Transcription textuelle
Présentation du Bureau du respect de la personne de l'ÉTS
Sur fond noir, on voit l'inscription BRP.
On voit le bâtiment gris de l'ÉTS, avec l'animation du logo du BRP.
Un homme entre dans le bâtiment et une femme en sort à travers une porte de verre.
On voit un gros plan de porte en verre avec l'inscription "ÉTS".
On voit deux dames marchant dans un jardin. Elles parlent en s'adressant à la caméra.
Dominique: Nous allons vous présenter aujourd'hui le bureau du respect de la personne de l'ÉTS.
Dominique avance touchant sa poitrine, et la deuxième femme, Rachel, en tendant ses mains vers l'avant.
Dominique: Je suis Dominique Bilodeau, directrice.
Rachel: Je suis Rachel-Diane Epoupa, technicienne.
Tout en marchant, Dominique bouge constamment sa main gauche.
Dominique: Nous allons vous présenter la mission du bureau, son rôle de soutien, d'accompagnement et d'intervention en matière de harcèlement psychologique, de violences à caractère sexuel et de discrimination au sein de la communauté de l'ÉTS.
Rachel fait relais à ses propos tout en jouant avec ses deux mains.
Rachel: Ensuite, nous évoquerons comment notre bureau travaille à promouvoir la civilité et le respect et à prévenir toute forme d'inconduite et d'incivilité.
Sur fond gris, on voit une présentation mobile du Bureau du Respect de la personne.
Sur fond gris, on voit un dessin représentant trois étudiants : l'une à vélo montrant du doigt l'ÉTS, l'autre assise avec un livre et le dernier debout tenant un classeur.
On voit un plan où Dominique ouvre la porte, et Rachel la suit par derrière pour entrer la première.
Puis, Dominique entre à son tour.
On voit un plan où l'on voit le dos des deux dames.
Elle sont en train de s’asseoir sur une chaise haute, dans un studio.
Elles enlèvent en même temps leurs masques.
On voit les deux dames sourire. Puis, elles rient en se regardant dans les yeux.
Plan serré de Dominique en train de parler.
Dominique: Notre mission est de contribuer à faire de l'ÉTS un milieu de vie, d'étude et de travail ouvert et respectueux où chaque personne se sent accueillie, respectée et où la diversité est valorisée et vécue comme un atout et un enrichissement.
Le plan revient sur les deux dames et derrière elles, un mur gris.
Rachel parle en joignant ses deux mains.
Rachel: Il y a quatre volets à notre travail. Tout d'abord, la prévention.
Sur fond gris, on a un plan de présentation du mot "Prévention".
Rachel parle en joignant ses deux mains, puis en les ouvrant.
Rachel: Par la sensibilisation, l'éducation, la formation et le coaching.
Retour au plan des deux femmes, Dominique se tait et a les yeux fixés sur la caméra.
Sur fond gris, on voit un plan de présentation du mot "Résolution".
Dominique: La résolution par la médiation et la résolution de problèmes.
Sur fond gris, on a un plan de présentation du mot "Traitement".
Rachel: Le traitement par la reception et le suivi des plaintes de harcèlement psychologique ou sexuel.
On revient sur les deux femmes, Rachel se penche la tête puis tourne vers Dominique.
Dominique tourne vers elle à son tour, et elles se regardent en souriant.
Sur fond gris, on a un plan de présentation du mot "Accompagnement".
Dominique: Et finalement, l'accompagnement par le soutien apporté aux victimes, aux témoins, et dans la mesure où ça s'avère possible, aux personnes mises en cause.
On voit Dominique parler et Rachel se toucher le visage.
Rachel se tait et regarde fixement la caméra.
Dominique continue de parler des mesures d'accompagnement.
On a un plan des mains de Dominique en train d'écrire sur son agenda.
Rachel: La mission du BRP peut également l'amener à intervenir auprès de toute personne présente sur le campus, qu'il s'agisse d'un employé d'une entreprise contractante ou locataire d'un espace appartenant à l'ÉTS, ou d'un visiteur relativement à un évènement survenu sur le campus, ou lors d'une activité organisée par l'ÉTS.
