Palmarès Féminin pluriel
À l’ÉTS, nous croyons fermement que les modèles qui inspirent et qui méritent d’être mis en lumière sont très diversifiés, et nous voulons les célébrer! C’est pourquoi nous avons créé le Palmarès Féminin pluriel, issu de la campagne Objectif Féminin pluriel. Il s'agit d'un programme de reconnaissance annuel qui rend hommage à 30 étudiantes de l'ÉTS.
Découvrez celles qui font la différence à leur façon!
Léa Marcil
« Ancienne athlète et artiste de cirque, je me suis réorientée vers les sciences, ma deuxième passion. En arrivant à l’ÉTS, je me suis impliquée dans l’association étudiante en créant la première infolettre pour mieux diffuser l’information et souder la communauté étudiante. Je souhaite évoluer dans un campus plus inclusif qui n’accorde pas d’importance à notre genre, notre culture, notre couleur de peau ou notre orientation sexuelle. Au contraire, cette variété de profils est une richesse et un terreau fertile pour les nouvelles idées ! »
Léa Marcil
Baccalauréat en génie électrique
Behnoosh Meskoob
« J’ai surmonté plusieurs défis pour arriver là où je suis aujourd’hui. Je suis originaire d’Iran, mais les études doctorales, les conférences et le travail m’ont amenée à voyager dans plus de 24 pays. Toute ma vie, j’ai dû travailler deux fois plus fort pour être vue, acceptée et reconnue pour mes capacités. Je m’implique dans plusieurs organisations qui militent pour l’équité, la diversité et l’inclusion afin de favoriser l’accessibilité des filles aux sciences et leur donner espoir. J’espère sincèrement changer le monde positivement. »
Behnoosh Meskoob
Doctorat en génie électrique et génie des systèmes
Katerine Lalonde
« Passionnée par le cerveau humain, j’ai étudié en neurosciences et j’ai œuvré dans un laboratoire de recherche au CHU Sainte-Justine. Cependant, c’est mon emploi à temps partiel en horlogerie qui a éveillé mon intérêt pour le génie. Je combine maintenant mes expertises en santé du cerveau humain et en électricité afin d’améliorer la qualité de vie des patients. Comme l’ingénierie est un secteur majoritairement masculin, je m’implique socialement pour mettre en place des activités destinées à la communauté LGBTQ+, afin que tout le monde ait sa place dans l’École. »
Katerine Lalonde
Baccalauréat en génie électrique
Corinne Pulgar
« Après avoir fait des études en théâtre, j’ai suivi ma passion pour les ordinateurs et le génie. Par le biais du tutorat, j’ai initié des femmes de tous les âges au code et à la programmation, mais j’ai vite réalisé que je les conduisais vers la première étape d’une longue bataille souvent provoquée par le simple fait d’être une femme dans un domaine typiquement masculin. Ayant moi-même été discriminée par mon genre, je m’implique pour encourager les femmes à œuvrer dans les STIM, parce que le monde a besoin de plus d’ingénieures ! »
Corinne Pulgar
Maîtrise en génie logiciel
Ana Catarina Castro da Silva
« Dès mon arrivée à l’ÉTS, j’ai remarqué que les étudiantes étaient minoritaires. J’ai donc décidé de m’impliquer dans le regroupement Les ingénieuses pour favoriser l’intégration des femmes et intéresser les jeunes filles aux sciences et aux technologies. Je suis également capitaine du club de soccer de robotique autonome Naova et j’espère agir comme modèle pour mes pairs en propageant ma passion pour la robotique. Si vous êtes passionnées, foncez et faites votre place, peu importe votre profil, votre origine ou votre genre ! »
Ana Catarina Castro da Silva
Baccalauréat en génie logiciel
Aglaé Laberge
« Dans mon éducation, on m’a appris qu’il n’y a aucune limite à ce qu’une femme peut accomplir. Depuis l’école primaire, je m’implique dans mon milieu scolaire et j’ai toujours adoré les STIM. Je fais maintenant partie du faible pourcentage de femmes qui étudient en génie mécanique à l’ÉTS. Parallèlement, je milite pour améliorer l’inclusion et l’intégration de la communauté LGBTQ+ sur le campus. La diversité dans le monde du génie est essentielle pour stimuler l’innovation et éliminer les biais inconscients, alors je fais ma place. »
