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51 Résultats pour : « Portes ouvertes »

L'ÉTS vous donne rendez-vous à sa journée portes ouvertes qui aura lieu sur son campus à l'automne et à l'hiver : Samedi 18 novembre 2023 Samedi 17 février 2024 Le dépôt de votre demande d'admission à un programme de baccalauréat ou au cheminement universitaire en technologie sera gratuit si vous étudiez ou détenez un diplôme collégial d'un établissement québécois.

Palmarès Féminin pluriel

À l’ÉTS, nous croyons fermement que les modèles qui inspirent et qui méritent d’être mis en lumière sont très diversifiés, et nous voulons les célébrer! C’est pourquoi nous avons créé le Palmarès Féminin pluriel, issu de la campagne Objectif Féminin pluriel. Il s'agit d'un programme de reconnaissance annuel qui rend hommage à 30 étudiantes de l'ÉTS.

Découvrez celles qui font la différence à leur façon!

Une étudiante engagée, souriante, prête à relever de nouveaux défis dans un environnement académique dynamique et inspirant.

Lorine Ponnet

« Construire une maternité au Rwanda avec une équipe de l’ÉTS a été l’une des plus grandes expériences de ma vie. Pendant plus d’un an, j’ai mis mes compétences en génie de la construction au service d’un projet humain et concret : élaborer les plans, choisir les matériaux, récolter des fonds, créer des partenariats, puis vivre sur place pendant quatre mois, en collaboration avec la communauté locale. Cette immersion m’a permis de développer mon leadership, de m’adapter à des méthodes différentes et de réaliser l’impact que peut avoir une ingénieure engagée. En parallèle, je m’implique activement à l’ÉTS : je suis ambassadrice depuis deux ans et ai été membre du club de triathlon et pianiste pour des événements étudiants. Représenter l’ÉTS, partager mon expérience et encourager d’autres jeunes femmes à suivre leur voie, c’est une mission qui me tient à cœur. Parce que nous avons toute notre place dans le monde du génie. »

Lorine Ponnet

Baccalauréat en génie de la construction

Étudiante souriante avec des lunettes, portant une chemise rouge, se tenant élégamment devant une colonne dans un environnement lumineux.

Audrey Barrier

« Tout quitter et tout reconstruire, seule, dans un nouveau pays : c’est le choix que j’ai fait en venant au Canada. Mon parcours s’est rapidement teinté d’épreuves personnelles profondes, qui ont mis à l’épreuve ma résilience et ma capacité à avancer. Malgré tout, j’ai validé mes cours, décroché un stage, puis un projet de fin d’études chez Alstom. Je me suis investie dans Formule ETS et dans l’Exutoire, deux engagements qui m’ont permis d’exprimer à la fois mon sens de l’initiative et ma créativité. Aujourd’hui, je poursuis ce combat pour la représentation des femmes, notamment dans l’automobile et l’industrie, en m’impliquant dans AWE (Alstom Women of Excellence), un réseau qui promeut l’égalité et le leadership féminin. Je me prépare aussi à participer au Rallye Aïcha des Gazelles, une autre manière d’affirmer que rien ne devrait freiner nos ambitions. Ce que j’ai vécu m’a forgée. Ma résilience, je la dois à ma mère. Mon engagement, je le poursuis en son nom. »

Audrey Barrier

Maîtrise en génie des technologies de l'information

Étudiante en technologie, souriante, avec des cheveux ondulés et un collier délicat, elle illustre la passion pour l'innovation.

Mérédith Vachon

« Je me suis longtemps imaginée médecin. Mais mon parcours a bifurqué. Après une première session difficile au cégep, puis un diagnostic de trouble de l’anxiété généralisée, j’ai douté de mes capacités. C’est une conférence, et une rencontre, qui a tout changé. Une femme ingénieure m’a transmis sa passion pour le génie électrique. Grâce à elle, et à mon grand-père électricien, j’ai trouvé ma voie. À l’ÉTS, j’ai souvent lutté contre l’impression de ne pas être à la hauteur, mais j’ai persévéré. J’ai appris à m’accrocher, à surmonter mes blocages, à faire de mon TDAH une force. Dans le club QUIETS, je travaille aujourd’hui sur une motoneige hybride. Ce n’est pas toujours simple de prendre ma place dans un univers encore très masculin, mais je m’accroche à mes rêves. Parce que moi aussi, je veux être un modèle. Pour celles qui doutent, pour celles qui débutent, pour celles qui croient que ce n’est pas pour elles. Ça l’est. »

Mérédith Vachon

Cheminement universitaire en technologie

Étudiante souriante, les bras croisés, affichant confiance et détermination, dans un environnement moderne et lumineux.

