Les routes qui réfléchiraient mieux la lumière et réduiraient l’absorption de chaleur pourraient contribuer à atténuer les effets du réchauffement climatique et des îlots de chaleur urbains, mais leur adoption reste lointaine. Alan Carter, professeur de génie de la construction à l'ÉTS, explique que si des enrobés clairs ou des routes en béton sont envisageables, leur coût reste un obstacle majeur.
D’autres approches sont en cours de test, notamment des couches isolantes en verre recyclé sur le bitume, qui pourraient réduire la température de plusieurs degrés. L’équipe explore également la végétalisation des stationnements, bien que ces solutions nécessitent un fort soutien public et politique.
Pour en savoir davantage, consultez l'article complet de Mathieu Perreault paru dans La Presse.