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L'ÉTS vous donne rendez-vous à sa journée portes ouvertes qui aura lieu sur son campus à l'automne et à l'hiver : Samedi 18 novembre 2023 Samedi 17 février 2024 Le dépôt de votre demande d'admission à un programme de baccalauréat ou au cheminement universitaire en technologie sera gratuit si vous étudiez ou détenez un diplôme collégial d'un établissement québécois.

Événements à venir
Du 15 sept. 2025 à 09:30 au 16 sept. 2025 à 16:30
Institutionnel Art et culture Recherche et innovation

L’ÉTS lance la deuxième édition de son Programme de résidence artistique

L’École de technologie supérieure (ÉTS) invite les artistes de tous domaines à soumettre un projet dans le cadre de la deuxième édition de son Programme de résidence artistique qui se déroulera dans ses locaux d’avril à décembre 2026.

La date limite d’application est le 9 octobre 2025. Ce Programme vise à favoriser les maillages et les collaborations entre la communauté artistique et la communauté de recherche de l’ÉTS. Il s’inscrit dans le cadre du Programme d’intégration des arts et de la culture de l’ÉTS (PIAC) et est piloté par le Bureau du développement durable.

L’ÉTS offrira deux résidences artistiques. Chaque lauréat(e), qu’il s’agisse d’un(e) artiste individuel(le) ou d’un collectif d’artistes, bénéficiera d’un cachet de résidence de 15 000 $, de fonds pouvant aller jusqu’à 10 000$ pour rémunérer des étudiant(e)s de l’ÉTS, ainsi que d’un budget de production pouvant atteindre 5 000$. Il ou elle profitera également de l’accompagnement technique, logistique et scientifique nécessaire pour mener à bien son projet.

Deux personnes travaillent sur des projets de modélisation 3D, avec des écrans affichant des figures humanoïdes et des lignes de code.

Une séance d’information et de maillage, visant à favoriser les rencontres entre les artistes et les chercheuses et chercheurs de l’ÉTS, aura lieu le 10 septembre 2025, de 17 h à 19 h, à l’ÉTS. Il est fortement recommandé d’y assister.

Trois personnes échangent des idées dans un laboratoire, entourées d'équipements technologiques et de matériel de recherche.
Sur un fond flouté et foncé, un texte s'affiche en blanc au-dessus du logo circulaire du PIAC, arts et culture: « En novembre 2023, l'École de technologie supérieure lançait officiellement la première édition de son programme de résidence artistique alliant technologie, science et arts. »
Le texte disparaît et un autre s'affiche: « Cette initiative d'intégration des arts et de la culture portée par le Bureau du développement durable a comme objectif de favoriser les maillages et de susciter des collaborations inédites entre la communauté artistique et la communauté de recherche. »
Quelques couleurs scintillent sur le fond flouté. Un homme hors champ dit: « C'est bon. » Une femme demande: « C'est bon? » et l'homme répond: « Ouais. »
Le fond devient noir puis l'image d'un avatar humain sur un écran d'ordinateur apparaît. Des images de personnes travaillant dans un laboratoire équipé de caméras défilent. Une femme et un homme placent des capteurs de mouvement sur le corps d'une femme qui recréent ensuite les mouvements de la femme sur un écran. Un texte s'affiche en bas: « Début des expérimentations, 14 juin 2024. »
Des images du travail dans le laboratoire et d'un homme identifié « Simon Laroche, artiste multidisciplinaire » se succèdent. Il dit: « Dans le cadre de cette résidence-là, je vais développer une pièce chorégraphique en compagnie de Liliane Moussa. C'est un projet qu'on avait déjà élaboré juste au niveau conceptuel, préalablement à la résidence, mais là, on veut se donner les moyens d'explorer vraiment à fond le mouvement puis l'idée d'un mouvement qui peut être transposé d'un corps à l'autre. Puis quand je dis d'un corps à l'autre, ça peut être d'un corps physique, d'un corps humain, mais ça peut être un corps virtuel, puis ça peut être un corps aussi machinique. »
Des images du travail dans le laboratoire et d'un homme identifié « David Labbé, professeur département de génie logiciel et TI » se succèdent. Il dit: « Pour nous, le principal intérêt de recevoir un artiste dans le laboratoire, c'est d'amener un regard qui est complètement différent sur la recherche qu'on fait, sur les outils qu'on développe. Fait que je pense qu'à travers le regard de quelqu'un comme Simon, on va arriver à utiliser nous aussi nos outils de façon différente puis à penser à des nouvelles façons de l'appliquer dans nos domaines de recherche. »
Une femme apparaît, debout dans un corridor adjacent au laboratoire. Elle est identifiée: « Marie-Ève Bilodeau, chargée de projet ». Elle dit: « On veut qu'il y ait vraiment une conversation continue entre les artistes et puis notre communauté étudiante, notre population générale de l'école. Le secteur des industries créatives au Québec, à Montréal, est très, très foisonnant. Et puis à l'ÉTS, on pense qu'on peut y apporter notre touche particulière. L'ÉTS, c'est le génie pour l'industrie. Et puis c'est vraiment une des industries les plus foisonnantes au Québec, l'industrie créative et puis la communauté artistique de façon générale. »
Dans le laboratoire, Simon et Liliane font rouler des balles sur le sol que la femme avec les capteurs tente d'éviter.