Djinah Demetrius

« J’ai grandi en Haïti, dans un contexte marqué par l’instabilité et la peur, notamment après le séisme de 2010. J’y ai appris à avancer sans certitudes, mais avec une détermination profonde. Mon intérêt pour l’informatique est né très tôt, nourri par ma curiosité d’enfant. Jouer à des jeux sur l’ordinateur familial, suivre un cours de dactylographie à l’école : ces moments ont marqué mes premiers apprentissages. Aujourd’hui étudiante en génie logiciel, je poursuis ce rêve forgé malgré les doutes et le sentiment d’illégitimité. Mon implication dans Les Ingénieuses, la création de la Journée des petits génies et ma prise de parole au gala de l’AUF-ÉTS sont autant de pas vers un avenir où je veux faire une vraie différence. Pour que d’autres jeunes, surtout issus de milieux défavorisés, sachent qu’ils ont le droit de rêver grand. J’ai appris à prendre ma place, à briser la peur. Et je continuerai à ouvrir la voie, pour que d’autres puissent marcher sans crainte. »

Djinah Demetrius

Baccalauréat en génie logiciel

Étudiante souriante dans un environnement moderne, reflétant l'esprit dynamique et innovant d'une institution d'enseignement supérieur.

Solenn Quillet-Saulze

« On pourrait croire que mon parcours se résume à un cursus d’élite : classe préparatoire, concours, École des Arts et Métiers… Un univers où les femmes sont à peine 17 %, et où il faut souvent s’imposer pour être entendue. Mais ma vraie réussite, c’est d’avoir appris à ne plus m’excuser d’être là. À ne plus baisser les yeux quand on m’ignore. À ne plus me taire face aux remarques sexistes. J’ai répondu par l’action : en présidant le Grand Gala, en luttant contre les violences sexistes, en m’engageant avec Elles Bougent, en représentant l’ÉTS à Femmes et Filles de sciences. Aujourd’hui en maîtrise recherche, je voudrais proposer des entrainements de triathlon féminin, pour briser l’isolement et créer du lien entre les étudiantes scientifiques. Être une femme en sciences, ce n’est pas seulement exceller dans ses études. C’est aussi remettre en question les normes, prendre sa place… et veiller à ce que d’autres puissent entrer à leur tour, sans avoir à forcer la porte. »

Solenn Quillet-Saulze

Maîtrise en génie de la construction

Jeune femme souriante portant des lunettes, vêtue d'un haut vert, posant dans un environnement lumineux et moderne.

Rejeena Radhika Sebastian

« Mon engagement a toujours été guidé par une conviction profonde : celle de vouloir contribuer à un monde plus juste en facilitant l’accès au savoir scientifique. Tout au long de mon parcours, j’ai cherché à réduire les inégalités, notamment celles qui touchent les communautés marginalisées ou peu représentées. Ayant moi-même bénéficié du soutien de femmes inspirantes, j’ai à cœur de transmettre à mon tour cette solidarité. À l’ÉTS, je m’investis dans des initiatives qui renforcent les liens entre les étudiants chercheurs et qui favorisent l’accueil des étudiants internationaux. En dehors de l’université, j’éprouve une grande joie à m’impliquer dans des actions en faveur des femmes, des personnes âgées et des communautés souvent mises à l’écart. C’est une façon pour moi d’exprimer ma gratitude et de redonner, avec simplicité, un peu de ce que la vie m’a offert. »

Rejeena Radhika Sebastian

Doctorat en génie électrique

Étudiante souriante, portant des lunettes, dans un environnement lumineux et moderne, mettant en avant la vie académique dynamique.

