
L'Antarctique comporte plusieurs stations de recherche qui doivent être alimentées en énergie. Dans ce climat particulièrement inhospitalier, où le soleil est absent six mois par année et où les vents peuvent souffler au-delà de 200 km/h, comment s'assurer d'un approvisionnement énergétique fiable et continu?
Notre professeur-chercheur Philippe Terrier, qui a séjourné l'équivalent de deux ans lors de trois différents voyages en Antarctique, répond à la question. Il explique que, malgré quelques tentatives d'énergies renouvelables, les génératrices au diesel restent le meilleur choix.