« […] l’ÉTS a décerné récemment un doctorat honoris causa à Léonce Montambault, président et chef de direction de Bell Canada. Ingénieur de formation, M. Montambault s’est notamment distingué grâce à la réalisation d’une structure sous-marine en acier assurant la protection des câbles téléphoniques du mouvement des glaces. Les qualités d’administrateur et d’humaniste de M. Montambault ont également été soulignées lors de la remise du doctorat honorifique par le président de l’Université du Québec, Gilles Boulet, et le directeur général de l’École, Alain Soucy. » Source : Réseau, janvier 1988, vol. 19, no. 5, p. 4
« L’ÉTS […] est fière d’annoncer qu’elle décernera le dimanche 2 novembre [2003] un doctorat honoris causa à M. Claude Ryan en reconnaissance de son apport exceptionnel au développement de l’ÉTS. Éminent journaliste et éditorialiste au quotidien Le Devoir dans les années 1960 et 1970, et directeur du journal de 1964 à 1978, Claude Ryan a joint le Parti Libéral […] et de 1985 à 1990, il était nommé ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur et de la Science. […] Son rôle auprès de l’ÉTS a été déterminant en permettant le règlement du dossier de la reconnaissance professionnelle des diplômés de l’ÉTS, assurant [ainsi] la pérennité de l’établissement d’enseignement du génie tout en préservant sa vocation originale, soit la formation appliquée. » Source : communiqué de presse de l’ÉTS, 30 octobre 2003.
« Cette distinction honorifique a été remise à cette ingénieure de talent dans le cadre des XXIe Entretiens Jacques Cartier, une série de colloques scientifiques qui regroupent chaque année à Lyon ou à Montréal des chercheurs de près de 120 universités et des milliers de participants de la francophonie. […] Par son parcours et les fonctions qu’elle occupe dans le milieu du génie et des affaires, Mme François-Xausa incarne en tout point le génie pour l’industrie qui fait l’esprit de l’ÉTS. En lui remettant ce diplôme honorifique, l’ÉTS tenait à souligner des deux côtés de l’Atlantique son apport exceptionnel au milieu du génie et des affaires. » Source : Flash @ 360. Vol. 4, no 2, automne 2008. Sur la photo : Pierre Moreau, président de l'Université du Québec, Maryse François-Xausa, docteure honoris causa, et Yves Beauchamp, directeur général de l'ÉTS.
Alain Bellemare, ex-président-directeur général de Pratt & Whitney Canada « s’est vu remettre ce parchemin en raison de ses qualités exceptionnelles et de la riche expérience de gestionnaire dont il a fait bénéficier l’École. Cet ingénieur représente un modèle non seulement pour les étudiants et les diplômés, mais pour tous les ingénieurs du Québec. [M. Bellemare a exercé la présidence au conseil d’administration de l’ÉTS de 2000 à 2002], dont les membres considèrent comme un privilège d’avoir pu compter sur son savoir-faire et son sens aiguisé des affaires. Il a également siégé au comité exécutif et au conseil du Fonds de développement de l’ÉTS. » Source : Flash @ 360. Vol 6, no 1. Été 2010. Sur la photo : Sylvie Beauchamp, présidente de l’Université du Québec, Alain Bellemare, docteur honoris causa et Yves Beauchamp, directeur général de l’ÉTS.
Pour M. Charles Sirois, diplômé en finance, fondateur et cofondateur de nombreuses entreprises, le progrès passe nécessairement par les technologies. « Ce qui frappe chez cet homme passionné est sans contredit sa capacité d’innover et son audace. Toutes ses réalisations démontrent sa détermination et son audace. Deux mots que Charles Sirois conjugue invariablement avec le mot « technologies ». Sans cette combinaison, point de prospérité, affirme-t-il. De même que l’économie du savoir doit aller de pair avec l’innovation. Selon lui, le savoir sans l’innovation reste lettre morte. C’est pourquoi il estime crucial de mettre les scientifiques qui réussissent en valeur et de les ériger en modèles pour les jeunes. » Source : Flash @ 360. Vol 6, no 2, automne 2010.