Audrey Gignac

« Mon parcours a été marqué par des défis d’apprentissage, qui ont rendu mon parcours plus exigeant, mais jamais impossible. Je l’ai transformée en force, en moteur de résilience. À 17 ans, j’ai choisi le génie industriel, amorçant à la fois mes études et ma carrière. Aujourd’hui, je poursuis un baccalauréat en génie des opérations et de la logistique à l’ÉTS, où je m’implique comme représentante logistique du club scientifique Éclipse. Je suis aussi cofondatrice et présidente de l’équipe féminine de flag-football. Ce sport m’a appris la discipline, la coopération, l’endurance. Dans les milieux où il faut parfois insister pour faire sa place, je choisis de rester engagée, présente, fidèle à ce que je suis. Parce qu’au fond, les embûches sont là pour nous pousser à aller plus loin. »

Audrey Gignac

Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique

Portrait d'une professionnelle souriante, avec des cheveux bouclés, qui dégage confiance et détermination dans un environnement lumineux.

Zeinab Javid

« Je suis née dans un village où les filles étaient souvent mariées avant même la fin du lycée. J’ai choisi un autre chemin. Chaque jour, je marchais 10 kilomètres pour aller à l’école, après les tâches ménagères. J’ai obtenu mon diplôme, puis poursuivi des études supérieures : une première dans ma région! Ce choix a permis à d’autres jeunes filles de suivre la même voie. En Iran, j’ai intégré la plus grande entreprise de télécommunications, où j’ai été la première femme à travailler sur des chantiers d’infrastructure, déployant Internet dans plus de 250 villages. J’ai milité pour l’égalité, encadré des jeunes femmes, et prouvé que nos compétences n’ont pas de genre. Aujourd’hui doctorante à l’ÉTS, je développe un système combinant IA et IoT pour détecter les tumeurs plus tôt et améliorer l’accès aux soins. J’ai aussi appris le français pour mieux accompagner les personnes immigrantes. Mon parcours est un combat, mais surtout une action : ouvrir, concrètement, de nouvelles possibilités pour les autres. »

Zeinab Javid

Doctorat en génie

Étudiante souriante, en blouse claire, appuyée contre un pilier dans un environnement moderne et lumineux. Ambiance accueillante et conviviale.

Flavie Hurault

« Je n’ai jamais choisi la facilité. En classe préparatoire, puis aux Mines d’Alès, j’ai appris la rigueur, la persévérance et l’endurance. Capitaine de l’équipe de basket, responsable lors d'événements, j’ai aussi appris à mener, à écouter et à garder le cap quand tout s’accélère. En venant à l’ÉTS pour un double diplôme en génie électrique, j’ai quitté mes repères pour un nouveau pays, une nouvelle culture, un domaine plus spécialisé que ma formation d’origine. J’ai dû apprendre vite, et parfois seule. Notamment lorsqu’un stage m’a amenée à coder dans un langage que je ne connaissais pas, pour créer un outil concret, utile à mon équipe. Ce genre de défi me stimule : partir de zéro, chercher, comprendre, persévérer. Mon excellence académique, je la dois autant à mes efforts qu’à cette curiosité insatiable. Aujourd’hui, si je peux inspirer d’autres étudiantes, c’est pour leur dire ceci : vous êtes capables. Même sans tout savoir au départ. Il suffit d’oser commencer. »

Flavie Hurault

Maîtrise en génie électrique

Étudiante dynamique avec des cheveux dégradés, elle exprime sa personnalité à travers son style et son sourire engageant.

Cassandra Lépine

« Mon parcours en ingénierie a connu des détours. Après un début en génie mécanique, j’ai traversé des moments difficiles : le décès de ma grand-mère, un diagnostic de TDAH, des difficultés de concentration… jusqu’à l’échec scolaire. Mais j’ai choisi de me relever. J’ai négocié ma réadmission et changé de programme pour le génie des opérations et de la logistique. Ce tournant a tout changé. Depuis, je m’investis pleinement : Jeux de Génie, Compétition Québécoise d’Ingénierie, club Walking Machine, mentorat auprès de jeunes en reprise scolaire. Et ce n’est qu’un volet de ma réalité. Je poursuis mes études tout en travaillant et en élevant mes deux jeunes enfants. Oui, c’est exigeant. Mais c’est aussi ce qui forge ma force. Ce que j’espère transmettre, c’est que la réussite n’a pas de forme unique. Elle peut naître dans les virages, les efforts invisibles, la persévérance au quotidien. Et elle mérite tout autant d’être reconnue. »

Cassandra Lépine

Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique

Étudiante souriante, prête à relever de nouveaux défis académiques dans un environnement innovant et stimulant.

