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Palmarès Féminin Pluriel : 30 lauréates honorées lors de la 5e édition

Le 29 mai 2025, l’École de technologie supérieure a célébré les 30 lauréates de la 5e édition de Palmarès Féminin Pluriel, un programme de reconnaissance qui met en lumière des trajectoires inspirantes d’étudiantes de tous les cycles. Chaque parcours illustre à sa manière la diversité des modèles féminins en génie.

Un collage de portraits féminins sur fond coloré, illustrant la diversité et le dynamisme d'un environnement universitaire.
Mosaïque des lauréates de la 5e édition

Cette année, plus de 155 candidatures ont été soumises sous forme de lettres. Le jury, composé de Viviane Catineau (chargée de cours), Alissa Lauriault (conseillère en équité, diversité et inclusion au Bureau des affaires professorales), Félix Langevin-Harnois (directeur adjoint à la bibliothèque), Fanie St-Jean (conseillère en relation d’aide aux Services à la vie étudiante), Isabelle Desjardins-David (professeure enseignante au Département des enseignements généraux), Éric Wagnac (professeur au Département de génie mécanique) et Francis Lavallière (coordonnateur au Centre sportif), a eu la tâche exigeante de sélectionner les lauréates 2025. Le Service des communications et du recrutement étudiant leur adresse ses plus sincères remerciements pour leur engagement et leur sensibilité.

Lors de la cérémonie, plusieurs intervenantes et intervenants ont pris la parole pour saluer la détermination, la créativité, l’engagement et la volonté des lauréates à créer un monde plus juste. La soirée s’est ouverte avec une allocution de Kathy Baig, directrice générale et cheffe de la direction de l’ÉTS, suivie d’un mot de clôture par Annie Bouthillette, directrice exécutive des relations institutionnelles.

L’ÉTS a pu compter cette année encore sur le soutien fidèle de Broccolini Construction et de Ventilation GR. Grâce à leur appui, chacune des lauréates a reçu une bourse de 1 000 $.

Créé en 2019, Palmarès Féminin Pluriel s’inscrit dans les efforts de l’ÉTS pour accroître la représentation des femmes en génie et atteindre l’objectif fixé par Ingénieurs Canada : 30 % de femmes dans la profession d’ici 2030. En valorisant une pluralité de parcours, l’initiative contribue à briser les stéréotypes et à élargir les horizons.

Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge. Puis un rectangle rouge apparaît en surimpression sur des images du campus et un texte en blanc défile alors qu'une narratrice prononce les mots: « Palmarès Féminin pluriel est né de la volonté de l'ÉTS de mettre en lumière les parcours diversifiés de ses étudiantes et de démontrer aux générations futures que les femmes ont leur place dans le domaine des technologies. »
Dans un pavillon, une femme descend un escalier. Sur un fond blanc, un texte apparaît en rouge: « C'est ainsi que chaque année, l'ÉTS rend hommage à 30 femmes de sa communauté étudiantes qui se démarquent parce qu'elles sont... » La narratrice dit: « C'est ainsi que chaque année, l'ÉTS rend hommage à 30 femmes de sa communauté étudiantes qui se démarquent parce qu'elles sont... inspirantes. »
Sur un fond violet, le mot « inspirantes » apparaît en blanc. Puis sur un fond rouge, l'écran se scinde à plusieurs reprises et des images de femmes apparaissent et se succèdent ainsi que le pavillon E.
Sur un fond violet, le mot « engagées » apparaît en blanc. La narratrice dit: « Parce qu'elles sont engagées. »
L'écran se scinde à plusieurs reprises et des images de femmes apparaissent et se succèdent ainsi qu'une sculpture colorée devant un pavillon.
Sur un fond violet, le mot « déterminées » apparaît en blanc. La narratrice dit: « Parce qu'elles sont déterminées. »
L'écran se scinde à plusieurs reprises et des images de femmes apparaissent et se succèdent ainsi que le campus.
Sur un fond violet, les mots « créent un monde plus juste » apparaissent en blanc. La narratrice dit: « Parce qu'elles créent un monde plus juste. »
L'écran se scinde à plusieurs reprises et des images de femmes apparaissent et se succèdent ainsi qu'une salle d'étude dans un pavillon.
Sur un fond violet, le mot « persévérantes » apparaît en blanc. La narratrice dit: « Et parce qu'elles sont persévérantes. »
L'écran se scinde à plusieurs reprises et des images de femmes apparaissent et se succèdent ainsi qu'un pavillon.
Sur un fond rouge, un texte s'affiche en blanc alors que la narratrice prononce les mots: « Venez à la rencontre des 30 lauréates de la cinquième édition de Palmarès Féminin pluriel. »
Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge puis les mots « Objectif féminin pluriel » s'affichent. Enfin, le sigle de l'ÉTS apparaît en blanc dans un carré rouge et les mots « Accordons le génie au féminin pluriel » s'affichent en rouge. La narratrice dit: « Ensemble, accordons le génie au féminin pluriel. »

