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L'ÉTS vous donne rendez-vous à sa journée portes ouvertes qui aura lieu sur son campus à l'automne et à l'hiver : Samedi 18 novembre 2023 Samedi 17 février 2024 Le dépôt de votre demande d'admission à un programme de baccalauréat ou au cheminement universitaire en technologie sera gratuit si vous étudiez ou détenez un diplôme collégial d'un établissement québécois.

Événements à venir

50 ans, imaginez la suite!

En mars 2024, l’ÉTS célèbre ses 50 ans d’histoire!

Le 6 mars 1974 marque la création de l’École de technologie supérieure à titre de projet pilote pour 5 ans, à la demande du gouvernement du Québec. Le but de cette initiative était de créer un lieu duquel émergerait un nouveau modèle d’ingénieur caractérisé par une approche plus pratique. Rapidement, l’ÉTS s’est taillée une place de choix dans l’écosystème universitaire, si bien que 5 ans après sa création, le projet pilote est levé. N’empêche que l’ÉTS devra mener un fastidieux combat pour enfin faire reconnaitre ses diplômées et diplômés par l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) en 1990.

Ces épreuves auront forgé la personnalité de l’ÉTS, une université où l’audace, l’innovation, l’engagement, l’excellence, l’équité et l’humanisme sont au cœur de ses actions.

Encore aujourd’hui, l’ÉTS se distingue par son approche pratique axée sur les besoins de l’industrie et de la société. Tout en poursuivant sa mission de contribuer au développement économique et technologique du Québec, l’ÉTS ne cesse de repousser les limites de son terrain de jeu. En plein cœur des festivités du 50e anniversaire, nous vous invitons à imaginer la suite de notre histoire!

Vidéos 50e – D’hier à aujourd’hui

Témoignages croisés d’étudiantes, de professeurs et d’entrepreneur et entrepreneure dans le cadre du 50e

