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L'ÉTS vous donne rendez-vous à sa journée portes ouvertes qui aura lieu sur son campus à l'automne et à l'hiver : Samedi 18 novembre 2023 Samedi 17 février 2024 Le dépôt de votre demande d'admission à un programme de baccalauréat ou au cheminement universitaire en technologie sera gratuit si vous étudiez ou détenez un diplôme collégial d'un établissement québécois.

Événements à venir
Du 15 sept. 2025 à 09:30 au 16 sept. 2025 à 16:30

L’international à l’ÉTS

L'École de technologie supérieure s'engage résolument dans une démarche d'internationalisation qui va bien au-delà de la mobilité étudiante. Notre vision intègre la recherche collaborative, les partenariats stratégiques et l'accompagnement global de notre communauté. Avec la croissance importante de l’international au cours des dernières années, l’ÉTS doit, plus que jamais, structurer sa démarche à l’échelle institutionnelle afin de se doter d’une vision d’avenir claire.

Un engagement pour l’avenir du génie

Notre stratégie d'internationalisation s’articule autour de quatre orientations complémentaires, qui se déclinent en objectifs plus précis :

  • Favoriser l’internationalisation de la formation à l’ÉTS
  • Stimuler l’impact de la recherche de l’ÉTS à l’international
  • Instaurer une culture d’internationalisation forte et transversale à l’ÉTS
  • Accroître le rayonnement, la notoriété et la présence de l’ÉTS à l’international

L’international en chiffres

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L'ÉTS offre une multitude de programmes de 1er, 2e et 3e cycles en ingénierie et technologies, tous avec une approche résolument pratique. L’ÉTS encourage les échanges internationaux pour former des ingénieur(e)s ouverts sur le monde. Que vous envisagiez de partir à l’étranger ou de venir étudier à Montréal, nos équipes sont là pour vous accompagner à chaque étape.

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Témoignage étudiante (exemples)
 