Envie d'en savoir plus sur les parcours des 30 lauréates ? 
Visitez la galerie de portraits, découvrez l'exposition photo qui leur est consacrée dans le tunnel menant du pavillon A au pavillon E à l’ÉTS et découvrez les témoignages vidéo des étudiantes ci-dessous ! 

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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge. Puis un rectangle violet apparaît en surimpression sur des images du campus. Les mots « Elles sont persévérantes » apparaissent en blanc. La narratrice dit: « Elles sont persévérantes. »
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Le rectangle devient rouge. Un texte s'affiche en blanc alors que la narratrice prononce les mots: « Cette catégorie met en lumière six femmes remarquables, qui ont su faire face à l'adversité avec courage et ténacité. Qu'il s'agisse de surmonter des échecs, de briser des barrières sociétales ou de conjuguer des études exigeantes avec des défis personnels majeurs, elles incarnent la persévérance dans toute sa puissance. »
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Les photos de six femmes s'affichent. Puis une femme apparaît à l'extérieur et dans un pavillon. Elle est identifiée: « Zeinab Javid, doctorat en génie ». Elle dit: « Je suis née en Iran, et j'avais pas... toutes les choses plus facilement que d'autres personnes. Même pour avoir de petites choses aussi, c'était très difficile pour moi. J'avais un seul choix. Seulement je dois travailler très fort. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Saira Tariq, doctorat en génie ». Elle parle en anglais avec des sous-titres français. Elle dit: « Je m'applique au développement de ma patience et de ma capacité de discipline. Pour les défis du quotidien, ma stratégie est « diviser pour mieux conquérir ». Je découpe la tâche en petites étapes et je les accomplis une à une. »
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Une femme apparaît à l'extérieur et dans un pavillon. Elle est identifiée: « Léa Markezic, certificat en production industrielle ». Elle dit: « J'étais au volleyball, et en fait, je n'arrivais plus à m'épanouir dans le sport. Donc je suis passée au badminton. C'est un sport que j'avais jamais joué de ma vie. Et j'ai passé du coup toute la saison avec eux. Et j'ai pu prouver que j'étais pas là pour rien, que je m'étais vraiment battue. J'ai réussi à faire gagner un match décisif à mon équipe pour passer en quart de finale. C'était vraiment un moment un peu magique puis qui était aussi comme un accomplissement de tout le travail que j'ai donné tout au long de l'année. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Manuela Brielle Tsopze Tontsop, baccalauréat en génie des opérations et de la logistique ». Elle dit: « On attend jamais le bon moment pour te lancer. Je suis étudiante, j'ai des enfants. J'ai une vie de famille. Puis je me suis dit: « OK, si je dois attendre de faire un à la fois, ça me prendrait beaucoup plus de temps qu'il ne le faut. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Cassandra Lépine, baccalauréat en génie des opérations et de la logistique. » Elle dit: « J'écoute beaucoup de musique avant de me coucher. Ça me permet de me détendre puis de faire le point un petit peu, d'être un peu dans ma bulle, réfléchir à ce que j'ai fait, ce qui a bien été, ce qui a mal été, puis de m'ajuster au fur et à mesure. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Sophie Richard, doctorat en génie ». Elle dit: « Quand t'as un défi puis que t'as de la misère à l'atteindre, dire: OK, c'est vraiment ça que je veux faire, donc je vais vraiment mettre les bouchées doubles, je vais vraiment travailler pour atteindre ce que je veux. Pour moi, c'est super important, ça rejoint mes valeurs, pouvoir être satisfaite de dire: « J'ai réussi même si c'était plus difficile. »
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Sur un fond rouge, un texte s'affiche en blanc alors que la narratrice prononce les mots: « Découvrez six lauréates qui font preuve d'une volonté hors du commun, chacune à leur manière. »
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Sur un fond blanc, des mots apparaissent en rouge alors que la narratrice les prononce: « Elles avancent sans relâche, elles sont persévérantes. »
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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge puis les mots « Objectif féminin pluriel » s'affichent. Enfin, le sigle de l'ÉTS apparaît en blanc dans un carré rouge et les mots « Accordons le génie au féminin pluriel » s'affichent en rouge. La narratrice dit: « Ensemble, accordons le génie au féminin pluriel. »