Plan plus éloigné où on voit Dominique derrière son bureau, parlant à un homme. Tout en parlant, elle joue avec son stylo.
Plan serré de Dominique parlant et fixant la caméra.
On voit Dominique écouter et prendre note.
Elle baisse un peu les yeux et hoche la tête, puis écrit sur son agenda.
On voit un plan des deux femmes, c'est Rachel qui parle.
Rachel: Le BRP couvre l'ensemble des membres de la communauté universitaire.
Dominique se tourne vers elle.
Sur fond gris, plan de présentation du mot "Les Dirigeant.es".
Rachel: C'est-à-dire les dirigeants, les cadres, les professeur⋅es, les maîtres d'enseignement, les chargé⋅es de cours, le personnel professionnel de soutien et technique, les étudiants et les étudiantes et les stagiaires de l'ÉTS, incluant les stagiaires post-doctoraux.
Sur le même fond gris, défilent les mots "Les cadres", "Les professeur.es".
Défilent les mots "Les maîtres d'enseignement", "Les chargé.es de cours".
Défilent les mots "Le personnel de soutien".
Défilent les mots "Les étudiant.es et stagiaires".
Défilent les mots "Les stagiaires post-doctoraux".
Plan serré de Rachel parlant tout en fixant la caméra.
Elle soulève ses sourcils et hoche la tête.
Rachel: Ce qui veut dire que les étudiants et les étudiantes qui vivent des situations problématiques dans leur milieu de stage peuvent également s'adresser au bureau.
Plan des deux femmes. Dominique parle et penche sa tête en avant.
Dominique: Exact.
Elle se redresse un peu et continue de parler. Rachel fixe la caméra. On la voit se tourner vers Dominique, puis elles se regardent.
Dominique: Tous les membres sont couverts lorsqu'ils participent à une activité universitaire.
Ensuite, elles reviennent fixer la caméra. On voit Dominique se tourner encore une fois vers l'autre.
Dominique: Qu'ils soient étudiants ou étudiantes, ou employés.
Puis elle se tourne vers la caméra et Rachel se tourne vers elle à son tour.
Elle fixe un instant la caméra puis se tourne vers l'autre femme et sourit.
Rachel: Alors concrètement, comment ça se passe ?
Elles se regardent un instant, et Dominique fixe ensuite la caméra.
Rachel sourit et passe une main dans ses cheveux.
Dominique parle et se tourne vers Rachel, puis fixe la caméra.
Elle bouge un peu sa main gauche.
Dominique: Ce serait une bonne idée de donner quelques exemples hypothétiques de situations qu'on rencontre au BRP.
En voici donc un premier.
Une étudiante trans contacte le bureau pour signaler une situation qu'elle vit avec ses collègues qui refusent de l'appeler par son prénom.
Sur fond gris, on voit une animation représentant une étudiante téléphoner.
Sur fond gris, on voit une bulle de dialogue jaune du mot "Vincent" entré par le haut.
Elle souligne que cela se fait une fois sur deux, et que la plupart du temps, elle a droit à des moqueries.
Une bulle de couleur rouge avec la phrase "Moi, c'est Anaïs", entre par le haut, suivie de trois autres bulles du mot "Vincent".
Un dessin d'une bouche apparaît au milieu des bulles.
Des signes d'injures sortent par la bouche, et le mot "HA HA".
Dominique: Elle précise également que son enseignant a fini par toujours bien la nommer, mais qu'il n'intervient pas quand ses collègues se moquent d'elle.
Plan mobile d'une animation de bouche cousue par une fermeture.
Rachel: Qu'est-ce que le BRP peut faire dans cette situation ?
Plan serré de Dominique, les yeux fixés vers la caméra. Elle parle.
Dominique: Pour l'étudiante trans, nous pourrions intervenir pour sensibiliser l'enseignant, le coacher au niveau des interventions qu'il peut faire au sein de sa classe, soutenir l'étudiante et intervenir auprès de la direction pour faire avancer la réflexion sur la diversité.
On la voit pencher sa tête vers sa gauche.
Plan des deux dames où Rachel parle. Dominique se tourne vers elle.
Rachel: On rencontre aussi des situations de "mobbing".
Sur fond gris, on passe à un plan de présentation du mot "Mobbing".