Le campus de l'ÉTS apparaît. Trois étudiants discutent, assis sur un banc. À droite, dans un nuage de brume, s'affichent le sigle de l'ÉTS ainsi que les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec. Apprendre autrement. »
Puis l'une des étudiants sur le banc apparaît à l'intérieur d'un pavillon, assise à une table d'étude. Elle est identifiée « Mylène, étudiante en génie des opérations et de la logistique DUT Qualité, logistique industrielle et organisation - IUT de Nantes ». Elle dit: « J'ai décidé de continuer à l'ÉTS parce que je voulais vraiment partir à l'étranger. C'est quelque chose que j'avais envie de découvrir, découvrir des nouvelles cultures... et partir un petit peu de la France, de ce que je connaissais déjà. L'ÉTS, c'est une école qui est francophone, donc c'était quelque chose qui penchait beaucoup dans la balance, de pouvoir partir aussi loin, découvrir une nouvelle culture, un nouveau continent, mais de quand même rester dans cette facilité de continuer en français. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis un autre étudiant apparaît, assis au même endroit que Mylène. Il est identifié « Gauthier, étudiant en génie mécanique DUT Mesures Physiques - IUT de bordeaux ». Alors qu'il parle, il apparaît brièvement descendant un escalier puis discutant dans un atrium. Il dit: « La grosse différence, avec l'ÉTS, c'est vraiment qu'on peut faire preuve d'autonomie. On a beaucoup plus de flexibilité dans le choix des cours. Ça nous permet d'être proactifs où on peut gérer vraiment notre emploi du temps comme on veut pour avoir des projets extrascolaires ou travailler à côté à temps partiel. Donc, ça nous laisse vraiment une très bonne opportunité de s'ouvrir un peu aussi à la culture québécoise, puisque si on veut, par exemple, on pourrait éventuellement imaginer des week-ends de trois ou de quatre jours si on arrange bien ses cours, donc pour aller visiter, par exemple, le Québec. »
La porte rouge des Résidences universitaires apparaît. À l'intérieur, Mylène mange un sandwich dans une salle commune en riant avec d'autres étudiants. Puis elle apparaît à nouveau dans le pavillon, assise près d'une table d'étude. Elle dit: « L'avantage d'habiter aux résidences, c'est que du coup, on est vraiment au coeur du campus, on est vraiment inclus dans la vie étudiante, on passe notre vie sur le campus. On est en contact avec des étudiants de l'ÉTS en permanence. »
Mylène prend des photos sur le campus puis une image de la ville Montréal apparaît. Mylène continue: « Le fait est qu'on vit aussi à côté du centre-ville, donc à pied, on est vraiment à toutes les commodités, on a une épicerie pas très loin, le métro qui est pas très loin non plus. On est à 20 minutes à pied du vrai centre-ville de la rue Sainte-Catherine, par exemple. C'est vraiment un cadre assez idéal et vraiment chouette dans lequel vivre. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis un autre étudiant apparaît, assis au même endroit que Mylène dans le pavillon, près d'une table d'étude. Il est identifié « Xavier, étudiant en génie logiciel DUT Informatique - IUT de Saint-Dié-Des-Vosges ». Il dit: « Montréal a été ça a été un coup de foudre. C'est tellement vivant, y a tellement tout à faire, et même encore aujourd'hui, après quatre ans, je me surprends à, des fois, aller me balader et tomber dans une rue que j'ai jamais vue ou alors dans une rue que je connais déjà, redécouvrir quelque chose qui n'y était pas avant. Autre chose, en fait, qui va dans le fait qu'on a énormément de chance d'être au Canada et que ça fonctionne différemment, c'est qu'à chaque fois, j'ai eu la chance de transformer mon stage en temps partiel. »
Des images du campus puis d'un tunnel éclairé défilent. Xavier, sa carte étudiante en main, entre dans un laboratoire informatique puis travaille sur un ordinateur. Il continue: « Donc, je pense que tous ceux qui sont actuellement en France et qui ont eu un stage savent à quel point c'est difficile d'essayer d'obtenir un temps partiel, mais on vient nous proposer ça et on accepte qu'on soit pas forcément full time ici. Ça prend, en fait, une bonne gestion du temps. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Gauthier apparaît de nouveau, assis au même endroit dans le pavillon. Il dit: « Un des avantages vraiment, au Canada, aussi, c'est que les loyers, notamment donc dans la zone de Montréal, sont plus faibles, au Québec, en particulier. Donc, c'est plus facile de vivre au niveau du loyer qu'en France dans une grande ville, par exemple, comme Paris ou Bordeaux. »
Le campus apparaît. Puis Mylène revient à l'écran, assise dans le pavillon. Alors qu'elle parle, elle apparaît brièvement, travaillant sur un ordinateur portable, son appareil photo posé près d'elle. Elle dit: « La manière de travailler à l'ÉTS, elle est différente de celle du DUT. On apprend, on fait beaucoup d'exercices, on fait en sorte de bien comprendre les notions, et les examens sont pas du tout piégeants. En fait, on cherche plus à valider si la matière est bien apprise, bien comprise, et c'est plus facile d'avoir, je trouve, des bonnes notes à l'ÉTS. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Xavier revient à l'écran, assis dans le pavillon. Il dit: « L'ÉTS, vraiment, nous pousse à aller vers l'industrie. On a la chance d'être une école de génie, ça veut dire que l'ensemble de nos enseignants de département sont des ingénieurs. Ils travaillent ou ont travaillé récemment dans le domaine, la grande majorité, et du moins, à ma connaissance, tous mes enseignants ont continué de travailler à côté, en plus de donner des cours, et du coup, ils ont une représentation de l'industrie qui est beaucoup plus véritable. »
L'escalier et l'entrée du pavillon apparaissent. Gauthier revient à l'écran. Il dit:
« Dans mes trois stages, j'ai été accompagné par le service des stages et par les différentes personnes qui travaillaient au sein de ces entreprises.
C'était l'occasion pour moi d'avoir vraiment une expérience professionnelle concrète qui m'a permis de travailler sur différents marchés. L'entrepreneuriat, ça m'est venu un peu par hasard. Donc, j'ai pris un cours à l'ÉTS qui s'appelle introduction à l'entrepreneuriat. »
Gauthier marche en direction du Centech. Il entre dans le bâtiment, passe une porte marquée du mot « Thales » puis il travaille sur un ordinateur portable. Il poursuit: « Suite à ce cours, on a participé, en fait, à une mini compétition qui pouvait nous faire obtenir une place dans le programme d'accélération du Centech, et c'est comme ça que j'ai intégré, en fait, le programme, et de fil en aiguille, en fait, j'ai rencontré donc... mon manager, chez Thales, qui m'a donné l'opportunité de continuer mon travail, donc maintenant, j'occupe un poste de gestionnaire des opérations chez Thales, donc dans un programme d'entrepreneuriat, qui est finalement en collaboration avec le Centech. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Mylène revient à l'écran, assise dans le pavillon. Elle dit: « En France, c'est vrai qu'on est souvent concentré sur nos études, et on est vraiment à temps plein dans nos études, alors qu'à l'ÉTS, c'est quelque chose qui est vraiment mis en valeur, je pense que c'est à l'école, mais aussi, bien... les Québécois, en général, mettent beaucoup en valeur cet esprit d'implication étudiante en dehors des cours, surtout avec les clubs étudiants, donc les clubs étudiants scientifiques, mais aussi les regroupements étudiants, donc moi, je fais partie d'un regroupement étudiant. »
Xavier marche dans un couloir puis entre dans une pièce où des étudiants travaillent sur divers projets. Puis il apparaît assis près de la table d'étude dans le pavillon. Il dit: « Bah, en fait, c'est mon conseil d'ancien: rejoignez un club étudiant. Votre diplôme, en fait, change complètement. Déjà, vous avez la chance, si vous êtes assidu dans les clubs étudiants, de repartir avec une distinction à la fin de votre bac, et en fait, au-delà de ça, ça vous permet de vous créer un réseau, de vous donner une expérience qu'un stage ne peut pas forcément des fois vous donner. Ça vous permet de pousser un peu plus loin dans des domaines qui, des fois, vous n'avez pas pu pousser aussi loin que vous voulez. Au-delà de ça, je voulais rejoindre l'OIQ. Donc, du coup, l'Ordre des ingénieurs du Québec, parce qu'y a trop peu d'ingénieurs logiciels dans l'OIQ, et j'aimerais vraiment pouvoir participer au renouveau, enfin, de l'ingénierie logicielle en tant que telle. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Gauthier apparaît à nouveau, assis dans le pavillon. Il dit: « Après quatre ans à l'ÉTS, j'ai vraiment l'ambition de rester au Québec, notamment parce que la ville de Montréal est vraiment dynamique, et... le climat et la qualité de vie sont intéressants. Donc, je compte vraiment rester au Québec ou alors au Canada. »
Sur un fond blanc, le sigle de l'ÉTS apparaît à gauche dans un cube rouge avec les mots « Le génie pour l'industrie ». Les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » s'affichent en noir à droite.