Simon revient à l'écran. Il dit: « Bien, cette résidence-là a comme particularité de faire en sorte que je suis intégré dans un environnement qui est très vaste, on parle de l'ÉTS en entier, donc j'ai accès un peu à toutes les ressources, les clubs étudiants, différents éléments de fabrication, de la machinerie, des choses comme ça. Donc c'est comme un immense terrain de jeu. »
David revient à l'écran. Puis des images du laboratoire défilent. Il dit: « Aujourd'hui, Simon travaille avec un système de capture de mouvement, en fait deux systèmes différents qu'on synchronise ensemble. On a un système où est-ce qu'on place des marqueurs sur le corps puis on a 24 caméras tout le tour de la salle qui captent la position de ces marqueurs-là. Puis en parallèle, il enregistre aussi les mouvements avec plusieurs caméras haute résolution. Fait qu'à partir de ces caméras vidéo-là aussi on est capable d'aller chercher le mouvement, mais à ce moment-là, avec moins de précision. Fait qu'il va combiner un petit peu les deux, puis selon les contextes, bien, des fois, on a besoin de plus de précision, des fois on a besoin de la flexibilité, par exemple avec les artistes, de juste filmer avec des caméras vidéo standards. »
Marie-Ève apparaît de nouveau. Elle dit: « L'idée du projet, c'est vraiment de favoriser les maillages entre la communauté artistique et la communauté scientifique. Donc permettre aux chercheurs de sortir de leur zone de confort, du cadre de leurs recherches, et puis permettre aux artistes cet accès-là aux technologies qu'ils auraient pas accès autrement. »
Dans le laboratoire, Simon et Liliane observent les différents mouvements de l'avatar sur un écran.
David apparaît de nouveau. Il dit: « Dans nos projets de recherche, on est vraiment dans le quantitatif. On est dans la précision, on cherche souvent à aller voir comme le degré de différence dans un axe de rotation d'une articulation précise. Simon va regarder beaucoup plus le mouvement dans son ensemble, donc tout le corps en mouvement, la qualité de mouvement, la beauté, à la limite, du mouvement. »
Des images du laboratoire où la femme effectue divers mouvements défilent. Simon apparaît de nouveau. Il dit: « Pour moi, c'est nouveau de travailler avec ce type de technologie-là spécifique. C'est pas quelque chose avec lequel on a souvent l'occasion de travailler parce que c'est des équipements de grande qualité, mais là, c'est comme si on est dans un univers un petit peu plus spécialisé, qui nous donne plus de possibilités, mais aussi beaucoup plus de courbes d'apprentissage. Donc c'est aussi pour nous l'occasion d'explorer ces éléments-là puis de voir les limites des systèmes technologiques qui sont à notre disposition. »
Dans le laboratoire, Liliane exécute un mouvement au sol devant la femme et Simon, puis l'écran devient noir.
L'écran s'éclaircit. Dans un pavillon, plusieurs personnes sont assises sur des chaises face à une petite scène. Un texte s'affiche en bas à gauche: « Événement de mi-résidence, 26 septembre 2024 ». Une grande affiche avec le logo du PIAC apparaît.
