L’intelligence artificielle (IA) et l’IA générative s’imposent désormais comme un pilier stratégique pour la défense nationale, et l’ÉTS a joué un rôle central en réunissant les expertises clés autour de ce sujet.
À l’occasion de l’atelier SEENE2025, tenu au début du mois de décembre, l’ÉTS a accueilli des spécialistes du ministère de la Défense nationale, du Centre canadien pour la cybersécurité, du milieu universitaire et de l’industrie pour explorer les opportunités, les défis et le potentiel transformateur des technologies émergentes.
Au programme : partage d’expertise, démonstrations technologiques, création de nouveaux partenariats de recherche et réflexion approfondie sur l’évolution des compétences et des politiques publiques.
Les échanges ont porté notamment sur l’IA et l’IA générative en défense, la cyberésilience face à l’essor de l’IA et l’IA générative, l’intégration de l’IA dans les missions critiques de même que l’intégration et l’encadrement de l’IA dans différents secteurs, notamment les effets des nouvelles réglementations canadiennes qui entreront en vigueur dès 2026.
Le succès de cette première édition a confirmé la pertinence d’un dialogue structuré entre les acteurs clés du secteur, au point qu’un prochain atelier SEENE est déjà prévu pour 2026.
Rappelons que le gouvernement canadien compte investir 73 milliards de dollars dans la défense nationale d’ici la fin de la décennie, afin de respecter ses engagements auprès de l’OTAN.