Sara-Jeanne Daigle

« Avant de trouver ma voie en génie mécanique, j’ai exploré plusieurs horizons : l’informatique, la comptabilité, la construction. Chacune de ces étapes m’a appris quelque chose : la rigueur, l’organisation, le travail d’équipe, l’adaptabilité. Cette diversité, loin d’être un détour, est devenue ma plus grande force. Mon engagement, lui, est resté constant. Des compétitions de robotique au secondaire à la conception d’un robot grimpeur à l’université, j’ai compris que l’ingénierie se construit à plusieurs. Depuis mes 10 ans, je fais aussi du bénévolat, principalement auprès des enfants. J’ai été membre des Cadets de l’air pendant cinq ans, une expérience marquante qui m’a donné confiance, structure, et le goût de mener. Évoluer dans un milieu encore très masculin m’a appris à persévérer, à tenir ma place sans compromis. Aujourd’hui, je veux transmettre ce que j’ai appris : que chaque chemin est valable, et que la détermination peut naître dans les transitions autant que dans les certitudes. »

Sara-Jeanne Daigle

Baccalauréat en génie mécanique

Portrait souriant d'une femme en pull rouge avec un col blanc, se tenant près d'une colonne dans un environnement moderne.

Zeinab Raissa Diarra

« On dit souvent que chaque choix est un renoncement. Pour moi, chaque choix a été une affirmation. J’ai entamé mon parcours en génie au Québec en 2011. Depuis, je suis devenue diplômée en génie chimique, professionnelle en ingénierie, mère de deux enfants… et récemment, étudiante à nouveau, en maîtrise à l’ÉTS. Reprendre les études à 32 ans, à temps partiel, tout en travaillant et en élevant une famille, a été un pari exigeant. J’ai suivi mes cours malgré la fatigue, une nouvelle grossesse, un bébé de huit mois dans les bras et un projet de terrain au Sénégal à organiser. Ce voyage, au cœur de mon projet de recherche, a donné un sens profond à mon engagement : lier l’ingénierie à un impact concret, ici comme ailleurs. Ingénieure, étudiante, mère et citoyenne, je tiens à faire bouger les choses autour de moi. J’avance avec bienveillance et exigence, convaincue qu’on peut conjuguer ambition et engagement, sans renoncer à aucune facette de soi. »

Zeinab Raissa Diarra

Maîtrise en génie de l'environnement

Une étudiante souriante au visage ouvert, vêtue d'un pull gris, se tient dans un environnement moderne et lumineux.

Iman Anaïs Assameur

« Inspirer les autres, c’est avancer sans renier aucune de ses passions et prouver qu’on peut briller sur plusieurs terrains. C’est ce qui me guide dans tout ce que j’entreprends : en génie logiciel, sur les bancs de l’ÉTS ; sur le terrain, comme capitaine de l’équipe de volleyball féminin ; ou en musique, sous le nom d’Ana Iman, où j’écris, compose et chante pour dire ce que les mots seuls n’arrivent pas toujours à contenir. Jongler avec les études, le sport, le travail et la création demande de l’endurance, mais surtout, de l’amour pour ce que l’on fait. Transmettre cette passion, c’est aussi ce qui m’anime lorsque je m’investis auprès de jeunes athlètes ou que j’encourage mes coéquipières à se dépasser. Parce qu’au fond, le leadership ne se mesure pas qu’à nos réussites, mais à l’élan qu’on sait donner aux autres. »

Iman Anaïs Assameur

Baccalauréat en génie logiciel

Portrait d'une étudiante, souriante et confiante, portant une blouse noire, dans un environnement lumineux et moderne.

Maryam Montazeri Ghahjaverestan

« Animée par la conviction que l’éducation, la recherche et l’engagement peuvent contribuer à bâtir une société meilleure, j’ai choisi de quitter l’Iran et j’ai poursuivi mon chemin seule, loin de mon foyer et de mes proches. Aujourd’hui doctorante en génie de la construction à l’ÉTS, je travaille à mieux préparer le Québec aux séismes à venir. Mais mon action dépasse les murs de la recherche. J’ai cofondé le club CintÉTS, qui soutient l’intégration des personnes nouvellement arrivées. Ateliers, entraide, transmission: je veux que chacune et chacun trouve sa place et se sente soutenu. Face à l’exil, à la barrière de la langue, à la solitude, j’ai choisi de rester tournée vers les autres. Pour que personne ne chemine seul.  »

Maryam Montazeri Ghahjaverestan

Doctorat en génie de la construction

Étudiante à l'Université en technologie supérieure, affichant confiance et engagement dans un cadre moderne et inspirant.