Elles sont persévérantes 

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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge. Puis un rectangle violet apparaît en surimpression sur des images du campus et les mots « Elles inspirent leurs pairs » apparaissent en blanc. La narratrice dit: « Elles inspirent leurs pairs. »
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Le rectangle devient rouge et des mots s'affichent en blanc alors que la narratrice les prononce: « Cette catégorie célèbre des femmes dont le parcours rayonne bien au-delà de leurs réalisations. Par leur leadership assumé, leur audace, leur engagement et leur façon d'oser, elles deviennent des repères. Elles guident par leur présence autant que par leurs actions. »
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Les photos de six femmes s'affichent dans l'écran. Puis une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Hana Mohammed Khereba, cheminement universitaire en technologie ». Elle dit: « Moi, j'aime ça être la première qui fait quelque chose. Puis si ça peut inspirer d'autres personnes, ça peut encourager d'autres filles à prendre une démarche qui est similaire à la mienne, alors j'aime ça être cette première personne qui teste les terrains. Puis faut que t'aies confiance au fait que t'as ta place. Parfois, il faut essayer pour apprendre. Il faut tenter, il faut prendre des actions. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Lorine Ponnet, baccalauréat en génie de la construction ». Elle dit: « Je pense que le fait de jamais se reposer sur ses acquis, toujours avoir un nouvel objectif. Quand j'en atteins un, j'en trouve un nouveau qui soit un peu plus élevé. Puis devenir la meilleure version de moi-même. Je cherche toujours comment m'améliorer, comment apprendre des nouvelles choses. Faire des nouvelles activités, découvrir ce que je connais pas. Et je pense que c'est ça la clé, c'est jamais se reposer sur ses acquis. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Iman Anaïs Assameur, baccalauréat en génie logiciel ». Elle dit en anglais avec un sous-titre français: « Fais chaque joue une chose qui te fait peur. » Elle dit en français: « Je suis l'incarnation de ce proverbe. Je trouve qu'à chaque jour, si on entreprend une action qui nous fait peur, qui nous stresse, souvent, ça peut amener à de meilleures choses. Comme prendre un risque, moi, je pense que c'est quelque chose qu'il est important de faire. Parce que souvent, ça veut dire que c'est quelque chose qui vaut vraiment la peine d'être fait. »
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Une femme apparaît à l'extérieur devant une sculpture colorée puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Maëlys Le Mouël, doctorat en génie ». Elle dit: « Il y a comme beaucoup de choses qui me motivent, mais la chose principale, c'est d'avoir des défis, et de me surpasser. Beaucoup de fois dans ma vie je me suis dit: « Je vais pas oser parce que je me sens pas capable, je me sens pas à la hauteur. » Et en fait, bien, tente, et au pire, t'auras pas, c'est pas grave. Mais si tu réussis, en fait, ce sera exceptionnel. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Soazig Rannou, baccalauréat en génie de la construction ». Elle dit: « Mon conseil, ce serait de ne pas hésiter et ne pas penser à ce que les autres peuvent penser et juger de nous. De pas écouter les autres et découvrir de nouveaux domaines qui vont nous permettre de nous surpasser à chaque fois. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Flavie Hurault, maîtrise en génie électrique ». Elle dit: « Qui ne tente rien n'a rien. Quand je veux quelque chose, je vais faire ce qu'il faut pour y parvenir. Et même les choses où je suis pas forcément à l'aise de base, bien, je me dis: « Tente, t'as rien à perdre. Et ça te fera que progresser. Au pire, il se passera rien. »
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Sur un fond rouge, des mots apparaissent en blanc alors que la narratrice les prononce: « Découvrez six lauréates qui montrent que l'inspiration, c'est aussi une manière de faire grandir les autres. »
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Sur un fond blanc, des mots apparaissent en rouge alors que la narratrice les prononce: « Elles sont des modèles vivants, elles inspirent leurs pairs. »
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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge puis les mots « Objectif féminin pluriel » s'affichent. Enfin, le sigle de l'ÉTS apparaît en blanc dans un carré rouge et les mots « Accordons le génie au féminin pluriel » s'affichent en rouge. La narratrice dit: « Ensemble, accordons le génie au féminin pluriel. »