« M. Stéphan est […] le plus haut fonctionnaire de l’État français en matière de recherche et d’innovation. […] Responsable de l’élaboration de la stratégie nationale en matière de recherche et, en liaison avec le ministère de l’Industrie, en matière d’innovation, […] l’École de technologie supérieure a eu le privilège d’apprécier les qualités de scientifique et de gestionnaire de M. Stéphan alors qu’il était président de l’Université de Technologie de Compiègne (UTC) […] établissement spécialisé en technologie. […] M. Stéphan est d’ailleurs membre observateur du conseil d’administration de l’ÉTS qui profite ainsi de sa vaste expérience européenne dans le domaine du génie et de l’innovation. Parce que les préoccupations de cet homme rejoignent pleinement la mission et les valeurs de l’ÉTS, cette dernière est heureuse de rendre hommage à ce scientifique de haut niveau et de souligner sa filiation toute particulière avec lui. » Source : Flash @ 360. Vol 7, no 2, automne 2011. Sur la photo : Yves Beauchamp, directeur général de l'ÉTS, en compagnie de Ronan Stéphan, docteur honoris causa.
« … [l’ÉTS] a remis un doctorat honoris causa à un acteur incontournable de l’industrie aéronautique française, M. Jean-Marc Thomas. […] Tout le parcours de cet homme démontre une compréhension profonde des liens qui doivent prévaloir entre l’industrie et la recherche universitaire pour le développement de technologies innovantes. Il démontre également son profond souci pour la relève en sciences et en technologie. » Source : Flash @ 360. Vol 8, no 2, automne 2012. Sur la photo : Yves Beauchamp, directeur général de l'ÉTS et Jean-Marc Thomas, docteur honoris causa.
« Gestionnaire avisé et fin stratège affichant une feuille de route impressionnante, Christian Estève a été un acteur de premier plan du secteur de l’automobile. […] Cet homme qui a marqué le milieu industriel français était déjà actif dans le milieu de l’enseignement supérieur puisqu’il est en effet depuis 2005 président du Conseil d’administration de l’Université de Technologie de Compiègne, partenaire de l’ÉTS pour qui les relations avec l’industrie sont au coeur de la mission. Pour l’École, c’est un privilège que de développer des liens avec un gestionnaire de ce calibre, saisissant pleinement les liens entre le monde universitaire et le milieu industriel. » Source : L’ÉTS @ 360. Vol 9, no 1, été 2013. Sur la photo : Dominique Nadeau, président du conseil d'administration de l’ÉTS, Yves Beauchamp, directeur général de l’ÉTS, Christian Estève, docteur honoris causa, et Michel Robitaille, délégué général du Québec à Paris.
M. Pomerleau a été un joueur majeur du milieu de la construction au Québec. En créant ce qui allait devenir la plus grande firme de construction québécoise – et la première entreprise francophone de construction à percer le marché montréalais –, il a indéniablement contribué au développement économique de la province. Toujours aussi florissante, l’entreprise léguée à ses enfants au début du millénaire compte aujourd’hui quelque 2000 employés. On doit à cet homme infatigable des réalisations d’envergure et de prestige, notamment le pavillon Desmarais du Musée des Beaux-Arts de Montréal; le 1000 de la Gauchetière, l’édifice le plus haut de la métropole, qui a obtenu les prix Mercury de New York et Pinacle ainsi que le Trophée Énergia; l’aluminerie Reynolds à Baie-Comeau; et le barrage LG-1 de la Baie-James, un projet d’une valeur de 650 M$. Sur la photo : Sylvie Beauchamp, présidente de l'Université du Québec, Hervé Pomerleau, docteur honoris causa, et Pierre Dumouchel, directeur général de l'ÉTS.
Première cérémonie de l'engagement de l'ingénieur pour les étudiants de l'ÉTS, en 1990. Les étudiants Robin Girard et Serge Rioux lisent l'engagement.