Maëlys Le Mouël

« Oser. Sortir de sa zone de confort. Croire en soi et en ses valeurs, même quand on doute. Mon parcours en est la preuve. De la France à l’Espagne, puis au Québec, j’ai choisi l’ingénierie pour agir concrètement sur l’environnement. Aujourd’hui doctorante en génie de la construction à l’ÉTS, je travaille sur la modélisation de l’estuaire du Saint-Laurent pour mieux comprendre et protéger cet écosystème essentiel. Chaque étape de mon parcours a été marquée par des décisions ambitieuses : partir seule à l’étranger, suivre un master en Espagne sans parler la langue, postuler à un doctorat. Ces risques m’ont permis de grandir, d’apprendre, de faire ma place. Mon engagement dépasse la recherche. Avec Ingénieurs sans frontières – section ÉTS, j’ai coanimé un balado sur la confiance en soi et participé à des collectes solidaires. Avec le recul, chaque pas hors de ma zone de confort m’a rendue plus forte. Et si mon parcours peut en inspirer d’autres, alors il aura encore plus de sens. »

Maëlys Le Mouël

Doctorat en génie

Étudiante souriante, vêtue d'un t-shirt rayé, se tient près d'une colonne dans un environnement lumineux et moderne.

Sophie Richard

« Mon parcours ne suit pas une ligne droite. J’ai commencé par un baccalauréat en gestion et design de la mode, un domaine qui me passionnait depuis l’enfance. C’est au fil de ces études que j’ai découvert la gestion des opérations, ce qui m’a menée à entreprendre une maîtrise en génie industriel. Intégrer un environnement très différent, plus masculin, a représenté un vrai tournant. Il y a eu du doute, du jugement, mais aussi beaucoup de détermination. D'ailleurs, j’y ai trouvé ma place : des recherches exigeantes, des résultats reconnus, une publication valorisée… et une confiance retrouvée. Aujourd’hui doctorante et chargée de cours, je relève un nouveau défi : concilier études, travail et vie familiale. Ce parcours, avec ses détours, ses pauses et ses élans, est avant tout une histoire de résilience et de fidélité à ce qui me porte vraiment. »

Sophie Richard

Doctorat en génie

Étudiante souriante en blouse blanche, devant un fond moderne, incarnant la passion pour la technologie et l'innovation.

Emma Alix

« Le sport et les sciences ont toujours fait partie de mon équilibre. En France, j’ai grandi sur les terrains de basket, d’abord au sein d’équipes mixtes, puis comme meneuse en équipe féminine. Plus tard, aux Arts et Métiers ParisTech, j’ai fondé la première équipe féminine de basketball de l’école : un geste concret pour permettre à d’autres étudiantes de vivre leur passion, de jouer en équipe, de se dépasser. En parallèle, j’ai suivi un parcours exigeant en génie mécanique, jusqu’à la maîtrise à l’ÉTS, où je mène un projet de recherche sur le désassemblage des batteries lithium-ion : un enjeu clé pour la sécurité des travailleurs et pour la transition énergétique. À Montréal comme en France, j’ai appris à relier mes passions et à agir quand il le faut. Être ambassadrice, c’est une façon de prolonger mes engagements : encourager d’autres jeunes femmes à prendre leur place, transmettre ce que j’ai appris, et montrer qu’en génie comme ailleurs, chaque action compte quand elle ouvre la voie à d’autres. »

Emma Alix

Maîtrise en génie mécanique

Portrait d'une professionnelle souriante, vêtue d'une chemise colorée, dans un environnement lumineux et moderne.