Elles inspirent leurs pairs 

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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge. Puis un rectangle violet apparaît en surimpression sur une image du campus et des mots s'affichent en blanc: « Elles sont engagées ». La narratrice dit: « Elles sont engagées. »
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Le rectangle devient rouge et un texte en blanc défile alors que la narratrice prononce les mots: « Cette catégorie met à l'honneur des femmes qui choisissent de s'impliquer, de rassembler, de faire une différence. Elles prennent des initiatives et mettent en place des actions concrètes au service des autres. Leur engagement transforme leur communauté. »
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Les photos de six femmes apparaissent à l'écran. Puis une femme apparaît à l'extérieur et dans un pavillon. Elle est identifiée: « Hadil Ben Amor, maîtrise en génie logiciel. » Elle parle en anglais avec des sous-titres français. Elle dit: « Nous sommes ici pour avoir un impact dans la communauté, pour vivre, pour relever des défis et pour trouver des solutions. Nous n'avons pas d'autre choix que d'affronter notre vie, de construire une vie meilleure, et de nous prouver à nous-mêmes et de prouver notre existence. »
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Une femme apparaît sur la terrasse d'un pavillon puis à l'intérieur. Elle est identifiée: « Gabrielle Roy, maîtrise en génie des technologies de la santé. » Elle dit: « J'ai tout le temps en fait eu un grand coeur. Voir les gens en difficulté, j'ai toujours envie de les aider, de trouver des solutions. Donc c'est ça qui me motive chaque fois à voir le problème, à voir les besoins et réussir à trouver comment améliorer ça. Je trouve ça super important de voir le sourire d'une personne dans la vie parce que ça peut faire une énorme différence au final. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Audrey Barrier, maîtrise en génie des technologies de l'information ». Elle dit: « Pour moi, c'est important de prendre action face aux défis du quotidien, d'autant plus quand on est une femme. C'est important de continuer chaque jour à respecter les engagements qu'on a pris parce que derrière, il faut impliquer ça au quotidien. Puis si on veut faire valoir notre voix plus tard, bien, il faut déjà donner aujourd'hui. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Susanna Vu, doctorat en génie ». Elle parle en anglais avec des sous-titres français. Elle dit: « Il y a cette idée qui dit: « Si vous ne vous défendez pas vous-mêmes, qui le fera? » Par contre, c'est un pas de plus si vous vous défendez tout en inspirant les autres à faire de même et pour les autres. Alors, soutenez vos pairs et affirmez-vous. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Audrey Gignac, baccalauréat en génie des opérations et de la logistique ». Elle dit: « Pour moi, il est important de prendre action au quotidien parce qu'il y a pas un monde dans les humains. Puis je crois que chaque personne a son rôle à jouer pour faire en sorte que le monde soit plus accueillant pour tout le monde. Puis je trouve qu'autant les femmes que les hommes, faut qu'on mette de l'avant nos forces pour pouvoir rendre le monde un peu meilleur, puis apporter de nouvelles idées pour que le monde continue de s'améliorer. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Djinah Demetrius, baccalauréat en génie logiciel ». Elle dit: « J'ai comme de grands rêves, disons, sociaux. Ce qui me fait beaucoup de peine, des fois, quand je prends le métro, c'est de voir des personnes itinérantes. Puis j'ai envie de créer une oeuvre, en fait, pour donner une deuxième chance aux personnes, les aider à refaire leur vie. C'est quelque chose que j'aimerais beaucoup faire. »
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Sur un fond rouge, des mots s'affichent en blanc alors que la narratrice les prononce: « Rencontrez six lauréates animées par le désir d'agir et de mobiliser autour d'elles. »
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Sur un fond blanc, des mots s'affichent en rouge alors que la narratrice les prononce: « Elles sont des forces vives, elles sont engagées. »
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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge puis les mots « Objectif féminin pluriel » s'affichent. Enfin, le sigle de l'ÉTS apparaît en blanc dans un carré rouge et les mots « Accordons le génie au féminin pluriel » s'affichent en rouge. La narratrice dit: « Ensemble, accordons le génie au féminin pluriel. »