Sur la scène, un homme se tient debout face au public. Il est identifié: « Cédrick Pautel, secrétaire général et directeur exécutif de l'engagement organisationnel ». Il dit: « Bonsoir tout le monde. Bienvenue et merci d'être présents en si grand nombre pour notre événement de mi-résidence. Alors c'est un événement qui est vraiment très important parce que c'est la première fois qu'on fait des résidences artistiques ici à l'ÉTS. J'inviterais tout de suite David Labbé, Simon Laroche et Liliane Moussa à me rejoindre à l'avant. »
Sous les applaudissements du public, David, Simon et Liliane rejoignent Cédrick sur la scène et ils s'assoient tous dans des fauteuils. Cédrick dit: « Alors, bien écoutez, merci d'être là. On est très content de pouvoir jaser avec vous à cette étape-ci de la résidence. Quand vous avez vu l'opportunité de faire une proposition pour cette résidence artistique, qu'est-ce qui vous a amenés à dire: « Moi, j'embarque là-dedans, on va s'essayer »?
Tenant un micro, Simon dit: « Moi, je cherchais à rencontrer de nouvelles personnes pour pouvoir travailler. Dans ma pratique, il y a beaucoup d'éléments techniques, technologiques. Dans ce processus de rencontre de différents chercheurs, j'ai croisé David, il m'a parlé de sa pratique, bien, de sa recherche, de ses champs de recherche, puis je trouvais que ça résonnait beaucoup avec un projet que Liliane et moi, on avait en tête. »
Tenant un micro, Liliane dit: « Là, on est engagés dans un processus de création d'une oeuvre performative pour deux performeurs. Ça, c'est comme un petit peu notre objectif ultime. »
Un bandeau apparaît: « Liliane Moussa, chorégraphe ». Elle continue: « On explore surtout l'effet de présence, fait que comment on habite l'espace, comment on interagit avec l'autre, nos capacités, nos possibilités d'interagir avec l'autre. Puis là, on fait la capture de ce mouvement-là, puis ce mouvement-là va être mis dans les casques pour interagir avec le mouvement qui se produit dans l'avatar pour qu'est-ce qui pourrait émaner comme symbolique dans le mouvement, comment le mouvement peut se transformer. »
Debout face au public, Cédrick dit: « Bien, merci. Il y a des tables de démonstration, les artistes vont être là avec nous, les professeurs aussi, donc vous allez pouvoir leur poser des questions puis je vous remercie d'avoir été présents. »
Le public applaudit. Puis les gens discutent autour des tables de démonstration avec les chercheurs. Certains essaient les casques virtuels. David, Simon et Liliane donnent des explications à des personnes. Puis l'écran devient lentement noir.
L'écran s'éclaircit, révélant le pavillon D sous la neige. Un texte s'affiche en bas à gauche: « Sortie de résidence artistique, 29 janvier 2025 ». À l'intérieur, Simon et Liliane font une présentation sur une scène avec un écran géant, devant un public.
Simon et Liliane apparaissent côte à côte sur un palier du pavillon. Simon dit: « Je pense qu'on est satisfait des avancées techniques qu'on a faites dans notre résidence. On a eu accès de manière étendue à des équipements puis un laboratoire qui nous ont permis d'aller vraiment pousser à fond nos explorations dans le projet qu'on voulait faire. D'être introduits dans un autre univers qui est pas situé dans une discipline artistique, mais dans une discipline scientifique, ça vient nous exposer à des choses qu'on connaîtrait peut-être pas nécessairement et qui est une source d'inspiration. »
Des images de la présentation, du public et de David et Liliane se succèdent. Liliane dit: « C'est sûr que tout ce travail-là de recherche nous sert vraiment comme de matériel. C'est comme notre banque de données pour la création d'un spectacle, d'une proposition chorégraphique future. »
Dans une aire ouverte avec des petites tables rondes, des gens discutent. Sur des écrans, le travail en laboratoire est projeté avec des explications. Une femme essaie un casque virtuel.