Manuela Brielle Tsopze Tontsop

« Étudier à temps plein en génie, tout en élevant trois enfants : c’est le défi que j’ai choisi d’assumer pleinement. Il y a eu la fatigue, le doute, les nuits sans sommeil. Mais jamais l’abandon.
J’ai poursuivi mes études pendant mes grossesses, en conciliant les exigences scolaires avec celles de la vie familiale. Parce qu’atteindre mon objectif, c’est aussi montrer à mes enfants, et à d’autres femmes, qu’on peut avancer sans renoncer à ce qui nous tient à cœur.
Être mère m’a donné une rigueur et une résilience que rien d’autre ne m’aurait enseignée. Aujourd’hui, je termine mon baccalauréat en génie des opérations et de la logistique, convaincue que chaque parcours peut devenir un message d’encouragement pour celles qui viendront après. »

Manuela Brielle Tsopze Tontsop

Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique

Étudiante souriante, portant un haut clair, avec des cheveux longs et bruns, dans un environnement lumineux et moderne.

Soazig Rannou

« Choisir le génie civil à 15 ans, c’était entrer dans un monde où les femmes sont rares. Mais au lieu de me freiner, cela m’a poussée à me dépasser. Aujourd’hui, je rame avec le club Canoë de béton, où les défis sont les mêmes pour toutes et tous. Je préside aussi le chapitre étudiant de la Société canadienne de génie civil à l’ÉTS, animée par l’envie de transmettre aux plus jeunes, aux curieux, aux futurs passionnés. Être entourée d’étudiants engagés me tire vers le haut, et je suis fière d’avoir ouvert la voie à ma petite sœur, qui a choisi le même domaine. Du Grand Nord au Pérou, chaque étape m’a appris la résilience, l’autonomie, l’engagement. Et m’a confortée dans une conviction : partager sa passion, c’est aussi construire un avenir plus inclusif. »

Soazig Rannou

Baccalauréat en génie de la construction

Étudiante en technologie, elle affiche un sourire confiant, vêtue d'une blouse bleue, dans un cadre moderne et lumineux.

Léa Markezic

« Très tôt, j’ai su que je voulais faire du génie. En tant que jeune fille dyslexique, j’ai appris à avancer malgré les doutes et les jugements. Longtemps, j’ai cru qu’il fallait taire cette différence pour être prise au sérieux. Mais à l’ÉTS, des rencontres inspirantes m’ont montré qu’on pouvait transformer ses défis en force. Depuis, je m’investis pleinement : sur les terrains de volleyball et de badminton, dans les clubs étudiants, derrière l’objectif, comme ambassadrice de l’école. Même quand des ennuis de santé ont freiné mon parcours, j’ai trouvé l’élan pour rebondir, apprendre un nouveau sport, et mener mon équipe en compétition. Ce chemin m’a appris que la persévérance, c’est aussi savoir se réinventer. Et si mon parcours peut aider d’autres à croire en elles et eux, alors chaque effort aura valu la peine. »

Léa Markezic

Certificat production industrielle

Étudiante souriante, vêtue d'une chemise blanche, se tenant près d'un mur, dans un environnement moderne et lumineux.

Gabrielle Roy

« Dès l’enfance, on doutait de mes capacités. Il a fallu un diagnostic pour que je comprenne que ma différence n’était pas une faiblesse, mais une autre façon d’apprendre et de penser. Diplômée en génie électrique, je poursuis aujourd’hui une maîtrise en technologies de la santé. Mon projet : un système de guidage par le toucher (haptique) pour faciliter les échographies et soutenir les professionnels de la santé. Parallèlement, je répare et configure des appareils électroniques pour mon entourage. Mettre mes compétences au service des autres, c’est ma manière de rendre la technologie plus accessible, plus humaine. Je crois qu’un parcours semé d’obstacles peut devenir une force, surtout lorsqu’on choisit d’en faire bénéficier les autres. »  

Gabrielle Roy

Maîtrise en génie des technologies de la santé

Étudiante souriante, portant un hijab et des lunettes, dans un environnement lumineux et moderne, symbolisant l'innovation technologique.

Hadil Ben Amor

« Quitter la Tunisie pour me lancer dans une aventure au Canada, dans un domaine qui me passionne, a été un véritable saut. Armée de détermination et de rêves, j'ai su m'adapter à une nouvelle culture, exceller académiquement et m'investir dans ma communauté. En tant qu'étudiante en maîtrise de génie logiciel à l'ETS, j'ai concilié un travail à temps partiel avec une excellente moyenne et une forte implication dans la recherche. J'ai été la seule Tunisienne nominée Ambassadrice Internationale Microsoft 'Gold' pour mes contributions en 2022, dirigé plus de 20 sessions de formation atteignant plus de 150 étudiants à travers le monde, et mentoré des équipes lors de compétitions internationales telles que l'Imagine Cup 2024. Ces défis m'ont transformée, me rendant plus forte et plus confiante. Alors, qui a besoin de films quand son propre parcours est une aventure ? »

Hadil Ben Amor

Maîtrise en génie logiciel

Étudiante souriante, vêtue d'une chemise noire élégante, dans un environnement moderne et lumineux, prête à relever de nouveaux défis.