Elles sont engagées 

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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge. Puis un rectangle violet apparaît en surimpression sur le campus avec les mots « Elles sont déterminées. » La narratrice dit: « Elles sont déterminées. »
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Le rectangle devient rouge et des mots s'affichent en blanc alors que la narratrice les prononce: « Cette catégorie honore des femmes qui avancent avec audace, même quand leur parcours se complique. Elles prennent des décisions courageuses, brisent les chaînes, repoussent les limites. Leur ambition est portée par le désir d'inspirer et de faire bouger les choses. »
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Les photos de six femmes apparaissent. Puis une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Mérédith Vachon, cheminement universitaire en technologie ». Elle dit: « Je veux être une leader pour les femmes parce qu'on sait qu'il n'y a pas beaucoup de femmes dans le milieu du génie. Pour moi, c'est important que les femmes puissent s'intégrer et qu'elles prennent leur place. Mon objectif, c'est de devenir ingénieure électrique dans le domaine de l'énergie. J'aimerais participer dans des projets qui ont vraiment un impact sur l'environnement et sur la société. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Djerelle Melissa Nguientchi Fokwe, baccalauréat en génie des technologies de l'information ». Elle dit: « Le plus grand défi auquel j'ai fait face, c'est lorsque j'ai dû quitter ma famille pour venir ici au Canada. J'ai fait face beaucoup à la solitude parce que je ne connaissais personne. Et pour y remédier, je me suis tournée vers la danse, où j'ai pu découvrir de belles personnes et un moyen de m'exprimer. »
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Une femme apparaît dans un pavillon et à l'extérieur. Elle est identifiée: « Emma Alix, maîtrise en génie mécanique ». Elle dit: « J'ai toujours envie de m'impliquer dans ce que je fais à 200 %. Quand j'aime quelque chose, je le fais jusqu'au bout. Ça peut être dans des causes qui me tiennent à coeur, dans des projets qui me tiennent à coeur. Quand ça me plaît, je me donne les moyens de le faire et je trouve que c'est une bonne devise de voir les choses dans ce sens-là. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Anne-Claire Paquin, maîtrise en génie ». Elle dit: « Je veux pas juste rester dans ma zone de confort, je veux en sortir. Puis quand je fais ça, je suis fière de moi, parce que je finis toujours par accomplir ce que je veux. Ça me prouve que oui, je suis capable d'aller plus loin puis de sortir de cette zone-là. Puis ça me rend fière de moi. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Sara-Jeanne Daigle, baccalauréat en génie mécanique. » Elle dit: « J'ai dû me sortir de ma zone de confort pour trouver ma voie justement en génie mécanique. Au cégep, j'étais pas à ma place. J'ai pensé abandonner plusieurs fois. Mais à chaque fois, je suis revenue puis j'ai refait des efforts. Pour moi, c'était important de vraiment pousser pour me rendre à la fin puis voir ce que je peux faire de mon potentiel. »
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Une femme apparaît sur la terrasse d'un pavillon puis à l'intérieur. Elle est identifiée: « Garance de La Brosse, maîtrise en génie des technologies de l'information. » Elle dit: « On peut tous avoir des événements dans notre vie qui vont être plus ou moins négatifs ou positifs, et qui sont pas de notre ressort. Mais on est tous responsables de comment on réagit face à ces événements et de comment on perçoit ce qui nous arrive. Et pour moi, être leader, c'est justement décider de choisir comment percevoir ce qui nous arrive pour en faire quelque chose qui va nous pousser ou nous tirer vers le haut plutôt que nous tirer vers le bas. »
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Sur un fond rouge, des mots s'affichent en blanc alors que la narratrice les prononce: « Explorez les récits puissants de ces six lauréates, où la volonté devient force motrice. »
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Sur un fond blanc, des mots s'affichent en rouge alors que la narratrice les prononce: « Elles sont des modèles, elles sont déterminées. »
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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge puis les mots « Objectif féminin pluriel » s'affichent. Enfin, le sigle de l'ÉTS apparaît en blanc dans un carré rouge et les mots « Accordons le génie au féminin pluriel » s'affichent en rouge. La narratrice dit: « Ensemble, accordons le génie au féminin pluriel. »