Aglaé Laberge
Baccalauréat en génie mécanique
Sarah Vaflard-Dziekan
« Dans mon parcours, j’ai souvent été confrontée à des remarques sexistes, car les domaines qui m’intéressaient étaient dits « masculins ». J’ai commencé par fabriquer des parachutes pour mes poupées, puis j’ai rêvé de devenir astronaute jusqu’au jour où je suis devenue pilote de planeur et que je me suis enfin sentie légitime de devenir ingénieure aérospatiale. Maintenant, je suis fière d’être capitaine du club étudiant AÉROÉTS. J’espère être un modèle positif pour toutes les filles qui n’osent pas encore se lancer, mais qui oseront peut-être demain. »
Sarah Vaflard-Dziekan
Maîtrise en génie aérospatial
Salomé Grosselin
« Au fil de mon cheminement scolaire, j’ai toujours remarqué qu’il y avait peu de femmes dans mon domaine, et je comprends pourquoi : le simple fait d’être une femme nous oblige à prouver notre valeur et nos compétences. Nous devons également développer notre force et notre courage pour ignorer les préjugés et les sous-entendus. Aucune porte ne devrait se fermer en raison du genre d’un individu. Travaillons ensemble à ouvrir les portes qui mènent au succès et faisons rayonner la contribution des ingénieures. »
Salomé Grosselin
Maîtrise en génie aérospatial
Kim Lefèbvre
« J’ai un parcours atypique, parsemé de défis personnels. Mes études en kinésiologie ont attisé ma passion pour la biomécanique et le corps humain, mais ce sont mes études en génie mécanique et en technologies de la santé qui me permettent de réaliser exactement mon rêve : avoir un impact significatif sur la mobilité des gens et leur bien-être. En tant qu’étudiante et ambassadrice de l’ÉTS, je tiens à démontrer aux jeunes femmes que tous les métiers sont accessibles, peu importe les embûches, et qu’il existe autant de variétés de parcours que d’individus. »
Kim Lefèbvre
Maîtrise en technologies de la santé
Natacha Désilets
« Ayant occupé le poste de vice-présidente du club étudiant GI-ÉTS et, maintenant, le poste de directrice du club Metria, je me fais un devoir de partager mon intérêt pour le génie. Les projets de mon équipe ont un succès international, mais ce dont je suis le plus fière, c’est le fait d’être une femme accomplie et respectée dans le domaine du génie-conseil, en plus de faire partie d’un club dont la réussite repose entièrement sur des membres féminins. J’ai eu la chance d’avoir un modèle féminin pour m’inspirer, alors j’espère à mon tour en être un pour les autres, pour leur ouvrir des champs de possibilités ! »
Natacha Désilets
Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique
Déborah Kabagema
« Toute jeune, j’ai été convaincue que la technologie avait le pouvoir d’améliorer le quotidien des humains. En choisissant de suivre ma passion et d’étudier à l’ÉTS en production automatisée, j’ai dû surmonter la barrière de la langue et apprendre le français, alors que je venais d’un milieu anglophone. Je me sens très fière d’avoir relevé ce défi , en plus d’être la première femme de ma famille à poursuivre des études en ingénierie. Je souhaite donner l’exemple, la confiance et l’espoir aux jeunes filles pour qu’elles transforment les défis en opportunités. »
Déborah Kabagema
Baccalauréat en génie de la production automatisée
Léa Bruneau
« Depuis trois ans, je concrétise ma passion pour les voitures de performance au sein du club étudiant Formule ÉTS, où j’occupe le rôle de cheffe dynamique. J’ai conçu un nouveau système de suspension optimisé pour améliorer les prouesses de notre voiture électrique qui compétitionne mondialement. Je me fais un devoir de créer une ambiance de camaraderie féminine afin d’encourager d’autres femmes à entrer dans cette aventure avec moi, pour leur permettre d’exploiter leur plein potentiel, autant d’un point de vue personnel que scientifique. »