Le pavillon E du campus de l'ÉTS apparaît. À l'intérieur, une femme marche dans l'aire commune en souriant. Elle est identifiée: « Chantal Quevillon. Diplômée de génie électrique de 1994 ». Elle dit: « Je m'appelle Chantal Quevillon. J'ai diplômé en 1994 au baccalauréat en génie électrique de l'ÉTS. »
Une autre femme descend un escalier du pavillon puis elle est appuyée à un garde-corps. Elle est identifiée: « Yasmina Rhazi. Étudiante en génie électrique ». Elle dit: « Je m'appelle Yasmina Rhazi et je suis présentement étudiante au baccalauréat en génie électrique à l'ÉTS. »
Les deux femmes apparaissent côte à côte dans l'écran séparé d'une ligne oblique. Le titre apparaît en noir dans un bandeau blanc: « D'hier à aujourd'hui ».
L'extérieur du pavillon D apparaît puis une cour gazonnée. À l'intérieur, Chantal et Yasmina marchent dans un couloir. Puis des images du pavillon défilent. Yasmina dit: « Ça vous fait quoi d'arriver dans le nouveau bâtiment de l'ÉTS? » Chantal dit: « Pour moi, c'est très dépaysant, c'est très grand, c'est très vaste et c'est beau. » Yasmina dit: « Oui, c'est super beau. » Chantal dit: « C'est clair, c'est épuré. » Yasmina demande: « C'est complètement différent de ce que vous avez connu? » Chantal confirme: « Complètement différent. »
Chantal est sur un palier, appuyée sur un garde-corps près d'une grande paroi vitrée. Puis des photographies souvenirs défilent. Elle dit: « J'ai commencé en janvier 89. C'était le deuxième campus, Henri-Julien. C'était une bâtisse sur trois étages, petite, chaque département avait son étage, soit GPA, construction, électrique. C'était réellement l'université qui mettait de la vie dans le quartier. C'était des petites classes. Des fois, on était une vingtaine d'étudiants. Juste assez pour monter un groupe ou pouvoir avoir une classe. C'était familial. Tout le monde se connaissait. Tout le monde savait qui était Chantal. Premièrement, il y avait pas beaucoup de filles que... on était reconnues. »
Chantal et Yasmina marchent dans un couloir. Puis elles entrent dans un laboratoire rempli d'ordinateurs. Chantal dit: « Ça me rappelle des beaux souvenirs. Ça me donne le goût de recommencer mon génie. Laboratoire de première année. » Yasmina dit: « Là, on peut voir un peu... » Chantal demande: « Les jumpers? » Yasmina confirme: « Oui, exactement. » Chantal dit: « Mon laboratoire ressemblait à ceci, mais je te dirais qu'on était le quart en fait de grosseur... de station. Parce qu'on avait pas autant d'étudiants. »
Chantal est sur le palier, appuyée au garde-corps. Puis des photographies souvenirs défilent. Elle dit: « Dans certains groupes, dans certaines classes, il y avait plus de professeurs que d'étudiants. On pouvait être 15 à 20 étudiants puis il y avait plus de professeurs dans le département d'électricité. Je venais déjà d'une technique où on avait des cours avec des laboratoires. L'ÉTS était un complément de ma technique. Je voulais pas faire juste de la théorie, je voulais déployer mon attrait vers l'électronique en mettant mes mains directement dans les circuits. »
Chantal et Yasmina visitent un laboratoire d'électronique. Puis Yasmina apparaît assise dans une grande pièce vitrée avec une série de tables hautes. Elle dit: « L'ÉTS, c'est vraiment miser sur la pratique. C'est tellement encouragé à l'école, aussi avec les stages. C'est ancré dans notre parcours dans le baccalauréat parce que tu veux pas sortir d'ici puis pas savoir comment faire le lien entre ce qu'on apprend à l'école puis ce qu'on apprend... bien, ce qu'on doit vivre à l'extérieur aussi. »
Une affiche du département de génie électrique apparaît. Puis Chantal et Yasmina marchent dans un corridor dont les murs sont tapissés de portraits de finissants. Chantal dit: « En cours de magnétisme, j'ai adoré faire le... » Yasmina demande: « Ah oui? La règle de la main droite? » Chantal dit: « La règle de la main droite. Tout le monde qui a l'air un peu idiot dans leur examen en train de faire des mouvements. » Yasmina dit: « C'est vrai. » Chantal dit: « J'ai adoré ce cours-là. » Yasmina dit: « Si je me trompe pas, vous êtes une des premières bachelières de l'ÉTS? Chantal dit: « Bien... au niveau génie, oui, on faisait partie des premières cohortes. »
Chantal est sur le palier, appuyée au garde-corps. Alors qu'elle parle, une photo apparaît brièvement puis des images d'un laboratoire d'électronique défilent. Elle dit: « On étudiait, bon, les circuits électriques, on étudiait les hautes fréquences. C'était réellement très large comme éventail au niveau électricité. On passait au travers de... d'une panoplie de théorèmes. Je me souviens, c'était en hyperfréquence, il fallait faire un circuit avec plein de composantes électroniques. Ce laboratoire-là a duré toute la session pour arriver à la fin de la session où on avait notre système complet. »
Chantal et Yasmina marchent dans un corridor puis s'arrêtent devant le cadre d'une cohorte de finissants pour l'examiner. Chantal dit: « Faut aller dans le fond. » Yasmina répond. « Oui. 92. » Chantal confirme: « 92, oui. » Yasmina dit: « Ah, c'est là? Ah! Est-ce que vous reconnaissez quelques profs? » Chantal dit: « Oui, François Gagnon, M. Awad, Naïm Batani, Michel Brûlé. »
Chantal est sur le palier, appuyée au garde-corps. Alors qu'elle parle, des images du pavillon défilent. Elle dit: « Je pensais pas que l'ÉTS aurait autant grossi que ça. Moi, je voyais tout le temps ma petite université. Quand je compare, maintenant que je viens visiter vos locaux, c'est immense. Les clubs ont leur local. La bibliothèque est immense. Je pensais pas que l'ÉTS prendrait autant d'expansion. »
Yasmina est assise dans la grande pièce avec la série de tables. Puis des images extérieures du campus défilent. Elle dit: « Je trouve que le campus est super, surtout en été. C'est tellement illuminé. Ici, on peut voir, comme, il y a le petit balcon. Puis tu vois tout le monde, ils sont sur le campus. Je suis vraiment fière d'être à l'ÉTS. Même pendant mes stages, je trouve que c'est... Le monde qui me dit: Tu viens de quelle école? L'ÉTS. C'est toujours avec fierté. »
Chantal et Yasmina marchent dans le corridor. Chantal dit: « En tout cas, je te souhaite bonne chance pour tes stages. Puis ta carrière. » Yasmina répond: « Merci, merci. Puis peut-être on va se recroiser. »
L'extérieur du pavillon E apparaît. Puis sur un fond blanc, un carré rouge avec le sigle de l'ÉTS en blanc apparaît, à droite duquel les mots « 50 ans. Imaginez la suite » s'affichent.