Djerelle Melissa Nguientchi Fokwe

« À 19 ans, j’ai quitté mon pays et ma famille pour poursuivre des études en informatique au Québec. Seule, dans un nouvel environnement, j’ai affronté la solitude, l’adaptation, et la pression d’un domaine où j’étais souvent la seule femme. Mais je n’ai jamais perdu de vue l’essentiel : construire un avenir différent, pour moi, pour mes proches, et pour celles qui n’en ont pas encore eu la chance. Aujourd’hui étudiante en génie des technologies de l’information à l’ÉTS, je m’investis pour que d’autres jeunes femmes se sentent à leur place. Membre des Ingénieuses, j’agis pour la diversité, l’inclusion, et je partage mon expérience pour briser les stéréotypes. Ce qui me porte ? La conviction que la détermination peut ouvrir bien des chemins et qu’il suffit parfois d’un exemple pour oser avancer. »

Djerelle Melissa Nguientchi Fokwe

Baccalauréat en génie des technologies de l'information

Étudiante souriante, portant un hijab noir, mettant en avant la diversité et l'inclusivité au sein de la communauté universitaire.

Saira Tariq

« Je suis la première femme de ma famille à avoir choisi le génie. Au Pakistan, là d’où je viens, on attend souvent des filles qu’elles se marient, pas qu’elles poursuivent un doctorat en électrotechnique. À l’ÉTS, j’ai été la première étudiante à me spécialiser en conception de machines électriques. Mon parcours a été semé d’embûches — y compris des enjeux de santé majeurs — mais je n’ai jamais renoncé. Chaque étape, chaque défi, je les ai affrontés avec l’envie d’ouvrir la voie. Aujourd’hui, je poursuis ma recherche, je m’engage pour le développement durable, et je continue de montrer qu’une femme a toute sa place en génie électrique. Parce qu’inspirer, c’est aussi persévérer — pour soi et pour les autres. »

Saira Tariq

Doctorat en génie

Étudiante souriante avec de longs cheveux bruns, se tenant devant un escalier moderne, dans un environnement lumineux et accueillant.

Susanna Vu

« Rassembler, c’est ce qui me donne de l’élan. Depuis mes études en chimie jusqu’à mon doctorat en génie électrique à l’ÉTS et à l’UQÀM, j’ai toujours cherché à créer des ponts : entre les disciplines, entre les personnes, entre les idées. Je multiplie les initiatives pour créer des espaces où les voix des femmes et des minorités sont entendues. Qu’il s’agisse de G-Change ou du réseau Canadians Working for Inclusivity in Chemical Sciences, Engineering, and Technology (CWIC), j’œuvre pour que la science soit à l’image de notre société : ouverte, équitable, connectée. Mon engagement est simple : faire en sorte que personne ne se sente seule à chercher sa place dans les sciences. Parce que la recherche avance mieux quand elle est portée collectivement. »

Susanna Vu

Doctorat en génie

Étudiante souriante, elle incarne la passion et l'engagement dans son parcours académique à l'Université en technologie supérieure.

Anne-Claire Paquin

« Déterminée à faire ma place là où l’on ne nous attend pas, j’ai choisi le génie, le sport de haut niveau, puis l’entrepreneuriat. Ancienne championne canadienne de judo, aujourd’hui entraîneuse bénévole, je transmets aux jeunes filles ce que ce sport m’a appris : la confiance, la discipline, la force. En parallèle de ma maîtrise en gestion des infrastructures urbaines à l’ÉTS, j’ai acquis, avec un associé, une entreprise de sous-traitance dans le secteur de la construction. Un défi stimulant, dans un milieu encore très masculin. Et ce n’est qu’un début. Je souhaite poursuivre un doctorat, ouvrir un club de judo, et contribuer à rendre les villes plus fluides et inclusives. Ce qui me pousse ? L’envie d’élargir le champ des possibles pour les filles, dans le sport comme en ingénierie. »

Anne-Claire Paquin

Maîtrise en génie

Une étudiante souriante pose avec confiance, les bras croisés, dans un environnement lumineux et moderne.