L'expérience ÉTS de nos étudiant(e)s français diplômés de DUT

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, un jeune homme est assis près d'un module brun. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite. Il dit « OK » en souriant et tape dans ses mains.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
(musique entraînante)
Le jeune homme, identifié « Gelel, étudiant-athlète en double diplôme à la maîtrise en génie des technologies de la santé », revient à l'écran. Il dit: « Bonjour, je m'appelle Gelel. Moi, je viens d'une formation d'ingénieur en informatique qui fait du groupe INSA et qui s'appelle ISIS Castres, et je suis ici pour effectuer un double diplôme en maîtrise technologies de la santé dans un profil mémoire. Je finalise ma cinquième année en France en finalisant une maîtrise au sein de l'ÉTS, et dans mon cas, c'est... je choisis d'orienter mes études plus vers le médical, sachant qu'à la base, je faisais de l'informatique. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai découvert l'ÉTS en discutant avec un ami qui avait déjà fait un échange à l'ÉTS. Du coup, il m'a convaincu. J'ai fait mes petites recherches... et du coup, j'ai choisi de venir à l'ÉTS. Quand j'ai vu un peu la description de l'ÉTS, j'ai vu que c'était, déjà, une école qui était plutôt jeune, dynamique, qui avait des relations plutôt privilégiées avec le monde... avec l'industrie.Y a un cadre pédagogique qui est plutôt important, on a des bons cours, des bons enseignements. Les professeurs sont souvent des experts dans leur domaine. Y a une vie étudiante qui est plutôt sympa avec différents clubs, comme les clubs sportifs. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi as-tu choisi le profil avec mémoire (recherche)? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai choisi de faire un profil mémoire pour faire un projet de recherche. Je voulais essayer d'avoir un impact positif sur une problématique qu'on peut rencontrer dans la vie de tous les jours ou dans un domaine précis, et aussi, en même temps, je voulais découvrir ce que c'était, la recherche, et également, j'ai eu la chance de trouver un bon sujet de recherche qui m'a tout de suite plu. Du coup, c'est pour ça que je suis orienté vers la recherche. Je suis en partenariat, en fait, avec l'Institut de neurologie de Montréal, où je travaille sur la robustesse des systèmes de guidance en neurochirurgie à l'aide d'échographies cérébrales. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment as-tu trouvé ton projet et ton directeur de recherche? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Pour trouver un sujet de recherche, y avait plusieurs possibilités, j'ai essayé de regarder un peu les annonces qui sont faites sur le site de l'ÉTS, parce que sur le site de l'ÉTS, on peut retrouver plusieurs annonces. Y a des informations sur le professeur, sur le sujet, qu'est-ce qui est demandé, s'il y a une bourse que le professeur donne, etc. Moi, j'ai choisi de contacter directement les professeurs et ensuite de faire un entretien individuel avec ces professeurs-là, et finalement, de voir avec lequel ça allait matcher. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est la charge de travail d'un projet de recherche? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Dans une maîtrise mémoire, on doit être beaucoup plus autonome que dans une maîtrise projet. On doit beaucoup plus s'organiser et essayer de se mettre des objectifs pour pouvoir réaliser au mieux les différentes étapes qui vont réaliser notre projet de recherche. C'est plus de l'organisation que... qu'une charge de travail importante. Si on arrive à bien s'organiser, on peut réussir à faire un projet de recherche assez facilement. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « C'est quoi l'expérience ÉTS? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « L'ÉTS, ça serait un lieu de partage, si on peut dire. On peut rencontrer beaucoup de monde, on peut apprendre beaucoup de choses. Je pense que c'est le bon mot pour décrire l'ÉTS: le partage. Je suis tombé sur un directeur de recherche qui est plutôt disponible, qui donne de son temps. Je peux poser des questions, que ça soit sur l'aspect recherche, ou travail, ou quoi que ce soit, même sur l'aspect de la vie quotidienne, je peux lui poser des questions. L'environnement de travail, on a la chance d'avoir un cadre qui est plutôt sympa, des immeubles qui sont plutôt récents. On ressent aussi que l'ÉTS investit beaucoup sur la recherche. Du coup, on peut facilement faire des demandes pour des besoins spécifiques pour nos projets de recherche et elles sont souvent acceptées, et ça, c'est plutôt agréable. Et voilà, je pense qu'y a un bon cadre de travail. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « De quelle manière finances-tu tes études au Canada? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai eu la chance d'avoir une bourse d'études qui est financée par mon professeur pour réaliser mes recherches, et en parallèle,
je suis étudiant-athlète, du coup, j'ai aussi reçu une bourse du centre sportif. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Es-tu impliqué dans un club? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Moi, je fais partie du club... d'un club sportif qui est les Piranhas rugby de l'ÉTS. Je m'entraîne avec l'équipe de l'ÉTS pour représenter les couleurs de l'ÉTS dans le championnat RSEQ, qui est la plus haute division qu'on peut connaître ici. J'ai la chance d'avoir un encadrement qui... qui est plutôt professionnel avec des personnes qui sont impliquées dans Rugby Québec. J'ai eu la chance de rencontrer une bonne bande de copains. On peut échanger, que ça soit dans les entraînements ou même en dehors des entraînements, on vit des expériences tous ensemble. Faire partie des Piranhas rugby, ça permet d'avoir des relations, de s'intégrer beaucoup plus facilement dans un endroit qu'on connaît pas, dans un pays qu'on connaît pas. C'est aussi... d'avoir la chance de pouvoir faire un double projet, c'est-à-dire ses études et aussi jouer à haut niveau au rugby. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Ce qui est agréable à Montréal, c'est qu'y a pas mal de parcs, et du coup, y a pas mal de nature, on peut aller très facilement dans un parc et passer du temps avec des amis et profiter du soleil. Premier jour, quand je descends de l'avion, c'était une tempête de neige. Du coup, bah, c'était ma première image du Québec. Moi, j'arrivais du sud de la France où il fait plutôt bon y vivre, et j'arrive d'un coup, à Montréal, en pleine tempête de neige. C'était... ça m'a surpris, mais c'était plutôt cool. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Je pourrais leur dire: n'hésitez pas. N'hésitez pas, essayez de contacter des personnes qui ont vécu l'expérience. C'est plutôt intéressant d'avoir un retour d'expérience. Faut pas avoir peur de s'engager, de toute façon, y a que des bonnes expériences, y en a pas des mauvaises. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Alors, mes intentions pour le futur, elles sont pas encore vraiment définies, parce que je suis dans un profil mémoire, du coup, je sais pas si j'ai envie de continuer dans les études ou de... d'aller dans le monde du travail, mais ce qui est sûr, c'est que je me plais bien ici, pourquoi pas continuer à travailler ici? »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