Les étudiantes

Le pavillon E du campus de l'ÉTS apparaît. Puis un homme marche en souriant dans un laboratoire. Il est identifié: « Michel Brûlé. Professeur retraité de génie électrique. » Il dit: « Je m'appelle Michel Brûlé et j'ai enseigné à l'ÉTS de 1978 à 1995. »
Un autre homme marche dans le laboratoire en souriant. Il est identifié: « Frédéric Nabki. Professeur en génie électrique. » Il dit: « Je m'appelle Frédéric Nabki. Je suis professeur à l'ÉTS depuis 2016. »
Les deux hommes apparaissent côte à côte dans l'écran séparé d'une ligne oblique. Le titre apparaît en noir dans un bandeau blanc: « D'hier à aujourd'hui. »
L'extérieur du pavillon E apparaît. À l'intérieur, les deux hommes marchent dans un corridor. Frédéric dit: « Bonjour, Michel. Bienvenue à l'ÉTS. » Michel répond: « Hé, salut, salut. Ça fait plaisir. » Frédéric demande: « Qu'est-ce que ça te fait de revenir ici après plusieurs années? » Michel répond: « Incroyable. On dirait que tout a été multiplié. C'est du multiplicateur partout, quand je regarde à gauche puis à droite, les espaces, les équipements. Incroyable. »
Des images de différents laboratoires défilent. Michel et Frédéric arpentent le corridor puis entrent dans un laboratoire. Frédéric dit: « On n'est plus dans le même campus que jadis. » Michel répond: « Non, non, puis j'ai hâte de voir ton laboratoire. » Frédéric dit: « Écoute, on en a pas pour longtemps, c'est juste ici. » Michel dit: « Ah oui. »
Michel visite le laboratoire avec Frédéric. Puis des images d'archives en noir et blanc défilent alors que Michel est assis dans le laboratoire. Il dit: « Alors j'ai commencé début janvier 1979. En 79, on a établi le premier laboratoire de l'ÉTS, qui semblait être un placard lorsqu'on ouvrait les portes, mais ça avait suffisamment d'espace pour faire un petit laboratoire accueillant peut-être au maximum une quinzaine ou une vingtaine d'étudiants. En génie électrique, je pense qu'on était peut-être une dizaine de professeurs maximum. Et puis il y avait le département de génie civil, de génie mécanique. En tout, il y avait peut-être une vingtaine de professeurs. »
Michel et Frédéric visitent le laboratoire sophistiqué. Frédéric dit: « Ici, comme tu peux voir, c'est un laboratoire où on a eu les équipements, je te dirais, dans les trois dernières années. Donc c'est quand même un laboratoire, je dirais, d'envergure récente. On n'est plus dans les mêmes genres d'instruments. » Michel répond: « Non, non, aucun rapport. »
Michel et Frédéric discutent dans le laboratoire puis visitent le pavillon. Puis Frédéric est assis à une station du laboratoire. Il dit: « J'ai commencé à l'ÉTS en 2016. C'était comme prof en génie électrique. Puis j'ai ensuite joint le groupe LaCIME pour entamer mes programmes de recherche en microélectronique. Depuis, j'ai vu l'expansion de l'ÉTS, l'expansion de mon groupe de recherche, de mes étudiants gradués. Puis les professeurs en génie électrique, on est facilement peut-être dans la quarantaine de profs. Donc déjà là, dans ce département-là, il y a une effervescence. »
Des images d'archives de l'ÉTS en noir et blanc défilent. Puis Michel est assis dans le laboratoire. Il dit: « À l'époque, c'était un seul bâtiment, qui a évolué lorsque le projet pilote s'est terminé puis que la permanence a été acquise. Déjà à l'ÉTS, en 79, il y avait... une compréhension de tous les professeurs, puis je dirais des étudiants aussi, qu'on faisait quelque chose d'unique. »
Michel et Frédéric discutent dans le laboratoire. Puis ils marchent dans un couloir et passent une porte surmontée d'un panneau: « Département de génie électrique ». Frédéric dit: « Là, tu reviens ici. Comment ça t'habite, tout ça, quand tu vois tout ça? » Michel dit: « Bien, c'est... je dirais une grande, grande fierté d'avoir été dans les débuts de ça, dans le fond. »
Michel et Frédéric marchent dans un long corridor. Frédéric dit: « Comme tu vois ici, on est au département. Michel dit: « Eh, s'il vous plaît! Les allées sont longues. » Frédéric dit: « Bien oui, comme tu vois ici-- » Michel s'exclame: « Wow! »
Ils entrent dans une salle de réunion où des portraits sont fixés au mur. Michel regarde la photo d'un homme. Il dit: « Je vois Fred. Eh boy! Eh bien, eh bien, eh bien. Ça, c'était... un pédagogue-né. Tu sais, les professeurs qui ont commencé, c'était tous des gens dans l'industrie, ces affaires-là. Je pense que j'étais probablement un des seuls qui avait été professeur avant de venir ici. Tu sais? Alors, lui, c'était un talent-né. »
Frédéric est assis dans le laboratoire. Il dit: « Tantôt, j'ai demandé à Michel: Comment est-ce que tu vois l'ÉTS dans 50 ans? Tu le voyais-tu comme ça? Puis il a dit: J'aurais jamais pu m'imaginer ça. »
Michel est assis dans le laboratoire. Puis il discute avec Frédéric dans la salle de réunion. Il dit: « C'est difficile de voir comment on peut aller plus loin qu'où on est rendu. C'est ça qui est intéressant dans une certaine mesure. »
Assis dans le laboratoire, Frédéric dit: « Moi, c'est ça que je souhaite à l'ÉTS, c'est d'arriver dans 50 ans, et quelque chose que je pourrais même pas m'imaginer. Donc je souhaite à l'ÉTS plus de ce que l'ÉTS a fait depuis les 50 dernières années. »
Frédéric et Michel entrent dans une grande salle de repos avec des tables et des canapés. Michel s'exclame: « Oh là là! » Frédéric dit: « Ici, c'est le salon des profs, qui doit dater de deux ans ou trois maximum. » Michel dit: « Écoute, c'est super agréable. Je te remercie beaucoup. » Frédéric dit: « Je te remercie d'être venu, Michel. » Michel dit: « Ça a été vraiment super. » Frédéric dit: « C'était une belle discussion. » Michel dit: « Oui, belle visite. Merci beaucoup. »
L'extérieur du pavillon apparaît. Puis sur un fond blanc, un carré rouge avec le sigle de l'ÉTS en blanc apparaît, à droite duquel les mots « 50 ans. Imaginez la suite » s'affichent.