Elles sont déterminées 

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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge. Puis un rectangle violet apparaît en surimpression sur des images du campus et des mots s'affichent en plus: « Elles créent un monde plus juste ». La narratrice dit: « Elles créent un monde plus juste. »
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Le rectangle devient rouge et un texte défile en blanc alors que la narratrice prononce les mots: « Cette catégorie rend hommage à des femmes qui mettent leur talent au service de l'équité, de l'inclusion et du bien commun. Leur engagement est concret: elles défendent l'égalité des chances, agissent pour l'accessibilité au savoir et militent pour une représentation plus juste dans tous les milieux. »
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Les photos de six femmes s'affichent. Puis une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Rejeena Radhika Sebastian, doctorat en génie électrique ». Elle parle en anglais avec des sous-titres français. Elle dit: « Étudier la science et la physique nous donne une nouvelle perspective sur la manière dont nous abordons et résolvons un problème. Lorsque nous rencontrons des difficultés, cela nous offre un nouveau point de vue. Cela m'aide à faire preuve d'empathie envers le monde qui m'entoure. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Solenn Quillet-Saulze, maîtrise en génie de la construction ». Elle dit: « Moi, je crois vraiment que justement, si on avait un monde égalitaire, bien, on verrait pas tout ce qu'on n'a pas et on serait plus heureux parce que je pense vraiment pas qu'en possédant plus, on est plus heureux. J'aimerais développer des technologies qui permettent de vivre plus durablement. Solidarité, égalité, on arriverait à avoir beaucoup d'impacts sur l'environnement. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Maryam Montazeri Ghanjaverestan, doctorat en génie de la construction ». Elle parle en anglais avec des sous-titres français. Elle dit: « Je crois sincèrement que les femmes devraient se soutenir et s'encourager mutuellement. À mon avis, les femmes en ingénierie apportent quelque chose d'unique grâce à leur résilience et à leur attention aux détails. »
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Une femme apparaît à l'extérieur puis dans un pavillon. Elle est identifiée: « Alexia Becquet, maîtrise en génie de l'environnement ». Elle dit: « Pour avoir un milieu plus équitable, il faut avoir un milieu plus divers, plus accessible. C'est une lutte de tous les jours de continuer à se poser des questions, de comment on peut faire dans la société civile pour aller chercher la transdisciplinarité. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Zeinab Raissa Diarra, maîtrise en génie de l'environnement ». Elle dit: « Je m'efforce en fait tous les jours de faire preuve de bienveillance, d'écoute active et de collaboration, que ce soit mon milieu professionnel, académique ou communautaire. Donc pour moi, donner à ma communauté, c'est un peu ces gestes-là de bienveillance, d'équité, de reconnaissance, en fait, de chacun, de leurs besoins. »
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Une femme apparaît dans un pavillon. Elle est identifiée: « Inès Adrion, maîtrise en génie de l'environnement ». Elle dit: « Ce que je fais au quotidien, c'est simplement de propulser les projets qui eux vont répondre à des enjeux de société. La biodiversité, les changements climatiques, la préoccupation sur les frontières planétaires, la plupart environnementaux et sociaux qui vont aider à la communauté. »
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Sur un fond rouge, un texte s'affiche en blanc lorsque la narratrice le prononce: « Voici six lauréates qui rêvent d'un monde plus équitable, et qui agissent pour le bâtir. »
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Sur un fond blanc, des mots s'affichent en rouge alors que la narratrice les prononce: « Elles bousculent les normes, elles créent un monde plus juste. »
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Sur un fond blanc, les mots « Palmarès Féminin pluriel 2024-2025 » apparaissent en rouge puis les mots « Objectif féminin pluriel » s'affichent. Enfin, le sigle de l'ÉTS apparaît en blanc dans un carré rouge et les mots « Accordons le génie au féminin pluriel » s'affichent en rouge. La narratrice dit: « Ensemble, accordons le génie au féminin pluriel. »

Elles créent un monde plus juste 

L’ÉTS est fière d’accorder le génie au féminin pluriel.