du Centech au Québec et ailleurs. Tu sais, oui, il y a plusieurs incubateurs et tout, mais le Centech... dans le non-dit, on sent toujours que c'est une petite coche au-dessus. Puis ça, ça m'a impressionné. Centech s'est vraiment taillé une place de renommée parmi les incubateurs technologiques. »
Benoit est assis dans la salle commune. Il dit: « L'ÉTS a aujourd'hui 50 ans. Et je me rappelle, on avait fêté les 30 ans quand j'étais là. Puis là, aujourd'hui, c'est une des plus grandes institutions de génie au Canada. Puis une institution de génie en général qui est très reconnue. Donc, de voir que ça fait aussi longtemps et qu'on est quand même resté proche de la mission initiale d'attacher l'académie à l'industriel. Et aussi longtemps que l'ÉTS va rester proche de ce lien-là, je pense que l'ÉTS va rester une institution de référence. »
Benoit et Roseline marchent dans un corridor. Benoit dit: « Roseline, merci beaucoup pour la visite. C'est le fun d'entendre parler du Centech aujourd'hui. Et je te souhaite bonne chance dans tes prochaines étapes. On peut s'aider. On se tient en contact. » Roseline confirme: « C'est sûr. »
L'extérieur du pavillon C du Centech apparaît, bordé de fleurs sauvages. Puis sur un fond blanc, un carré rouge avec le sigle de l'ÉTS en blanc apparaît, à droite duquel les mots « 50 ans. Imaginez la suite. » s'affichent.