Les professeurs

Revivez les moments forts de l’ÉTS des 50 dernières années

Glisser pour commencer

Building

1974

Création de l’École de technologie supérieure, un projet pilote qui ne devait durer que 5 ans.

Collation des grades

1976

Première collation des grades, composée de 14 diplômés​

1979

Fin du projet pilote : le gouvernement du Québec confirme la pérennité de l’ÉTS​

1988

Création des quatre premiers clubs étudiants : BAJA, Avion-Cargo, Omer et Formule SAE​

1990

Agrément du BCAPG et ouverture des quatre premiers baccalauréats en génie. De ce fait, les diplômé(e)s de l’ÉTS sont directement admis à l’OIQ.​

1992

Nouvelle signature « Le génie pour l’industrie »​

1994

Réaménagement de l’édifice Carling O’keefe, datant de 1947, en vue de déménager l’ÉTS dans Griffintown

1996

Création du Centech
Directeur Jacques Fortin​

2000

Premier PhD​

2001

Naissance du premier club sportif Piranhas : Piranhas Rugby

2005

L’association des diplômé(e)s de l’ÉTS (ADÉTS) change de nom et devient le Réseau ÉTS

2006

Le programme de cheminement universitaire en technologie accueille une première cohorte d’étudiants et d’étudiantes.​

2014

L’ÉTS affiche le meilleur bilan énergétique de toutes les universités québécoises

2015

Inauguration du pavillon E

2019

Inauguration du pavillon D

2024

L’ÉTS célèbre ses 50 ans d’histoire

Une architecture en harmonie avec l’histoire de Griffintown

L’ÉTS s’intègre harmonieusement dans le paysage historique de Griffintown grâce à son architecture moderne qui évoque le passé industriel du quartier.

Inaugurée en 2018, la Maison des étudiants, conçue par l’agence Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes, est un bâtiment emblématique qui redéfinit le secteur. Inspirée par un ancien entrepôt de glace qui occupait autrefois le site, sa forme cristalline et aérée symbolise la légèreté et l’ouverture, tout en s’intégrant parfaitement dans le caractère dynamique du quartier.

Le design de la Maison des étudiants, avec ses grandes verrières et ses jeux de retraits et de projections, crée un dialogue subtil avec l’architecture plus sobre des pavillons existants. À travers cette structure, l’ÉTS offre une vitrine à la vie estudiantine, tout en maximisant l’apport de lumière naturelle et en favorisant l’ensoleillement des espaces publics extérieurs.