Sur un palier, David se tient devant d'un escalier. Il dit: « Le projet a amené quand même pas mal de visibilité à travers les publications sur les réseaux sociaux, on a fait une entrevue radio avec les artistes. Et puis notamment, suite à ces publications-là, on a des groupes de chercheurs qui travaillent dans des domaines un peu connexes de l'utilisation de la réalité virtuelle en réadaptation, qui nous ont contactés pour explorer des collaborations. Donc c'est déjà là une très belle retombée si ça se concrétise. »
Dans l'aire ouverte, des gens discutent. Près d'une table de démonstration, Liliane parle à des personnes. Sur des écrans, le travail en laboratoire est projeté. Un casque virtuel apparaît en gros plan. Puis l'écran devient progressivement noir.
Sur un fond flouté et foncé, un texte s'affiche en blanc au-dessus du logo circulaire du PIAC: « La collaboration entre David Labbé, Simon Laroche et Liliane Moussa se poursuit maintenant au-delà de la résidence. L'oeuvre chorégraphique Aliens, initiée dans ce contexte, bénéficie désormais du soutien du Conseil des arts de Montréal, de Montréal Danse et de Projet EVA. »
Le texte disparaît et un autre s'affiche: « Actuellement en phase de production, les artistes continuent d'utiliser les équipements du Lab MULTIMÉDIA de l'ÉTS. La pièce sera complétée à la fin de l'année 2025. » Puis l'écran devient noir.
Sur un fond banc, le sigle de l'ÉTS apparaît dans un carré rouge avec les mots « Le génie pour l'industrie ». À droite s'affiche en noir: « École de technologie supérieure, Université du Québec ».
Sur un fond flouté et foncé, un texte s'affiche en blanc au-dessus du logo circulaire du PIAC, arts et culture: « En novembre 2023, l'École de technologie supérieure lançait officiellement la première édition de son programme de résidence artistique alliant technologie, science et arts. »
Le texte disparaît et un autre s'affiche: « Cette initiative d'intégration des arts et de la culture portée par le Bureau du développement durable a comme objectif de favoriser les maillages et de susciter des collaborations inédites entre la communauté artistique et la communauté de recherche. »
Un homme hors champ dit: « Et voilà. »
L'écran devient noir puis différents tubes lumineux manipulés par des personnes dans un laboratoire apparaissent. Une femme travaille sur un ordinateur portable. Un texte s'affiche en bas à gauche: « Début des expérimentations, 18 juillet 2024 ».
Dans le laboratoire, un homme consulte un ordinateur et manipule des tubes lumineux. Puis, il apparaît debout dans le laboratoire, identifié: « Ghislain Brodeur, artiste visuel ». Il dit: « En fait, ce qu'on a envie d'explorer et tester, Élisabeth et moi, on va entre autres utiliser la fibre optique, on va utiliser la fibre optique en verre, on va continuer aussi notre exploration et l'utilisation des diodes lasers, chose que je n'avais jamais utilisée auparavant. »
Des images du laboratoire défilent. Puis une femme apparaît debout dans le laboratoire. Elle est identifiée « Élisabeth Picard, artiste visuelle ». Elle dit: « Bien, le fait de pouvoir travailler avec Bora Ung, ça va vraiment nous aider à avancer notre recherche avec la fibre optique. On avait seulement effleuré un peu qu'est-ce qu'on pouvait faire avec ça. On travaillait aussi avec juste des lumières LED plus ordinaires, et là, on se fait ouvrir tout un univers ici. On voit que les chercheurs travaillent avec des lasers, ils travaillent avec des guides d'ondes. Pour nous, c'est des choses qu'on ne connaissait pas, alors là, on est en train d'utiliser un peu les mêmes techniques, mais en le faisant sur mesure pour nous. »
Des images des trois chercheurs travaillant dans le laboratoire défilent. Puis un homme apparaît, debout dans une classe. Il est identifié: « Bora Ung, professeur, département de génie électrique ». Il dit: « Les équipements particuliers au laboratoire consistent en tout ce qui a trait au design, la fabrication et la caractérisation de fibres optiques et de guides d'ondes. Donc dans les deux cas, c'est pour transmettre la lumière. Typiquement, dans notre labo, c'est pour des applications en télécommunications et pour faire des capteurs. »
Des images de différents tubes, de fibres lumineuses et de travail dans le laboratoire défilent. Puis, Élisabeth apparaît à nouveau. Elle dit: « Ce dont on se rend compte, c'est qu'ici, beaucoup de l'équipement utilisé est déjà industriellement fabriqué. Nous, c'est vraiment dans le spectre visuel, alors il faut qu'on s'adapte. Même qu'on est obligés de prendre des lasers qui existent, de les démonter pour les mettre sur les lasers qu'on veut parce que sinon, on n'a pas de lentilles, puis ça donne pas les effets qu'on veut. »
