Avec l'arrivée du printemps, les nids-de-poule refont surface sur nos routes. Mais pourquoi ce problème persiste-t-il année après année? Selon Éric Lachance-Tremblay, professeur au département de génie de la construction à l’ÉTS, l'usure des infrastructures routières et le manque d’entretien préventif à long terme en sont les causes principales.

Une question de cycles et de durabilité
Les cycles de gel et de dégel fragilisent la chaussée, créant des fissures qui s'agrandissent sous l'effet du passage des véhicules. Alan Carter, responsable du Laboratoire sur les chaussées et matériaux bitumineux à l'ÉTS, souligne que la présence récurrente des nids-de-poule est souvent un signe que la chaussée est en "fin de vie". Les réparations temporaires, bien que nécessaires pour assurer la sécurité, ne permettent pas de résoudre le problème en profondeur.
Nos experts ont récemment partagé leur expertise dans plusieurs médias pour expliquer ce phénomène et les solutions envisageables. Pour en savoir plus sur ce sujet crucial pour nos infrastructures, consultez ces entrevues et articles :
- Entrevue d’Éric Lachance-Tremblay avec Mélanye Boissonnault dans l’émission Les matins d’ici sur les ondes d’ICI Radio-Canada. À écouter ici.
- Entrevue d’Éric Lachance-Tremblay avec Patrick Lagacé lors de l’émission Lagacé le matin sur les ondes du 98.5FM. À écouter ici.
- Entrevue d’Alan Carter avec Charles Mathieu et Dominique Cambron du Journal de Montréal. À lire ici.
- Entrevue d’Alan Carter avec Anouk Lebel pour TVA Nouvelles. À lire ici.