Léa Bruneau
Baccalauréat en génie mécanique
Raimoemoea Boyer
« Je suis fière de vivre pleinement mes deux passions : la danse tahitienne et le génie ! En arrivant au Québec, je me suis rapidement impliquée auprès d’organisations culturelles et sociales pour conserver mes racines de l’île de Tahiti. Ma vie sociale me procure un équilibre qui m’aide à plonger dans mes intérêts pour le génie électrique, mécanique et logiciel. J’espère inspirer d’autres femmes à s’épanouir librement dans les domaines de leur choix, sans se soucier des stéréotypes. Le monde a besoin de plus d’ingénieures ! »
Raimoemoea Boyer
Baccalauréat en génie logiciel
Jessica Harrisson
« En tant qu’athlète élite de judo et future entraîneuse, j’adore transmettre mes connaissances et encourager les jeunes filles à développer leur plein potentiel et à croire en elles. J’ai moi-même côtoyé des consœurs impressionnantes qui m’ont motivée à me surpasser et à me démarquer à l’école et au travail. Je suis convaincue que les femmes seront amenées à jouer un rôle plus important dans l’industrie dans les prochaines années en proposant de nouvelles façons de faire. »
Jessica Harrisson
Baccalauréat en génie de la construction
Ania Saadi
« En Algérie, je me suis beaucoup impliquée pour favoriser l’inclusion des femmes dans les STIM et j’ai aussi lancé une entreprise visant à commercialiser les œuvres d’artistes et artisan(e)s d’Afrique. Dans mon parcours diversifié, j’ai appris à me faire confiance et à tirer profit de mes échecs, car je sais qu’ils me mèneront au succès. Je poursuis le développement de mes compétences en innovation, en informatique, en intelligence artificielle et en réalité virtuelle, toujours dans le but de créer de la valeur pour la communauté. »
Ania Saadi
Maîtrise en gestion de l'innovation
Amilya Di lorio - Decker
« La place des femmes dans les STIM me tient à cœur depuis le jour où j’ai participé à l’Expo-sciences de mon école secondaire. Ma passion pour l’électronique et la santé m’a conduite à développer des appareils médicaux qui aideront à sauver des vies, comme c’est le cas du prototype de taraud chirurgical que je viens de compléter comme projet scolaire. Je n’aurais jamais imaginé accomplir tout cela ! Mon parcours est la preuve que nous devons éveiller les jeunes aux sciences et encourager la relève féminine. »
Amilya Di lorio - Decker
Baccalauréat en génie éléctrique
Fatemeh Hosseini
« J’adore apprendre ! Je suis diplômée d’un baccalauréat et d’une maîtrise en génie mécanique de la meilleure université industrielle d’Iran. Dans mon pays, j’ai toujours redonné à ma communauté en enseignant bénévolement aux enfants des milieux défavorisés. Malgré plusieurs défis rencontrés lors de mon immigration au Canada, je suis déterminée à réussir mes études. Je crois que je peux surmonter toutes les difficultés pour réaliser mes rêves et j’espère inspirer d’autres femmes à poursuivre les leurs, pour avoir un impact positif sur le monde. »
Fatemeh Hosseini
Doctorat en génie mécanique
Marianne Tollemer
« Je m’implique dans la vie associative étudiante depuis le début de mon parcours universitaire : festivals, tournois sportifs, solidarité internationale, paniers alimentaires, journal étudiant, etc. Mes expériences m’ont appris à travailler en équipe, à mieux communiquer et à exercer mon leadership. Mais par-dessus tout, j’ai beaucoup appris sur moi-même. Je sais que pour trouver l’équilibre, il faut s’impliquer tout en ayant conscience de ses limites. Je suis maintenant mieux outillée pour affronter mes prochains défis professionnels. »
Marianne Tollemer
Maîtrise en génie de l'environnement
Nour Khezemi