Rachel: Le mobbing, c'est une forme de harcèlement qui fait qu'une personne est exclue et dénigrée par un groupe sur une longue période.
Plan représentant une femme, exclue par d'autres personnes (sous forme de dessin) Le dessin de la femme exclue se rétracte en arrière, et les autres la suivent.
Rachel: En d'autres termes, le mobbing, c'est la meute contre la proie.
Plan des deux dames fixant la caméra, c'est Rachel qui parle.
Sur fond gris, on voit un dessin animé représentant un capitaine siffler son sifflet.
Rachel: Par exemple, imaginons un étudiant qui vit une situation problématique avec le capitaine de son club.
Il nous contacte parce qu'il dit qu'il n'en peut plus et que la situation est en train de dégénérer.
On voit un dessin représentant un étudiant assis sur un banc.
On voit un plan des deux dames fixant la caméra.
Rachel: Il précise qu'il subit du dénigrement de la part du capitaine, mais aussi de certains membres du club lors des réunions et sur leur page Facebook.
Sur fond gris, on voit un plan représentant le logo de Facebook avec une notification.
Rachel: Par exemple, ils ont mis des photos de lui en ligne en le comparant à une baleine en train de se noyer.
On voit un dessin représentant un smartphone avec une photo d'un homme-baleine.
Qu'est-ce que le BRP pourrait faire dans cette situation ?
Le plan se dissipe peu à peu.
Plan serré de Dominique, elle parle et fixe la caméra.
Dominique: Lors d'une situation de mobbing au sein d'un club, nous pourrions sensibiliser les membres sur ce qu'est le mobbing et sur l'importance du respect.
Elle penche un petit peu sa tête en avant.
Elle hoche un petit peu sa tête.
Dominique: Bien entendu, il est également possible d'entreprendre une résolution de problème entre l'étudiant et le capitaine afin de dégager une entente entre eux.
Elle continue de parler sur le "mobbing" au sein d'un club.
On la voit bien articuler et cligner à chaque fois ses yeux.
Dominique: Enfin, l'étudiant pourrait également déposer une plainte de harcèlement psychologique au BRP.
Prenons maintenant un exemple qui peut survenir en stage.
On voit un plan des deux dames, Dominique parle et se tourne vers l'autre.
Puis, elle fixe la caméra, et l'autre se tourne vers elle à son tour.
On voit Rachel toucher son visage.
Sur fond gris, on voit un dessin animé représentant deux étudiants s'échanger des propos.
Dominique: Par exemple, une étudiante nous contacte parce qu'elle subit des commentaires et des gestes à caractère sexuel de la part d'un de ses collègues dans son milieu de stage.
On a un plan des deux dames, c'est Dominique qui parle.
Dominique: Quand il passe à côté d'elle, il lui chuchote des mots grossiers.
Sur un fond gris, on voit un dessin représentant une aubergine, ensuite une pêche. On voit ensuite des dessins représentant des gouttes d'eau, puis des signes d'injures.
Rachel: L'étudiante pourrait penser que nous ne pouvons rien faire puisque la situation se produit en stage avec un employé du milieu de stage.
On a un plan des deux dames fixant la caméra, c'est Rachel qui parle.
Elle cligne un peu son œil gauche.
Dominique se penche la tête vers la droite puis se tourne vers l'autre.
Rachel: Qu'est-ce que le BRP pourrait faire dans cette situation ?
Rachel la regarde à son tour, puis fixe la caméra.
Dominique parle en fixant la caméra et se tourne constamment vers l'autre.
Dominique: Dans les faits, quand une situation survient dans un contexte d'un stage, le service de l'enseignement coopératif est impliqué et nous sollicitons les ressources humaines du milieu de stage.
Rachel écoute et se tourne un peu aussi vers sa partenaire.
On les voit fixer en même temps la caméra.
Plan serré de Dominique.
Dominique: Là encore, nous pouvons sensibiliser, intervenir en résolution de problème, ou entreprendre une démarche d'enquête.
Elle parle en penchant, un peu et de temps en temps, la tête en avant.
Dominique: Chaque fois qu'une situation est rapportée au BRP, nous mettons en place des mécanismes pour faire cesser la situation et pour prévenir la récidive.