L'expérience ÉTS de nos étudiant(e)s français diplômés de DUT

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, une jeune femme est assise près d'un module brun. Elle sourit et tape dans ses mains. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
La jeune femme, identifiée « Annaëlle, étudiante en double diplôme à la maîtrise en gestion des projets d'ingénierie », revient à l'écran. Elle dit: « En France, j'ai suivi une formation dans une école d'ingénieur, donc un cinq ans, c'était dans le domaine du génie physique, c'est-à-dire que j'ai étudié tout ce qui était la physique des matériaux, des composants, toutes les nanotechnologies et aussi tout le domaine de l'instrumentation avec les tests et les mesures. Ici, à l'ÉTS, moi, je suis en double diplôme et je suis la maîtrise gestion de projets d'ingénierie. Donc, en fait, en double diplôme, c'est que j'ai remplacé ma dernière année d'études dans mon école d'ingénieur en France par la réalisation d'une maîtrise complète ici, à Montréal, à l'ÉTS, et donc à la fin, je serai diplômée à la fois de mon école française et d'une maîtrise ici. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi as-tu choisi l'ÉTS? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « J'ai découvert l'ÉTS par le biais d'amis à moi qui ont réalisé des maîtrises similaires ici, à l'ÉTS, donc j'ai pu en parler avec eux et voir que ça collait vraiment bien avec mon projet professionnel, et donc c'est ce qui m'a donné envie de postuler pour venir ici. Moi, j'ai choisi l'ÉTS parce que déjà, c'est une école qui est quand même très réputée pour les étudiants en génie, et je trouvais ça vraiment génial de pouvoir aller dans une école où je pouvais suivre une formation pas 100 % technique, mais où je pouvais quand même valoriser le fait que j'ai étudié en génie, et donc vraiment pouvoir m'orienter maintenant sur d'autres domaines, et à savoir la gestion de projets. Faire de la gestion de projets, c'était vraiment un choix personnel, dans le sens où je considérais que j'avais assez travaillé dans le technique, que j'ai adoré mes études dans le domaine de la physique, mais que je voulais passer à autre chose et apprendre d'autres compétences pour vraiment travailler en tant que chef de projets plus tard dans une entreprise. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Qu'est-ce qui te plaît dans tes cours à l'ÉTS? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « En France, j'avais déjà quelques cours de gestion qui étaient pas, enfin... des cours qui étaient pas 100 % techniques et scientifiques. Mais là, vraiment, en étudiant que ça, ici, à l'ÉTS, j'ai pu aller plus loin dans les notions. J'ai vraiment pu aborder plein de domaines et apprendre vraiment beaucoup de choses dans ces compétences transversales. Et le cours que j'ai préféré, je pense que c'était un cours où j'ai pu travailler directement avec une start-up québécoise de mon choix, et là, on a pu, dans ce cours, proposer un nouveau plan de sous-traitance à l'entreprise et ce qui était super, c'était déjà de pouvoir travailler avec des professionnels, mais aussi de rendre un devoir, un projet, on savait, qui allait être utile et qui est utilisé aujourd'hui par l'entreprise. Parmi les choses que j'ai aimé faire dans les cours à l'ÉTS, y a toutes les études de cas où j'ai pu travailler sur des grosses entreprises qui sont connues mondialement, comme Canada Goose ou Amazon, on a vraiment pu étudier leur modèle d'affaires, etc. Et puis, y a aussi les travaux vraiment, faits pour les entreprises elles-mêmes. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment trouves-tu la charge de travail et tes cours? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Moi, personnellement, la charge de travail, si on compare vraiment à ce que j'étudiais avant et à mon école d'ingénieur en France, elle est plus légère. Mais déjà parce que c'est un domaine d'études complètement différent, enfin, je suis passée... de la physique quantique, des lois de Maxwell, à l'étude plus du management, des registres de risques, etc. Donc, la charge de travail est plus légère, mais en même temps, on a plus de travail personnel, c'est-à-dire qu'on passe moins de temps en cours, assis, à écouter un professeur, on va avoir plus de projets de groupe. Mais c'est quand même nécessaire d'avoir plus de temps libre parce que vu qu'on fait beaucoup de projets de groupe, faut pouvoir adapter son emploi du temps pour pouvoir faire des réunions, avancer à notre rythme, etc. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Qu'est-ce qui différencie l'ÉTS? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Concernant l'ÉTS, déjà, je trouve que, vraiment, on peut adapter notre formation comme on veut parce que la différence, en France, ici, on peut vraiment choisir à chaque session tous les cours qu'on veut faire, donc on peut vraiment nous-même choisir quel domaine on veut étudier en particulier. Donc, c'est vraiment super sympa de pouvoir choisir sa formation comme on veut. Je décrirais aussi l'ÉTS comme une école où on est très proche du corps enseignant. Vraiment, on peut se référer aux professeurs pour tout. On peut vraiment leur poser n'importe quelle question, et ils sont toujours très disponibles pour nous répondre. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « La chose qui m'a plus étonnée en arrivant à Montréal, c'est qu'y a des écureuils partout, vraiment. Il suffit d'aller au Square Saint-Louis pour voir qu'il y en a vraiment partout, et ça, c'est quand même assez étonnant. Du coup, nous, en tant que Français, on est toujours là à les prendre en photos, à les trouver trop mignons. Mais sinon, dans mes choses préférées à Montréal, l'endroit que je conseille à tout le monde, c'est le belvédère d'Outremont. Pour moi, c'est vraiment le meilleur spot à Montréal pour aller voir le coucher du soleil sur la ville. Sinon, je dirais vraiment à tout le monde de se balader dans tous les quartiers de Montréal parce que je les trouve tous très différents, que ce soit aller downtown ou aller à la Petite Italie, enfin vraiment, tout est super joli à Montréal. Et je dirais à tout le monde d'aller au marché Jean-Talon parce que l'ambiance, elle est hyper sympa, très conviviale, et qu'on peut trouver plein de bonnes choses et même un peu de fromage. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Si je revenais un peu avant ma demande de permis d'études, mon conseil, ce serait de bien savoir quel permis d'études on veut demander, parce que moi, là, j'ai un permis d'études classiques, et au final, je pense que si je refaisais ma demande, je demanderais un permis d'études où je peux faire un stage aussi avec, et donc ça permettrait de pas avoir à refaire de papiers par la suite. Donc, je pense que ça, c'est le petit conseil que je me serais donné avant de faire mes démarches administratives. Et dans sa valise, de mettre vraiment une palette de vêtements très étendue parce que ça va de tenues de ski pour l'hiver quand il fait moins 30, aux tenues d'été avec les maillots de bain parce qu'il fera vraiment très, très chaud. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Annaëlle revient à l'écran. Elle dit: « Pour mon projet de maîtrise, je vais réaliser un projet d'intervention d'entreprise, et je voudrais vraiment qu'il lie mes études passées à mes études actuelles, donc pour ça, ce sera sûrement une entreprise qui évolue dans le domaine de la physique ou du test, de la mesure, etc. Et j'aimerais vraiment appliquer mes connaissances que j'ai apprises à l'ÉTS, et donc travailler en tant que chef de projet, par exemple. Pour mon travail plus tard, si je reste ici, au Québec, je sais pas encore si je resterai sur Montréal, ou alors si j'irai plus loin au fond du Québec, parce que par exemple, j'ai déjà passé une session à Rimouski, donc pourquoi pas retourner un peu plus vers les campagnes québécoises? »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

