Un diplôme reconnu en France
Après avoir fait des études universitaires en réseaux et sécurité informatique – l'équivalent québécois d'une technique en réseaux et télécommunications –, Cédrick Pipitone visite en France un salon qui regroupe des universités québécoises.
« Je me suis renseigné auprès des écoles qui étaient sur place. L’ÉTS n'y était pas. En voyant mon parcours professionnel, une dame d’une autre université m’a recommandé l’ÉTS. J'étais agréablement surpris, car en France les universités se battent pour avoir des étudiants. Elle m'a expliqué que les deux universités s’adressaient à des clientèles différentes. »
Le diplôme de l'ÉTS, reconnu en France comme au Québec
Cédrick choisit alors d’entreprendre un baccalauréat en génie des technologies de l'information. Ce qui l’a incité à choisir l’ÉTS? Le côté pratique de son enseignement et le système coopératif.
« L’ÉTS est une école de choix pour ceux et celles qui veulent rester en connexion avec le marché du travail », explique-t-il. Grâce aux travaux pratiques et aux clubs étudiants, l’ÉTS ajoute un plus aux études.
Et comme il existe une reconnaissance des acquis entre la France et le Québec, Cédrick y voit une véritable opportunité pour sa future carrière.
L’ÉTS offre de nombreuses possibilités aux étudiants
L’ÉTS organise beaucoup d’activités pour aider les étudiants à relaxer : des 5 à 7, des activités de réseautage, des conférences, des journées d'emploi, etc.
Participer bénévolement à des événements provoque aussi de belles rencontres avec les partenaires de l'ÉTS. « Ce sont vraiment de belles occasions qu'on offre aux étudiants », conclut Cédrick.