« Je suis une femme courageuse, indépendante et autonome. Je vise l’excellence et j’investis les efforts nécessaires pour y arriver, même si cela m’oblige à sortir de ma zone de confort. En plus de travailler sur mes projets scolaires appliqués et sur mes travaux de recherche, je travaille à temps partiel pour subvenir à mes besoins. L’engagement communautaire fait aussi partie de mes valeurs. En Tunisie, j’étais impliquée dans une association visant à aider les élèves ayant besoin de développement éducatif ou émotionnel, ainsi que les personnes âgées vivant dans la pauvreté. Je crois que tout le monde a son rôle à jouer et qu’il faut toujours donner le meilleur de soi-même. »
Nour Khezemi
Maîtrise en génie logiciel
Aminata Diouf
« Mon parcours est improbable. Très jeune, j’ai obtenu une bourse d’excellence au Sénégal qui m’a permis de poursuivre des études en robotique et en aéronautique en France. De là, j’ai développé ma capacité d’adaptation pour réussir et j’y ai pris goût, alors je suis venue faire mon double diplôme à l’ÉTS tout en participant à la vie étudiante et sociale. J’aimerais dire aux jeunes filles que rien n’est impossible et qu’il suffit d’y croire. Je m’inspire fortement de Margot Lee Shetterly qui disait que le génie n’a pas de race, la force n’a pas de genre et le courage n’a pas de limites. »
Aminata Diouf
Maîtrise en génie mécatronique et génie aérospatial
Mélanie Gaillochet
« Le sentiment d’isolement parfois ressenti pendant les études supérieures peut grandement affecter l’expérience étudiante. Ainsi, je me suis donné comme objectif de former une véritable communauté en recherche pour briser l’isolement. J’ai organisé des rencontres, des activités et des conférences qui regroupent les intérêts des étudiant(e)s des 2e et 3e cycles pour leur permettre d’échanger sur des enjeux qui les touchent. Je suis heureuse de développer ce sentiment de communauté, d’appartenance et de collaboration sur le campus. »
Mélanie Gaillochet
Doctorat en génie logiciel
Xuan-Mai Nguyen
« Médecin, dentiste, avocate, comptable : on m’a proposé ces carrières dès ma tendre enfance, mais moi, c’était la technologie qui m’intéressait. L’informatique était un domaine d’hommes et on me déconseillait d’y entrer. Malgré tout, je me suis fait confiance et j’ai décidé de foncer. Aujourd’hui, je suis vraiment fière d’être une finissante au baccalauréat en génie logiciel. Je veux prouver à la communauté asiatique et au monde entier qu’aucune femme ne devrait craindre d’étudier en génie. Osez et croyez en vous. La réussite vous attend ! »
Xuan-Mai Nguyen
Baccalauréat en génie logiciel
Rose Marois
« Passionnée par les sciences et, plus spécifiquement, par l’aérospatiale, je m’implique dans les clubs étudiants universitaires et auprès des jeunes. Je suis très fière de mes accomplissements scolaires, mais aussi d’être capitaine du club RockÉTS et ambassadrice de l’ÉTS. Le courage, l’authenticité, la débrouillardise, l’engagement et l’excellence sont les caractéristiques qui me définissent le plus, et elles se reflètent dans mon implication dans les causes qui me tiennent à cœur. J’espère mener mon club RockÉTS vers d’autres exploits et voir de plus en plus de femmes dans le domaine de l’aérospatiale ! »
Rose Marois
Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique
Jade Essabar
« Ma vie est rythmée par le sport, le travail et les études. Pratiquant l’athlétisme depuis de nombreuses années, j’atteins un niveau national en évoluant au sein de l’équipe d’athlétisme de l’ÉTS, dans laquelle j’ai été la première à représenter la catégorie d’athlétisme sur piste. L’échange entre l’ÉTS et mon université française me permet de m’ouvrir, d’apprendre différemment et de me surpasser ! Je souhaite travailler à l’international et la décision de faire un échange universitaire à l’étranger a été la meilleure que j’ai prise pour mon avenir. »
Jade Essabar
Baccalauréat en génie de la construction
Hanieh Zohourfazeli