Plan des deux dames fixant la caméra, c'est Rachel qui parle.
Rachel: Il y a également des situations vécues par des étudiants et des étudiantes de cycle supérieur.
On voit les dames hocher un peu la tête.
Rachel soulève un peu ses sourcils, et l'autre se tourne un peu vers elle.
Rachel: Par exemple, un étudiant explique que son superviseur est dur dans ses propos avec lui.
Rachel fronce un peu ses yeux en parlant.
Elle soulève ses sourcils et hoche la tête.
Rachel: Il lui dit qu'il n'est pas de niveau doctoral, que son travail ne correspond pas aux exigences demandées, que sa subvention arrive à sa fin.
Sur fond gris, on voit un dessin représentant des copies sous-évaluée "C-".
On voit un dessin représentant une tirelire cassée.
Plan des deux dames fixant la caméra, c'est Rachel qui parle.
Elle cligne un peu les yeux.
Rachel: Il ajoute que depuis quelques semaines, son superviseur ne répond pas à ses courriels, et l'ignore.
Sur fond gris, on a un dessin représentant un courriel avec des notifications de nouveaux messages.
Rachel: Il souligne être préoccupé et stressé. Il ne dort pas bien, il est anxieux.
On voit un dessin animé représentant un homme hochant la tête.
On voit une bulle de pensée négative vis-à-vis de l'immigration, puis deux autres bulles avec la représentation du Canada (feuille d'érable rouge) et un avion.
Rachel: Il craint que cela nuise à son statut à l'immigration.
Il se demande ce qu'il peut faire.
Pour cet étudiant, une résolution de problème entre lui et son enseignant serait une bonne approche, n'est-ce pas ?
Plan des deux dames fixant la caméra, c'est Rachel qui parle. Puis, elle se tourne vers Dominique.
Dominique se tourne vers elle à son tour, et hoche la tête pour adhérer.
Dominique: Tout à fait!
*Soupir* Dominique parle en penchant un peu la tête vers sa gauche.
Dominique: Très souvent, les étudiants et les étudiantes de cycle supérieur nous contactent pour trouver une solution au problème afin de poursuivre ou terminer leurs études.
Elle continue de parler en regardant sa partenaire.
Dominique: On joue alors le rôle de médiatrices.
On a un plan serré de Rachel parler en fixant la caméra.
Rachel: Le BRP peut aussi intervenir dans le cadre d'une situation qui surviendrait lors d'une soirée organisée par une association de l'ÉTS.
Elle fronce un peu les yeux puis soulève les sourcils.
On a un plan des deux dames fixant la caméra, c'est Dominique qui parle.
Dominique: Oui, par exemple, une étudiante nous contacte le lendemain d'une soirée organisée à laquelle elle a participée.
*Soupir*
Dominique: Elle souligne qu'à un moment donné, elle ne se sentait pas bien et elle a décidé de rentrer chez elle.
Un autre étudiant lui a offert de la ramener après un dernier verre.
Sur fond bleu, on a un dessin représentant deux verres se trinquer.
Dominique: Elle se souvient être embarquée dans la voiture, mais après, c'est le néant.
Sur fond violet, on voit un dessin animé représentant une voiture roulant la nuit.
Dominique: Elle s'est réveillée le lendemain, complètement nue dans son lit.
Sur fond gris, on voit un dessin représentant une femme nue dans un lit.
Dominique: Elle avait un message sur son cellulaire: "On remet ça quand tu veux".
On voit une animation représentant un smartphone recevant un message : "On remet ça quand tu veux".
Dominique: Elle pense avoir été droguée et agressée sexuellement.
Retour au dessin représentant la femme nue dans un lit, pensant aux drogues.
Retour au plan des deux dames, Dominique se tourne vers Rachel. Cette dernière parle en fixant la caméra, et soulève constamment les sourcils.
Rachel: Il y a différentes choses que le BRP peut faire.
Tout d'abord, être vraiment présent pour elle.
On voit Dominique se retourner pour fixer la caméra.
Rachel continue de parler et toutes les deux hoches un peu la tête.
Rachel: L'écouter, la soutenir, l'accompagner dans le cadre des différentes démarches, mettre en place des accommodements pour qu'elle puisse poursuivre ses cours.