Ghislain revient à l'écran. Il dit: « On a étudié certaines options à savoir comment je peux m'y prendre pour non seulement allumer les lasers pour les utiliser à 100 % de leurs capacités et ne pas les brûler. Ensuite de ça, moi, je dois être en mesure de pouvoir les contrôler en intensité. »
Bora apparaît, debout dans la classe. Il dit: « Dans nos recherches, on essaie le plus possible de maximiser la quantité de lumière qu'on injecte dans nos guides d'ondes et dans nos fibres optiques. Et on essaie de minimiser les pertes optiques durant la transmission. Dans ce qu'on explore avec Ghislain et Élisabeth, c'est l'importance du rendu visuel. Donc les pertes optiques, c'est pas vraiment important. Et en fait, on s'est aperçus qu'on peut même les utiliser à bon escient ces pertes-là pour justement améliorer l'aspect visuel de leurs guides d'ondes. »
Des images de travail dans le laboratoire défilent. Puis, Ghislain apparaît de nouveau. Il dit: « On travaille avec des ingénieurs, des chercheurs au niveau universitaire. Ça nous permet de sortir de notre zone de confort et d'apprendre à travailler avec des instruments, des matériaux qui ne sont pas nécessairement accessibles ailleurs. »
Des images des trois chercheurs travaillant dans le laboratoire défilent alors qu'Élisabeth parle. Elle dit: « Au fur et à mesure qu'on est venus ici puis qu'on a des discussions, on a tout le temps des nouvelles pistes qu'on a envie d'essayer fait qu'on est encore beaucoup dans l'exploration en ce moment. J'apprends beaucoup de choses... sur les phénomènes optiques. Moi, je suis une sculpteure, je vis vraiment dans ce qui est tangible. Et quand je comprends pas ce qui se passe, bien, c'est vraiment apprécié d'avoir tout l'aspect scientifique apporté par Bora. »
Élisabeth manipule des fibres lumineuses. Puis, l'écran devient lentement noir.
L'écran s'éclaircit, révélant une grande affiche du PIAC. Dans un pavillon, plusieurs personnes sont assises sur des chaises face à une petite scène. Un texte s'affiche en bas à gauche: « Événement de mi-résidence, 26 septembre 2024 ».
Un homme se tient debout sur la scène. Il dit: « Bonsoir tout le monde. Bienvenue et merci d'être présents en si grand nombre. J'inviterais Bora Ung, Élisabeth Picard et Ghislain Brodeur à nous rejoindre. »
Sous les applaudissements du public, Bora, Élisabeth et Ghislain rejoignent l'homme sur scène et s'assoient tous dans des fauteuils. L'homme est identifié « Cédrick Pautel, secrétaire général et directeur exécutif de l'engagement organisationnel ». Il dit: « Alors, bien, écoutez, merci d'être là. Élisabeth et Ghislain, ça fait longtemps que vous travaillez ensemble. Comment ça a commencé tout ça, entre vous, votre pratique artistique? »
Tenant un micro, Élisabeth dit: « Bien, en fait, on s'est rencontrés à la foire de Saint-Lambert en 2013. Puis, on a commencé à se côtoyer amicalement. Puis finalement, on s'est mis à travailler sur des projets pour moi. »
Cédrick demande: « Puis ici, si on parle un petit peu du projet sur lequel vous travaillez avec Bora, ça ressemble à quoi si vous aviez à nous le décrire? »
Tenant un micro, Élisabeth dit: « Il me passe le micro en riant parce qu'on a trop de projets. Mais notre projet initial, celui avec lequel j'ai appliqué en fait, c'est qu'on a commencé à toucher à la fibre optique un peu grâce à la bourse, et j'ai découvert que je pouvais teindre la fibre optique de plastique et j'avais envie de créer une espèce d'effet de figure de Lichtenberg, tu sais, un peu les éclairs, les ramifications que ça fait quand il y a un coup d'éclair qui frappe un objet. C'est super prometteur, mais en même temps, c'est quand même très complexe à réaliser. »
Tenant un micro, Ghislain dit: « J'ai eu une idée, en fait. J'ai coulé une pièce en béton dans laquelle j'ai intégré 140 bouts de guides d'ondes. Où est-ce que je m'en vais avec ça exactement, j'en ai aucune idée. Afficher des messages, des dates impossibles, les images... Je sais pas encore. »
Cédrick se tient seul debout sur la scène, face au public. Il dit: « Bien, merci. Il y a des tables de démonstration, les artistes vont être là avec nous, les professeurs aussi, donc vous allez pouvoir leur poser des questions. Je vous remercie d'avoir été présents. »
Le public applaudit. Puis les gens discutent autour des tables de démonstration et de petites tables rondes. Les chercheurs donnent des explications à des personnes. Puis, l'écran devient progressivement noir.