« Partir d’Iran pour faire un stage à l’ÉTS a été comme un grand saut dans le vide pour moi. Pour éviter l’isolement, j’ai fait du bénévolat pour plusieurs associations qui luttent contre les inégalités sociales. J’ai collaboré avec Les Ingénieuses, ensuite j’ai rejoint l’AÉÉTS et les Services à la vie étudiante. Motivée par toute cette nouveauté, j’apprends le français, je travaille à temps partiel et je suis mentore du Programme Contact. Je me consacre pleinement à mon projet de recherche en économie circulaire sur la gestion des résidus de café. Toutes mes actions sont guidées par le même objectif : avoir un impact positif sur ma communauté et la société. »
Hanieh Zohourfazeli
Maîtrise en génie de la production automatisée
Joélie Langlais
« J’ai eu un début de parcours difficile, mais je suis déterminée ! Aujourd’hui, on dit de moi que je suis un modèle inspirant pour les femmes qui me côtoient. Étudiante, athlète en volleyball et capitaine de mon équipe, c’est dans le sport que j’ai développé ma persévérance et mon leadership. Pour moi, le sport étudiant contribue au développement d’une personne dans son ensemble, autant sur le plan universitaire que sur celui des qualités professionnelles. En parallèle, je suis aussi l’une des rares femmes faisant partie du club RockÉTS et je participe aux activités de G-CHANGE et des Scientifines pour inciter les jeunes filles à explorer les sciences et le génie ! »
Joélie Langlais
Baccalauréat en génie mécanique
Marianne Lipp
« Les valeurs sociales et environnementales sont au cœur de mes préoccupations; c’est pourquoi je désire jouer un rôle significatif dans la lutte aux changements climatiques. En plus d’activités d’enseignement en développement durable à Polytechnique Montréal, je suis présidente du comité de développement durable à l’ÉTS, je suis membre du comité SerreÉTS et je travaille à temps partiel sur des projets d’efficacité énergétique. Je crois que les femmes ont un grand rôle à jouer pour améliorer le monde dans lequel nous vivons. »
Marianne Lipp
Maîtrise en énergies renouvelables et efficacité énergétique
Adèle Ladoire
« Depuis que je suis toute petite, j’ai voulu devenir ingénieure pour innover et améliorer la société, mais je n’avais pas de modèle féminin dans mon entourage. Comme je suis de nature curieuse et que je m’intéresse à beaucoup de choses, j’ai eu du mal à trouver ma voie et j’ai changé d’orientation plusieurs fois. En contrepartie, cela m’a donné une vision plus large des possibilités de carrière et je sais maintenant ce que je veux faire ! J’encourage les personnes indécises à développer leur curiosité. C’est le moteur de la vie et c’est aussi la clé de notre rencontre avec nous-mêmes. »
Adèle Ladoire
Maîtrise en génie de la construction
Marie-Jeanne Morin
« Tout au long de mon parcours à l’ÉTS, je me suis impliquée activement autant dans les équipes universitaires de sport d’élite que dans le regroupement Les Ingénieuses. Mon leadership et mon engagement ont été soulignés. Il est tout aussi important pour moi de mettre ces qualités au service des étudiants et étudiantes athlètes afin de contribuer à leur épanouissement que de jouer mon rôle d’ambassadrice auprès des étudiantes en génie. Je veux être un modèle inspirant pour la prochaine génération de femmes en ingénierie. »
Marie-Jeanne Morin
Baccalauréat en génie des oprations et de la logistique
Yasmine Makroum
« Dans ma famille, l’excellence scolaire a toujours été très importante et je me suis longtemps définie selon ce modèle. Des revers au cégep ont ébranlé ma confiance, mais j’ai tout de même choisi de relever le défi d’étudier en ingénierie. Au fil des ans à l’ÉTS, j’ai appris que les résultats scolaires ne sont pas tout ce qu’il faut pour réussir en génie. Les habiletés sociales, la gestion d’équipe, le sens de l’organisation et le leadership que j’ai développés dans mes activités parascolaires sont des atouts qui me suivront dans ma carrière et qui feront de moi une meilleure ingénieure pour la société. »
Yasmine Makroum
Baccalauréat en génie de la construction