Inès Adrion

« M’engager pour la transition socio-écologique, c’est choisir d’agir. Étudiante à la maîtrise en génie de l’environnement, je préside le comité Tributerre à l’ÉTS. Friperie solidaire, repair-café, conférences sur la mobilité durable : j’essaie de faire de chaque projet une occasion de rassembler, de sensibiliser, d'innover. Mon engagement est aussi un message : on peut étudier en génie sans renier ses idéaux, s’impliquer activement dans un milieu traditionnellement masculin et participer à sa transformation. Mon projet de recherche sur les impacts de l’industrie minière s’inscrit dans cette démarche : comprendre, documenter, proposer, améliorer. Parce que chaque initiative compte, et que je veux être de celles qui font bouger les lignes. »

Inès Adrion

Maîtrise en génie de l'environnement

Étudiante souriante portant des lunettes, dans un environnement moderne et lumineux, reflétant la dynamique de l'Université en technologie supérieure.

Alexia Becquet

« Comment conjuguer génie et justice sociale ? C’est la question qui guide mon parcours. Aujourd’hui étudiante à la maîtrise en génie de l’environnement, j’utilise mes compétences en génie logiciel pour transformer nos systèmes : de la gestion des matières résiduelles à l’économie circulaire. Sur le terrain comme en recherche, je m’engage pour un avenir durable et équitable. Je coordonne le comité équité, diversité, inclusion du Réseau de recherche en économie circulaire du Québec, j’anime des ateliers d’informatique pour les femmes en situation de précarité, et je coanime un balado féministe. Parce qu’on ne change pas le monde en silence. Mon engagement est clair : faire entendre les voix trop souvent marginalisées et bâtir des solutions à leur image. Revendiquer sa place, c’est déjà commencer à la transformer. »

Alexia Becquet

Maîtrise en génie de l'environnement

Étudiante souriante, elle porte des bijoux élégants et une tenue florale. L'arrière-plan lumineux évoque un environnement moderne et accueillant.

Garance de La Brosse

« Curieuse et passionnée, j’ai toujours aimé comprendre les rouages du monde, par les mathématiques, l’informatique… et parfois par la musique. Aujourd’hui étudiante à la maîtrise en technologies de l’information à l’ÉTS, je me spécialise en cybersécurité, un domaine qui me stimule autant par ses défis techniques que par ses enjeux éthiques. J’ai récemment intégré une start-up comme chercheuse stagiaire, une étape décisive dans mon parcours. Mais ce qui me pousse, c’est aussi le goût d’oser. Avec QuantumÉTS, j’ai découvert l’informatique quantique et participé à un hackathon au MIT. En parallèle, j’ai troqué mon euphonium pour une trompette et rejoint l’ensemble funk de l’ÉTS. À chaque détour, je choisis de me lancer. Et si ma détermination peut en inspirer d’autres à suivre leurs élans, alors j’avance avec encore plus de conviction. »

Garance de La Brosse

Maîtrise en génie des technologies de l'information

Étudiante confiante, elle dégage une allure professionnelle et est prête à relever les défis académiques avec détermination.

Hana Khereba

« On me dit souvent que j’en fais trop. Trop jeune, trop ambitieuse, trop présente. Mais ce « trop », je le transforme en force. Étudiante en technologie à l’ÉTS, entrepreneure, membre active de deux clubs étudiants, je construis un parcours à mon image. J’ai lancé ma propre bijouterie en ligne, imaginé un projet en santé, et surtout : j’ai tendu la main à d’autres. Que ce soit comme vice-présidente des Ingénieuses ou dans le cadre d’ÉTSplore, j’encourage les femmes à oser, à entreprendre, à s’impliquer. Pas demain. Maintenant. J’ai vu trop de talents attendre le « bon moment ». Alors je crée l’espace, j’inspire, je soutiens. Parce que ce n’est pas l’âge, le genre ou le parcours qui définissent ce qu’on peut accomplir — c’est le courage de commencer. »

Hana Khereba

Baccalauréat en génie logiciel