L'expérience ÉTS de nos étudiant(e)s français diplômés de DUT

La recherche à l'ÉTS

Nos équipes de recherche mènent des projets d’envergure avec des partenaires internationaux dans des domaines technologiques de pointe. Nous favorisons une approche appliquée, interdisciplinaire et ouverte sur le monde.

Axes de recherche

  • Aéronautique et aérospatiale

  • Capteurs, réseaux et connectivité

  • Technologies pour la santé

  • Villes intelligentes et mobilité

  • Technologies manufacturières et industrie 4.0

  • Intelligence artificielle et transformation numérique

  • Énergie, environnement et développement durable

  • Infrastructures et milieux bâtis

  • Cybersécurité et systèmes embarqués

  • Gestion de l’innovation et entrepreneuriat technologique

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Chaires, laboratoires, instituts 
et centres de recherche

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Témoignages (exemples)
 

Le campus de l'ÉTS apparaît. Trois étudiants discutent, assis sur un banc. À droite, dans un nuage de brume, s'affichent le sigle de l'ÉTS ainsi que les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec. Apprendre autrement. »
Puis l'une des étudiants sur le banc apparaît à l'intérieur d'un pavillon, assise à une table d'étude. Elle est identifiée « Mylène, étudiante en génie des opérations et de la logistique DUT Qualité, logistique industrielle et organisation - IUT de Nantes ». Elle dit: « J'ai décidé de continuer à l'ÉTS parce que je voulais vraiment partir à l'étranger. C'est quelque chose que j'avais envie de découvrir, découvrir des nouvelles cultures... et partir un petit peu de la France, de ce que je connaissais déjà. L'ÉTS, c'est une école qui est francophone, donc c'était quelque chose qui penchait beaucoup dans la balance, de pouvoir partir aussi loin, découvrir une nouvelle culture, un nouveau continent, mais de quand même rester dans cette facilité de continuer en français. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis un autre étudiant apparaît, assis au même endroit que Mylène. Il est identifié « Gauthier, étudiant en génie mécanique DUT Mesures Physiques - IUT de bordeaux ». Alors qu'il parle, il apparaît brièvement descendant un escalier puis discutant dans un atrium. Il dit: « La grosse différence, avec l'ÉTS, c'est vraiment qu'on peut faire preuve d'autonomie. On a beaucoup plus de flexibilité dans le choix des cours. Ça nous permet d'être proactifs où on peut gérer vraiment notre emploi du temps comme on veut pour avoir des projets extrascolaires ou travailler à côté à temps partiel. Donc, ça nous laisse vraiment une très bonne opportunité de s'ouvrir un peu aussi à la culture québécoise, puisque si on veut, par exemple, on pourrait éventuellement imaginer des week-ends de trois ou de quatre jours si on arrange bien ses cours, donc pour aller visiter, par exemple, le Québec. »
La porte rouge des Résidences universitaires apparaît. À l'intérieur, Mylène mange un sandwich dans une salle commune en riant avec d'autres étudiants. Puis elle apparaît à nouveau dans le pavillon, assise près d'une table d'étude. Elle dit: « L'avantage d'habiter aux résidences, c'est que du coup, on est vraiment au coeur du campus, on est vraiment inclus dans la vie étudiante, on passe notre vie sur le campus. On est en contact avec des étudiants de l'ÉTS en permanence. »
Mylène prend des photos sur le campus puis une image de la ville Montréal apparaît. Mylène continue: « Le fait est qu'on vit aussi à côté du centre-ville, donc à pied, on est vraiment à toutes les commodités, on a une épicerie pas très loin, le métro qui est pas très loin non plus. On est à 20 minutes à pied du vrai centre-ville de la rue Sainte-Catherine, par exemple. C'est vraiment un cadre assez idéal et vraiment chouette dans lequel vivre. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis un autre étudiant apparaît, assis au même endroit que Mylène dans le pavillon, près d'une table d'étude. Il est identifié « Xavier, étudiant en génie logiciel DUT Informatique - IUT de Saint-Dié-Des-Vosges ». Il dit: « Montréal a été ça a été un coup de foudre. C'est tellement vivant, y a tellement tout à faire, et même encore aujourd'hui, après quatre ans, je me surprends à, des fois, aller me balader et tomber dans une rue que j'ai jamais vue ou alors dans une rue que je connais déjà, redécouvrir quelque chose qui n'y était pas avant. Autre chose, en fait, qui va dans le fait qu'on a énormément de chance d'être au Canada et que ça fonctionne différemment, c'est qu'à chaque fois, j'ai eu la chance de transformer mon stage en temps partiel. »
