28 juillet 2023
Une belle récolte de prix pour la communauté étudiante de l’ÉTS
À vive allure
Léa Bruneau, baccalauréat en génie mécanique
Prix Transports du ministère des Transports et de la Mobilité durable (2000 $)
Léa raffole du karting, un sport qui a éveillé sa curiosité pour la course et la mécanique automobiles! « J’ai développé un véritable intérêt pour la recherche de performance », dit celle qui s’affaire à améliorer les mécanismes de propulsion de son bolide. Désormais, elle travaille à la fabrication d’un prototype de voiture électrique au sein du club étudiant Formule ETS. En tant que cheffe du département de dynamique, elle carbure à la synergie d’équipe.
Léa Bruneau, lauréate au concours Chapeau, les filles! pour le volet Excelle Science
Comme membre des Ingénieuses de l’ÉTS, elle espère aussi faire avancer la cause de la représentativité des femmes en génie. Sa plus grande ambition est de contribuer à la démocratisation du transport électrique au Québec. Innovation en matière de mobilité durable, optimisation de la puissance et réduction de l’empreinte carbone : Léa file à vive allure!
Cloé Dutil a remporté un prix au concours Chapeau, les filles! pour le volet Excelle Science
Créer l’impossible
Cloé Dutil, baccalauréat en génie logiciel
Prix Excelle Science du ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (5000 $)
« Quand j’étais jeune, je voulais opérer des cerveaux dans l’espace », avoue Cloé. Au cégep, une révélation survient : son but sera de créer l’impossible avec la technologie.
« Programmer, c’est comme assembler un casse-tête où chaque pièce est un morceau de savoir. » Sa plus grande aspiration? Concevoir des instruments biomédicaux qui auront un impact sur des milliers de vies. À son implication au sein de plusieurs comités étudiants s’ajoute son rôle de super bénévole à l’animation d’ateliers auprès des jeunes du primaire, en collaboration avec Pour un Montréal scientifique, Les Scientifines et eSTIMe. Regardant avec fascination le parcours de Farah Alibay, Cloé souhaite devenir un modèle inspirant, surtout en ce qui concerne l’affirmation de l’identité de genre et de l’orientation sexuelle. À son avis, programmation rime avec évolution!
La mécanique du cœur
Rachel Héroux, baccalauréat en génie mécanique
Prix Excelle Science du ministère de l’Enseignement supérieur (2000 $)
Enfant, Rachel aime démonter ses jouets puis les remonter pour voir s’ils fonctionneront toujours. Au secondaire, elle participe à un club de robotique, un puissant catalyseur qui avive son intérêt pour la technologie. « La résolution de problèmes complexes et la recherche de solutions innovantes sont des aspects qui me stimulent », dit celle qui prend part à de nombreux projets parascolaires et concours d’ingénierie.
Rachel Héroux, lauréate au concours Chapeau, les filles! pour le volet Excelle Science
La clé de son succès? La communication, le leadership et le travail d’équipe. Impliquée dans le club Éclipse, elle rayonne aussi en tant qu’auxiliaire de laboratoire en vue de favoriser l’apprentissage du logiciel CATIA. Parions que son intérêt pour la technologie verte la propulsera vers la création de solutions durables qui profiteront à l’ensemble de la société. Que Rachel opte pour la santé, l’environnement ou l’aérospatiale, l’avenir lui appartient!
Jenny Maillette, lauréate au concours Chapeau, les filles! pour le volet Excelle Science
Avoir de l’impact
Jenny Maillette, baccalauréat en génie de la production automatisée
Prix Compétence – Réseau du Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (2500 $)
« Comment c’est fait? » Cette question taraude Jenny d’aussi loin qu’elle se souvienne. La robotisation et l’automatisation la fascinent. « J’aimerais développer des robots pour permettre aux agriculteurs d’être plus efficaces et de limiter leur empreinte environnementale », affirme celle qui s’affaire à mobiliser les femmes dans le domaine du génie des systèmes.
Son leitmotiv? Augmenter l’autosuffisance des agricultrices et des agriculteurs d’ici en ayant un impact positif sur les générations futures. Elle partage cette vision en créant des liens constructifs et durables dans les clubs GéniALE et les Ingénieuses de même qu’en participant au Festipod, une initiative axée sur la baladodiffusion. Pour récolter ce qu’elle sème, Jenny espère obtenir un poste d’ingénieure au sein d’une entreprise spécialisée en machinerie agricole.
Pour plus d’informations :
Stéphanie-Élizabeth Le Sieur
Services à la vie étudiante