L'écran s'éclaircit, révélant le pavillon D sous la neige. Un texte apparaît en bas à gauche: « Sortie de résidence artistique, 29 janvier 2025 ».
Dans le pavillon, Cédrick se tient sur un palier, devant un escalier. Il dit: « Je pense qu'on aurait pas pu espérer mieux comme projet pilote, parce que c'était ça au départ; on essayait quelque chose de nouveau. Alors je suis emballé par les perspectives que ça ouvre, tant de collaborations entre les professeurs et les artistes, qui vont se poursuivre, j'en suis persuadé, au-delà de la résidence. »
Sur une scène, Élisabeth, Ghislain et Bora font une présentation devant un écran géant. Des images de la présentation et de Cédrick se succèdent. Il dit: « Puis je suis emballé aussi par l'expérience que les étudiants ont pu aller chercher à travers ça. C'est comme un bonus dans leur parcours académique. Puis je suis emballé pour l'ÉTS de voir le niveau de maturité qu'on a atteint comme organisation dans nos relations avec la communauté dans un domaine en particulier qui est celui des arts. »
Quelqu'un insère un carton dans un appareil et le mot « PAIN » apparaît en petits points lumineux. Puis Bora se tient sur un palier. Il dit: « La résidence m'a apporté quand même beaucoup de visibilité sur l'expertise qu'on a au laboratoire, autant au niveau du Québec que national. »
Des images de divers faisceaux lumineux et de Bora se succèdent. Il dit: « Pour mes étudiants, pour leurs travaux aussi, de voir l'impact de leurs recherches, ça peut prendre plusieurs années. Et là, avec ce type de projet, ils pouvaient voir pratiquement immédiatement le concret. Et ils sont très heureux, d'après les commentaires que j'ai, de voir un peu les résultats aujourd'hui à la fin de la résidence. »
Un homme se tient sur un palier, devant un escalier. Il est identifié: « Ghyslain Gagnon, doyen de la recherche ». Il dit: « On a l'expertise, on a les infrastructures, puis même si tous nos professeurs, nos chercheurs, nos équipements sont très utilisés, il reste toujours de la place, il reste toujours de la disponibilité pour faire autre chose. Puis on veut former des ingénieurs, des chercheurs, mais on veut aussi former des citoyens, des gens qui ont une vision un petit peu plus large du monde que leur sujet de recherche. »
Dans une aire ouverte, des gens discutent autour de tables de démonstration avec diverses installations lumineuses et en petits groupes. Puis l'écran devient progressivement noir.
Sur un fond foncé et flouté, un texte apparaît en blanc au-dessus du logo circulaire du PIAC: « Au terme de la résidence, Élisabeth Picard et Ghislain Brodeur ont présenté trois oeuvres sculpturales et plusieurs expérimentations issues de leur collaboration avec Bora Ung et son équipe. »
Le texte disparaît et un autre s'affiche: « Les artistes estiment que les expérimentations menées pendant cette période ont un impact durable sur leur pratique, et que les résultats de leurs recherches se manifesteront progressivement dans leurs futurs projets artistiques. » Puis, l'écran devient noir.
Sur un fond blanc, le sigle de l'ÉTS apparaît dans un carré rouge avec les mots « Le génie pour l'industrie ». À droite s'affiche en noir: « École de technologie supérieure, Université du Québec ».
Logo vibrant représentant la diversité et l'innovation en technologie, symbolisant l'engagement académique de l'institution.

 

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