Juste en face, le Pavillon D, qui s’étend sur 15 330 m², prolonge cette esthétique moderne. Avec ses façades de verre et sa charpente d’acier, il évoque une continuité architecturale qui renforce l’identité du campus. Destiné à accueillir des salles de classe et des clubs étudiants, le Pavillon D est conçu pour favoriser les échanges et la collaboration, tout en étant un espace de vie agréable.

Au cœur de cette transformation, l’histoire de la Brasserie Dow, qui occupait autrefois le site du pavillon A, rappelle les racines industrielles de Griffintown. Fondée au début du 20e siècle, cette microbrasserie a été un acteur important du quartier, produisant des bières de qualité et contribuant à la vie sociale locale. Juste en face, sur le site de l’actuel pavillon B, une gare de distribution ferroviaire desservait la brasserie, facilitant le transport de ses produits et soulignant l’importance du chemin de fer dans le développement industriel de la région. La reconversion de cet espace en campus universitaire illustre le passage d’un centre industriel à un lieu dédié à l’éducation et à l’innovation, tout en préservant l’héritage historique du secteur.

Cette harmonie architecturale souligne le lien profond entre l’ÉTS et Griffintown, un quartier où l’innovation et la créativité sont au cœur de la culture. En réhabilitant des sites historiques et en intégrant des structures contemporaines, l’ÉTS contribue à façonner un véritable campus urbain qui respecte son héritage tout en se tournant vers l’avenir. C'est cette fusion d’histoire et de modernité qui fait de notre École un acteur clé dans le développement du quartier, renforçant ainsi son rôle en tant que pôle d’apprentissage et d’innovation au cœur de Montréal.

Campus moderne avec sentiers piétonniers et gratte-ciels illuminés en arrière-plan.
Bière du 50e de l'ÉTS

Bière du 50e anniversaire

De sa création à aujourd'hui, l'École de technologie supérieure a transformé les défis en opportunités afin de s'engager envers la société ! En marge des célébrations de son 50e anniversaire, GéniALE, son club étudiant, a brassé une bière classique et audacieuse qui exprime la façon innovante qu’elle a d’imaginer le futur, d’imaginer la suite.

  • Bière blonde d'inspiration allemande, 5,1% alc./vol., 473 mL
  • Réalisée en collaboration avec la microbrasserie locale Les Trois Mousquetaires
  • Un pourcentage des ventes sera versé aux clubs étudiants pour les encourager dans leurs projets innovants!

Disponible à l'achat à l'unité ou ensemble de 4, exclusivement au marché Métro Plus ÉTS.

Quantité limitée, jusqu'à épuisement des stocks.

Les photos du 50ᵉ

14 mars – lancement des festivités du 50ᵉ

Conférence sur l'innovation avec public attentif. Ambiance bleutée et scène éclairée.
Un échange dynamique entre un étudiant et un professionnel lors d'un événement universitaire.
Événement de remise de prix, assistance attentive, ambiance technologique et innovante.
Public captivé lors d'un événement académique, ambiance vibrante avec éclairages bleus.
Inauguration du pavillon E, foule réunie devant l'université technologique.
Groupe célébrant les 50 ans de l'ÉTS avec une bannière, devant un bâtiment moderne.
Évènement réseau à l'ÉTS, avec éclairage violet et des cubes suspendus.
Auditoire attentif lors d'une conférence sur la technologie.
Bâtiment de l'ÉTS illuminé de nuit, symbole d'innovation et d'éducation en génie.
Trois professionnels sur scène lors d'un événement universitaire avec fond éclairé en rouge.
Groupe souriant pour les 50 ans de l'université.
ÉTS célèbre 50 ans avec partenaires.
ÉTS 50 ans. Imaginez la suite.

26 mars – L’Assemblée nationale du Québec souligne le 50ᵉ anniversaire de l’ÉTS

Cérémonie de remise de prix avec participants souriants, valorisant l'excellence académique.
Groupe souriant lors d'une remise de prix universitaire.
Groupe de personnes à l'ETS, célébrant l'excellence en ingénierie.
Groupe de lauréats célébrant leur réussite académique et professionnelle.
Cérémonie à l'Université en tenue formelle, avec remise de prix et reconnaissance académique.
Groupe de femmes célébrant une remise de prix académique.
Remise de prix à un homme avec un certificat et médaille, souriants, drapeau québécois en arrière-plan.
Remise de prix à l'ÉTS avec quatre professionnelles souriantes, valorisant l'excellence académique.