On la voit bien articuler, soulever un peu ses sourcils et hocher la tête, et se pencher légèrement vers sa droite.
Rachel: Bien entendu, l'étudiante peut déposer une plainte de violence à caractère sexuel au BRP, mais aussi, une plainte criminelle au poste de police.
On voit les deux dames se regarder mutuellement.
Rachel continue de parler et toutes les deux hochent un peu la tête.
Rachel joue avec ses deux mains en les tendant en avant.
Rachel: Il serait également important de sensibiliser les étudiants et les étudiantes sur le fait qu'en état d'ébriété ou de consommation, aucun consentement n'est valide.
Elle continue de parler en soulevant ses sourcils et hochant légèrement la tête.
On a un plan serré de Dominique, parlant et fixant la caméra.
Dominique: Donc, il est important de retenir que, pour chaque situation rapportée au BRP, nous prenons le temps d'écouter et de bien comprendre la situation de la personne, d'identifier ses besoins et ses attentes en consultant le BRP, de déterminer en accord avec elle les différentes avenues de solution.
On la voit bien articuler et cligner un peu les yeux.
Elle résume les propos tenus sur le BRP en hochant légèrement la tête.
On a un plan des deux dames où Rachel parle.
Rachel: Les avenues de solution possibles sont: de sensibiliser individuellement ou collectivement, de coacher les personnes visées, mises en cause ou susceptibles d'intervenir pour régler la situation, de mettre en place une démarche de résolution de problème, de référer la personne au service aux étudiants pour un soutien psychologique si la personne est étudiante, de référer la personne au programme d'aide aux employés si la personne est employée, d'accompagner dans les différentes démarches en lien avec sa situation, d'accommoder pour permettre à la personne de poursuivre ses études, par exemple, avoir quelqu'un pour prendre des notes, décaler un examen, parler à des professeurs, etc.
Elle soulève un peu les sourcils et hoche légèrement la tête.
Pendant que Rachel parle, Dominique écoute attentivement en fixant la caméra.
On a un plan serré de Rachel, elle parle en soulevant constamment ses sourcils, et en hochant légèrement, de temps en temps, la tête.
On a un plan des deux femmes fixant la caméra.
C'est Rachel qui parle et Dominique écoute attentivement.
Rachel continue de parler en se penchant légèrement vers sa droite.
Elle gesticule légèrement sur sa chaise.
Elle bouge un peu sa main gauche pour s'exprimer.
On a un plan serré de Dominique parlant et fixant la caméra.
Elle résume la raison d'existence du BRP en hochant un peu la tête.
Dominique: Le BRP est là pour l'ensemble des membres de la communauté universitaire.
On la voit bien articuler ses propos et cligne un peu ses yeux.
Que vous viviez des tensions, un conflit, que vous vous posiez des questions sur ce que vous pouvez faire pour régler une situation problématique, nous sommes là pour vous soutenir et vous aider.
N'attendez pas que la situation dégénère en situation de harcèlement.
On a un plan des deux dames fixant la caméra.
C'est Rachel qui parle tendant ses mains vers l'avant.
On la voit les bouger un peu pour s'exprimer.
Rachel: Si vous vivez une situation de violence à caractère sexuel, de harcèlement psychologique ou de discrimination, nous sommes la ressource vers qui vous tourner pour signaler la situation ou déposer une plainte.
Sur fond gris, on voit un dessin représentant les contacts du BRP de l'ÉTS, sur mobile.
Puis, elle tend encore une fois ses mains vers l'avant.
Elle soulève un peu les sourcils, puis se penche légèrement vers sa droite.
Dominique: Ne vous gênez pas pour nous contacter.
Il nous fait plaisir de pouvoir vous soutenir et trouver des solutions aux problèmes que vous rencontrez dans le cadre de vos études ou de votre travail.
Sur fond gris, on voit un dessin représentant des mains en train d'écrire sur un ordinateur. et les contacts du BRP.
Plan des deux dames fixant la caméra, c'est Dominique qui parle.
Dominique: Nous sommes là pour vous, en toute confidentialité.
Elle bouge sa main gauche pour insister.
*Musique de fin*