Des images du campus puis d'un tunnel éclairé défilent. Xavier, sa carte étudiante en main, entre dans un laboratoire informatique puis travaille sur un ordinateur. Il continue: « Donc, je pense que tous ceux qui sont actuellement en France et qui ont eu un stage savent à quel point c'est difficile d'essayer d'obtenir un temps partiel, mais on vient nous proposer ça et on accepte qu'on soit pas forcément full time ici. Ça prend, en fait, une bonne gestion du temps. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Gauthier apparaît de nouveau, assis au même endroit dans le pavillon. Il dit: « Un des avantages vraiment, au Canada, aussi, c'est que les loyers, notamment donc dans la zone de Montréal, sont plus faibles, au Québec, en particulier. Donc, c'est plus facile de vivre au niveau du loyer qu'en France dans une grande ville, par exemple, comme Paris ou Bordeaux. »
Le campus apparaît. Puis Mylène revient à l'écran, assise dans le pavillon. Alors qu'elle parle, elle apparaît brièvement, travaillant sur un ordinateur portable, son appareil photo posé près d'elle. Elle dit: « La manière de travailler à l'ÉTS, elle est différente de celle du DUT. On apprend, on fait beaucoup d'exercices, on fait en sorte de bien comprendre les notions, et les examens sont pas du tout piégeants. En fait, on cherche plus à valider si la matière est bien apprise, bien comprise, et c'est plus facile d'avoir, je trouve, des bonnes notes à l'ÉTS. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Xavier revient à l'écran, assis dans le pavillon. Il dit: « L'ÉTS, vraiment, nous pousse à aller vers l'industrie. On a la chance d'être une école de génie, ça veut dire que l'ensemble de nos enseignants de département sont des ingénieurs. Ils travaillent ou ont travaillé récemment dans le domaine, la grande majorité, et du moins, à ma connaissance, tous mes enseignants ont continué de travailler à côté, en plus de donner des cours, et du coup, ils ont une représentation de l'industrie qui est beaucoup plus véritable. »
L'escalier et l'entrée du pavillon apparaissent. Gauthier revient à l'écran. Il dit:
« Dans mes trois stages, j'ai été accompagné par le service des stages et par les différentes personnes qui travaillaient au sein de ces entreprises.
C'était l'occasion pour moi d'avoir vraiment une expérience professionnelle concrète qui m'a permis de travailler sur différents marchés. L'entrepreneuriat, ça m'est venu un peu par hasard. Donc, j'ai pris un cours à l'ÉTS qui s'appelle introduction à l'entrepreneuriat. »
Gauthier marche en direction du Centech. Il entre dans le bâtiment, passe une porte marquée du mot « Thales » puis il travaille sur un ordinateur portable. Il poursuit: « Suite à ce cours, on a participé, en fait, à une mini compétition qui pouvait nous faire obtenir une place dans le programme d'accélération du Centech, et c'est comme ça que j'ai intégré, en fait, le programme, et de fil en aiguille, en fait, j'ai rencontré donc... mon manager, chez Thales, qui m'a donné l'opportunité de continuer mon travail, donc maintenant, j'occupe un poste de gestionnaire des opérations chez Thales, donc dans un programme d'entrepreneuriat, qui est finalement en collaboration avec le Centech. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Mylène revient à l'écran, assise dans le pavillon. Elle dit: « En France, c'est vrai qu'on est souvent concentré sur nos études, et on est vraiment à temps plein dans nos études, alors qu'à l'ÉTS, c'est quelque chose qui est vraiment mis en valeur, je pense que c'est à l'école, mais aussi, bien... les Québécois, en général, mettent beaucoup en valeur cet esprit d'implication étudiante en dehors des cours, surtout avec les clubs étudiants, donc les clubs étudiants scientifiques, mais aussi les regroupements étudiants, donc moi, je fais partie d'un regroupement étudiant. »
Xavier marche dans un couloir puis entre dans une pièce où des étudiants travaillent sur divers projets. Puis il apparaît assis près de la table d'étude dans le pavillon. Il dit: « Bah, en fait, c'est mon conseil d'ancien: rejoignez un club étudiant. Votre diplôme, en fait, change complètement. Déjà, vous avez la chance, si vous êtes assidu dans les clubs étudiants, de repartir avec une distinction à la fin de votre bac, et en fait, au-delà de ça, ça vous permet de vous créer un réseau, de vous donner une expérience qu'un stage ne peut pas forcément des fois vous donner. Ça vous permet de pousser un peu plus loin dans des domaines qui, des fois, vous n'avez pas pu pousser aussi loin que vous voulez. Au-delà de ça, je voulais rejoindre l'OIQ. Donc, du coup, l'Ordre des ingénieurs du Québec, parce qu'y a trop peu d'ingénieurs logiciels dans l'OIQ, et j'aimerais vraiment pouvoir participer au renouveau, enfin, de l'ingénierie logicielle en tant que telle. »
Un écran couvert du mot « ÉTS » passe rapidement vers la gauche. Puis Gauthier apparaît à nouveau, assis dans le pavillon. Il dit: « Après quatre ans à l'ÉTS, j'ai vraiment l'ambition de rester au Québec, notamment parce que la ville de Montréal est vraiment dynamique, et... le climat et la qualité de vie sont intéressants. Donc, je compte vraiment rester au Québec ou alors au Canada. »
Sur un fond blanc, le sigle de l'ÉTS apparaît à gauche dans un cube rouge avec les mots « Le génie pour l'industrie ». Les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » s'affichent en noir à droite.

