Dans sa chronique à Moteur de recherche, Annie Levasseur, professeure-chercheuses à l'ÉTS, examine si produire sa propre électricité en période de pointe est préférable à l’importation pour l’environnement.
Au Québec, où 95 % de l’électricité est hydroélectrique, l’empreinte carbone est faible. Cependant, durant les pics de demande, surtout en hiver, nous importons parfois de l’électricité, ce qui représente environ 1 % de notre consommation totale. Bien que cette électricité importée ait une empreinte carbone plus élevée, elle est préférable à l'utilisation de génératrices au diesel, beaucoup plus polluantes.
Annie Levasseur aborde dans sa chronique les impacts environnementaux et économiques de l’importation d’électricité au Québec.
Pour une analyse des moyens de réduire l'impact de l'importation d'électricité et des avantages économiques associés, écoutez la chronique d’Annie Levasseur à l’émission Moteur de recherche sur ICI Radio-Canada.