Dans une grande pièce claire avec des fenêtres et des poutres blanches, un jeune homme est assis près d'un module brun. Puis les mots « Apprendre autrement » apparaissent avec le sigle de l'ÉTS en haut à droite. Il dit « OK » en souriant et tape dans ses mains.
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
(musique entraînante)
Le jeune homme, identifié « Gelel, étudiant-athlète en double diplôme à la maîtrise en génie des technologies de la santé », revient à l'écran. Il dit: « Bonjour, je m'appelle Gelel. Moi, je viens d'une formation d'ingénieur en informatique qui fait du groupe INSA et qui s'appelle ISIS Castres, et je suis ici pour effectuer un double diplôme en maîtrise technologies de la santé dans un profil mémoire. Je finalise ma cinquième année en France en finalisant une maîtrise au sein de l'ÉTS, et dans mon cas, c'est... je choisis d'orienter mes études plus vers le médical, sachant qu'à la base, je faisais de l'informatique. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est ta formation? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai découvert l'ÉTS en discutant avec un ami qui avait déjà fait un échange à l'ÉTS. Du coup, il m'a convaincu. J'ai fait mes petites recherches... et du coup, j'ai choisi de venir à l'ÉTS. Quand j'ai vu un peu la description de l'ÉTS, j'ai vu que c'était, déjà, une école qui était plutôt jeune, dynamique, qui avait des relations plutôt privilégiées avec le monde... avec l'industrie.Y a un cadre pédagogique qui est plutôt important, on a des bons cours, des bons enseignements. Les professeurs sont souvent des experts dans leur domaine. Y a une vie étudiante qui est plutôt sympa avec différents clubs, comme les clubs sportifs. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Pourquoi as-tu choisi le profil avec mémoire (recherche)? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai choisi de faire un profil mémoire pour faire un projet de recherche. Je voulais essayer d'avoir un impact positif sur une problématique qu'on peut rencontrer dans la vie de tous les jours ou dans un domaine précis, et aussi, en même temps, je voulais découvrir ce que c'était, la recherche, et également, j'ai eu la chance de trouver un bon sujet de recherche qui m'a tout de suite plu. Du coup, c'est pour ça que je suis orienté vers la recherche. Je suis en partenariat, en fait, avec l'Institut de neurologie de Montréal, où je travaille sur la robustesse des systèmes de guidance en neurochirurgie à l'aide d'échographies cérébrales. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Comment as-tu trouvé ton projet et ton directeur de recherche? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Pour trouver un sujet de recherche, y avait plusieurs possibilités, j'ai essayé de regarder un peu les annonces qui sont faites sur le site de l'ÉTS, parce que sur le site de l'ÉTS, on peut retrouver plusieurs annonces. Y a des informations sur le professeur, sur le sujet, qu'est-ce qui est demandé, s'il y a une bourse que le professeur donne, etc. Moi, j'ai choisi de contacter directement les professeurs et ensuite de faire un entretien individuel avec ces professeurs-là, et finalement, de voir avec lequel ça allait matcher. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Quelle est la charge de travail d'un projet de recherche? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Dans une maîtrise mémoire, on doit être beaucoup plus autonome que dans une maîtrise projet. On doit beaucoup plus s'organiser et essayer de se mettre des objectifs pour pouvoir réaliser au mieux les différentes étapes qui vont réaliser notre projet de recherche. C'est plus de l'organisation que... qu'une charge de travail importante. Si on arrive à bien s'organiser, on peut réussir à faire un projet de recherche assez facilement. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « C'est quoi l'expérience ÉTS? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « L'ÉTS, ça serait un lieu de partage, si on peut dire. On peut rencontrer beaucoup de monde, on peut apprendre beaucoup de choses. Je pense que c'est le bon mot pour décrire l'ÉTS: le partage. Je suis tombé sur un directeur de recherche qui est plutôt disponible, qui donne de son temps. Je peux poser des questions, que ça soit sur l'aspect recherche, ou travail, ou quoi que ce soit, même sur l'aspect de la vie quotidienne, je peux lui poser des questions. L'environnement de travail, on a la chance d'avoir un cadre qui est plutôt sympa, des immeubles qui sont plutôt récents. On ressent aussi que l'ÉTS investit beaucoup sur la recherche. Du coup, on peut facilement faire des demandes pour des besoins spécifiques pour nos projets de recherche et elles sont souvent acceptées, et ça, c'est plutôt agréable. Et voilà, je pense qu'y a un bon cadre de travail. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « De quelle manière finances-tu tes études au Canada? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « J'ai eu la chance d'avoir une bourse d'études qui est financée par mon professeur pour réaliser mes recherches, et en parallèle,
je suis étudiant-athlète, du coup, j'ai aussi reçu une bourse du centre sportif. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Es-tu impliqué dans un club? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Moi, je fais partie du club... d'un club sportif qui est les Piranhas rugby de l'ÉTS. Je m'entraîne avec l'équipe de l'ÉTS pour représenter les couleurs de l'ÉTS dans le championnat RSEQ, qui est la plus haute division qu'on peut connaître ici. J'ai la chance d'avoir un encadrement qui... qui est plutôt professionnel avec des personnes qui sont impliquées dans Rugby Québec. J'ai eu la chance de rencontrer une bonne bande de copains. On peut échanger, que ça soit dans les entraînements ou même en dehors des entraînements, on vit des expériences tous ensemble. Faire partie des Piranhas rugby, ça permet d'avoir des relations, de s'intégrer beaucoup plus facilement dans un endroit qu'on connaît pas, dans un pays qu'on connaît pas. C'est aussi... d'avoir la chance de pouvoir faire un double projet, c'est-à-dire ses études et aussi jouer à haut niveau au rugby. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « As-tu une anecdote sur le Québec et un coup de coeur à nous partager? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Ce qui est agréable à Montréal, c'est qu'y a pas mal de parcs, et du coup, y a pas mal de nature, on peut aller très facilement dans un parc et passer du temps avec des amis et profiter du soleil. Premier jour, quand je descends de l'avion, c'était une tempête de neige. Du coup, bah, c'était ma première image du Québec. Moi, j'arrivais du sud de la France où il fait plutôt bon y vivre, et j'arrive d'un coup, à Montréal, en pleine tempête de neige. C'était... ça m'a surpris, mais c'était plutôt cool. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Un conseil à donner à des futurs étudiants? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Je pourrais leur dire: n'hésitez pas. N'hésitez pas, essayez de contacter des personnes qui ont vécu l'expérience. C'est plutôt intéressant d'avoir un retour d'expérience. Faut pas avoir peur de s'engager, de toute façon, y a que des bonnes expériences, y en a pas des mauvaises. »
Le mot « ÉTS » apparaît en série sur l'écran avec un bandeau rouge au centre sur lequel s'affiche la question « Et pour la suite? ».
Gelel revient à l'écran. Il dit: « Alors, mes intentions pour le futur, elles sont pas encore vraiment définies, parce que je suis dans un profil mémoire, du coup, je sais pas si j'ai envie de continuer dans les études ou de... d'aller dans le monde du travail, mais ce qui est sûr, c'est que je me plais bien ici, pourquoi pas continuer à travailler ici? »
Sur un fond blanc, les mots « École de technologie supérieure, Université du Québec » apparaissent à gauche d'un cube rouge marqué en blanc du sigle de l'ÉTS et des mots « Le génie pour l'industrie. »

Entreprenauriat et innovation

L’ÉTS soutient l’innovation technologique à travers un écosystème dynamique pour les entrepreneur(e)s, les chercheur(e)s et les porteurs de projets d'ici et d'ailleurs. Que vous ayez une idée, une startup ou un projet de recherche appliqué, vous trouverez les ressources pour passer à l’action.

Le Centech propulse les projets d’innovation technologique à fort potentiels issus des sciences et du génie, en mettant, au service des entrepreneur·e·s, un écosystème de ressources, d’outils et de contacts pour les accompagner dans leur croissance, et ce, de la conceptualisation à la commercialisation de leur produit.

Ax.c est la destination incontournable des startups technologiques québécoises et de l'entrepreneuriat innovant au cœur du centre-ville de Montréal.

Cet espace locatif moderne et versatile, pensé pour accueillir startups, investisseurs, incubateurs, organismes de soutien et corporations. rassemble les talents et les ressources clés pour transformer les idées visionnaires en succès.

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Équipe du Service des relations internationales

Le Service des relations internationales est responsable de piloter le développement et la mise en œuvre d’une stratégie d’internationalisation transversale et inclusive à l’ÉTS. Il accompagne et suscite l’engagement de la communauté ÉTS et des partenaires dans la réalisation de leurs projets d’internationalisation touchant la formation, la mobilité, la recherche, l'entreprenariat, la culture organisationnelle et la notoriété.

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Annie Bouthillette

Annie Bouthillette

Directrice exécutive des relations institutionnelles

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Mathieu Lefort

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Directeur, Service des relations internationales

Un professeur charismatique, souriant, dans un environnement moderne d'enseignement supérieur, reflétant expertise et accessibilité.

Tanguy Bantas

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Directeur adjoint, Service des relations internationales

Portrait d'une professionnelle souriante, vêtue d'un blazer bordeaux, se tenant dans un cadre moderne lumineux.

Perrine Cezard

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Directrice du Bureau ÉTS France

Portrait d'une professionnelle souriante en pull noir, avec un collier doré, symbolisant l'innovation et l'engagement dans l'enseignement supérieur.

Katerine Castro

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Cheffe d’équipe, Affaires internationales

Vue panoramique de Paris mettant en avant la Tour Eiffel, un symbole emblématique de la ville et de son architecture moderne.
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Le Bureau ÉTS France a pour objectif de contribuer au rayonnement, à la présence et à la notoriété de l’ÉTS en France. Il a pour mandat d’Identifier et de mettre en œuvre de nouvelles opportunités pour l'ÉTS en France avec les acteurs clés académiques, en recherche, industriels, diplomatiques, gouvernementaux et en entreprenariat.

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